La maison de Weï-chi.

Faut bien vivre quelque part et se détendre... ^-^

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Wei-chi Komoku
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Wei-chi Komoku »

« Sept heures. »

Il n'avait pas réfléchi. La réponse était un automatisme. Tout était réglé à la minute près. Et encore, lui-même se lèverait plus tôt, pour tout préparer. On ne se lève pas en même temps que les invités. Ça ne le gênait pas. Il dormait peu en ce moment. Trois invités. Kikako, Mashiro, Setee. Ca faisait beaucoup de monde mais la maison était grande.

Lui même les salua tous et disparut par quelque passage dissimulé.

Le lendemain, une délicieuse odeur flottait...


[HRP : je ne vous demande pas quelque chose de long, juste votre nuit, vos rêves qui sont très bizarres, question ambiance, genre, tourmentés mais sans tourner au cauchemar, juste quelque chose de pas net dans l'air, parfois l'impression que quelqu'un vous regarde, etc. Ensuite votre réveil, si vous vous douchez, si vous vous retrouvez dans les couloirs ,(un peu d'intéractivité que diable!) le temps que vous mettez à retrouver la sortie (si vous mettez plus que cinq minutes wei vient vous chercher XD) et ce que vous pensez du petit dej servi à la grande table du salon : croissants, chocolats chauds et jus d'orange... enfin bref vous êtes TOTALEMENT LIBRES . (mashiro, évite juste de forcer les serrures la nuit et de violer ces demoiselles.)

Totalement libre sauf pour le délai que je fixe à lundi soir.
Weï-chi Komoku (so-called) chûnin de Yukigakure No Sato

"There was a chuunin and his wife...and she was beautiful...a foolish chuunin and his wife..."
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Mashiro kijin'
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Mashiro kijin' »

Mashiro se tenait droit dans un couloir plutôt sombre et très étroit. Plus il avançait et plus le ouloir avait l'air de tourner sur le gauche. Arrivé au bout de celui-ci, Mashiro avait la tête à l'envers, il se retrouvait devant une porte rouge aux contours de velours, et à la poignée rose bonbon. Il y avait aussi un petit panneau où l'écriture d'une jeune demoiselle résidait.

Mashiro, je suis toute à toi, viens me voir, rentre dans cette chambre petit coquin, tu auras une petite surprise...

A la fin de ce petit message, on pouvait très nettement distinguer la trace d'un baisé déposé au rouge à lèvre rose flash pailleté. Mashiro sentit une impulsion lui parcourir le corps tout entier. Comme si l'espace d'une seconde il était en extase, la sueur sur son front commençait à apparaître, et son coeur battait de plus en plus vite. Il élança sa main vers la poignée, et se mit à la tourner très lentement pour ne pas faire de bruit. Car il était tard. Personne ne devait savoir ce qu'il allait se passer dans cette chambre.

Mashiro poussa un léger soupir, puis ouvrit la porte avec une immense volonté. Une fois à l'intérieur, il vit une chambre somptueusement bien décorée, avec un lit rouge en dentelle où y était déposé des pétales de roses, et où à l'intérieur, allongée, sous la couette bien au chaud, se trouvait le corps d'une jeune femme nue, attendant avec impatience la venue d'une personne qui saurait la faire hurler de plaisir.

Mashiro était là, c'était lui cette personne. Il se déshabilla puis s'avança avec prudence dans le lit. Une fois glissé à l'intérieur celui-ci commence à laisser parcourir sa main le long de la cuisse de la jeune demoiselle... Et elle se retourna pour le regarder. C'était kikako. Elle le regardait avec un air si sauvage, qu'on aurait dit qu'elle voulait le manger, tellement elle voulait qu'il lui fasse des coquineries.

Mashiro ferma les yeux, puis se mit à l'embrasser, le baisé fut très intense, avec des caresses sauvages, voir même quelques griffure sur le corps de notre jeune homme. Et lorsqu'il réouvrit les yeux, il vu le visage de Wei-chi, qui se mit à faire un petit rire fourbe. Mashiro le souleva d'une terrible force et le balança contre l'armoire qui se trouvait juste en face du lit.

"HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA MON DIEU AU SECOURS"

à peine eu-t-il le temps de s'habiller, que Mashiro était déjà dehors à courir dans la neige, dans une sombre nuit, et il cherchait un endroit pour s'y cacher, et passer le reste de la nuit... Mais, il entendait un gros bruit s'accentuer de plus en plus dans son dos. En courant il se tourna pour regarder, et vit avec horreur, une horde de Wei-chi courir vers lui. Et ils sont tous nues !

Arrivé dans un cul-de-sac, mashiro se plaqua contre le mur, et se mit à hurler comme une demoiselle...

...

"WOUUUUUAH"

Mashiro se leva brusquement et vit qu'il se trouvait dans un lit, sous une couverture chaude. C'était le petit matin.
*Oh... Ce n'était qu'un cauchemar... Pfff je suis trop bête... Hahaha...* Mashiro sortit du lit, et commença à sortir de sa chambre...
*Mais tiens... Hier soir je me suis endormi dehors de chez Wei-chi... Comment se fait-il que je sois ici ? C'est peut-être kikako qui m'a vu et qui m'a sauvé la vie !! Hahahaha j'en était sur, elle est complètement folle de moi...*
Mashiro se mit à sentir une très bonne odeur. C'était celle du petit déjeuné.
*Oh tant mieux, j'ai trop faim*
Une fois arrivé dans la salle, il s'installa sur une chaise et attendit que les autres arrivent pour commencer à déjeuner...
Setee Fujiwara
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Setee Fujiwara »

Elle se réveilla en sursaut, avec la désagréable impression d'être observée. Et paniqua tout d'abord, quand elle réalisa qu'elle n'était pas dans son lit. Et pas chez elle non plus. Elle mit quelques secondes à réaliser qu'elle était chez Wei-Chi. Mais pour quelle raison, elle semblait incapable de s'en souvenir. Elle balança les couvertures au pied du lit, et se leva. Elle était complètement nue, parce qu'évidemment, elle n'avait pas emmené de tenue de nuit. Mais bizarrement, ça ne la dérangeait pas.
Elle sortit donc dans les couloirs, et écarquilla les yeux, une fois là bas. Des tas, et des tas de miroir reflétaient son reflet. À chaque fois de manière difforme. Plein de Setee atrocement déformées qui la regardaient, avec un air moqueur qu'elle ne se connaissait pas. Elle voulut faire demi-tour et retourner dans sa chambre, mais elle se heurta à une paroi froide et lisse. Avec une Setee déformée, dedans. Prise de panique, elle se mit à courir, à l'aveuglette, parce qu'elle ne savait absolument pas où aller. Elle tournait au hasard. Jusqu'à ce qu'elle remarque que quelqu'un courrait devant elle. Elle décida donc de suivre la personne, se focalisant sur elle, pour ignorer les Setee qui couraient à côté d'elle. Il lui fallut un bon moment, avant de réaliser que c'était après elle-même, qu'elle courrait. Et une fois qu'elle eut réalisé ceci, elle se heurta à une autre miroir. BAM!
De plein fouet. À moitié assommée, elle bascula en arrière, en songeant que le contact avec le sol allait être douloureux. Mais non. Il n'y eut pas de contact douloureux. Elle tombait, tombait. Et continuait à tomber.

Et elle se réveilla en sursaut. Cette fois, elle était toute habillée. À l'exception évidemment de ses bottes en fourrure rose. Qu'elle enfila en se levant. Elle avait froid, mais ne savait pas bien pourquoi. Peut-être parce qu'elle venait de quitter les couvertures tellement délicieusement moelleuses et chaudes. Elle hésita un peu, avant de sortir dans le couloir. Et ne put retenir un soupir de soulagement, quand elle réalisa qu'il n'y avait pas le moindre miroir dans les couloirs. Et un nuage de buée s'échappa de ses lèvres. Elle frissonna, et serra ses bras autour de son corps, dans l'espoir maigre de se tenir chaud.
Les contours étaient flous, mais c'était certainement dû au fait qu'elle n'était pas encore complètement réveillé. Elle avança, dans la direction approximative de la cuisine. Et, comble du bonheur, elle réussit à ne pas se perdre, et y arriva. L'horloge allait indiquer sept heures d'ici peu. Elle était à l'heure. Elle sourit, et s'installa à table. Dong. Il y avait des croissants. Dong. Ca tombait bien, elle adorait ça. Dong. Elle se demanda si le jus d'oranges était fraîchement pressé. Dong. Ca serait vraiment bien. Dong. Il n'y avait rien de meilleur qu'un jus d'oranges fraîchement pressé. Dong. Oh, du café! Dong. Mais où était le sucre? Dong. Ah, là. Dong. Juste ici. Dong. Elle se servit en café. Dong. Et ajouta cinq ou six sucres. Dong. Oh, et puis encore, un, elle pouvait se le permettre après t... Dong. Hé, mais ça faisait plus que sept coups, là. Elle leva les yeux vers l'horloge, sans comprendre. Mais ne vit rien d'anormal. Sauf qu'elle continuait à sonner, sonner, et sonner encore. De plus en plus fort.
Elle quitta précipitamment la table, les mains plaquées sur les oreilles, pour échapper au sinistre et assourdissant dong dong de l'horloge. Mais peu importe où elle se trouvait, elle l'entendait, toujours aussi fort. Elle entra dans une autre pièce, et vit Wei-Chi, Mashiro, Ikari et Kikako attablés, qui prenaient leur petit déjeuner. Elle s'installa, en s'excusant, pour le retard, et vu qu'ils n'avaient pas l'air dérangés par le dong dong, elle décida de faire semblant de ne pas l'entendre non plus. Et bizarrement, le son devint plus doux, plus léger, plus mélodieux. Une légère présence, un peu insistante, qui restait dans un coin de la tête. Mais rien de désagréable.
Et puis elle réalisa qu'elle avait faim. Et décida de se servir un peu de ce que les autres mangeaient. Ce ne fut qu'à ce moment là, qu'elle réalisa que sur la table, sur les plateaux, plus précisément, c'était elle. Elle que ses camarades et son professeur étaient en train de manger. Elle poussa un cri, et recula à toute vitesse. Mais les pieds de la chaise butèrent contre le pli du tapis, et elle tomba en arrière. Elle serra les dents, en pendant au choc douloureux qui n'allait pas manquer de suivre.

Sauf que pas. Elle se réveilla encore une fois en sursaut. Les draps au-dessus de la tête. Elle les repoussa vivement, et se découvrit en débardeur et culotte. Bien. À priori, ça, au moins, c'était la tenue dans laquelle elle s'était couchée. Elle effleura son front, d'une main un peu tremblante. Et resta allongée un moment, le temps de déterminer si elle rêvait ou pas. Et puis finalement, elle décida de se lever, et de s'habiller. Elle fourra la plupart de ses vêtements dans son sac. Pas envie de se prendre la tête aujourd'hui. Surtout si c'était pour réaliser qu'en fait, ça n'était encore une fois qu'un rêve. Elle enfila donc simplement son pull, et son jean, et évidemment, ses bottes en fourrure rose. Et descendit. Elle prendrait sa douche chez elle. Comme ça, elle n'aurait pas de scrupules à vider le ballon d'eau chaude. Et surtout, surtout, elle voulait savoir si elle rêvait encore ou pas.
Les couloirs avaient l'air normaux. Tout avait l'air normal. Y compris cette délicieuse odeur qui flottait dans l'air, et qui la mit immédiatement plus à l'aise. Elle arriva à la cuisine, où elle vit Mashiro, qui était déjà installé. Elle prit place face à lui, avec un léger sourire. Un peu mal à l'aise. D'une, parce qu'elle était seule avec lui, et de deux, parce qu'elle n'était toujours pas sûre d'être bien réveillée.

"Salut." Pause. Elle remit nerveusement une mèche de cheveux derrière son oreille, et réalisa seulement alors qu'elle ne les avait pas attachés. Oh, tant pis. "... Euh. Je vais te poser une question débile, mais... C'est pas un rêve, hein? é_è"

Et voilà. Maintenant, il ne restait plus qu'à attendre la réponse de Mashiro. En espérant qu'il réaliserait qu'elle n''était pas d'humeur à plaisanter, ou se prendre des commentaires gras de si bon matin. Ou en plein milieu de la nuit et de son rêve, elle n'en était pas encore vraiment sûre...
Setee Fujiwara, étudiante gentille mais un peu conne, de Yukigakure No Sato.
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Mashiro kijin'
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Mashiro kijin' »

Il ne fallut qu'un bref moment avant d'apercevoir une silhouette qu'il connaissait. C'était Setee qui descendait doucement et dubitativement les escaliers de chez Wei-chi. L'air peu matinale, très fatiguée, elle s'installa en face de lui, puis... Ce qui sembla invraisemblable pour Mashiro, celle-ci lui adresse la parole

"Salut."

"...hum..." Mashiro se mit à la regarder avec attention et avec un regard très étrange...

"... Euh. Je vais te poser une question débile, mais... C'est pas un rêve, hein? é_è"

"Et bien pour être honnête je ne sais pas, je me pose moi même la question vois-tu ?! :huh:
Et puis si c'est le cas, tu es entrain de demander à un personnage complètement imaginaire si tu fais un rêve, alors là il risque de te répondre que non... Et si il te répond que non, tu vas le croire, mais si faut c'est réellement un rêve !!! :blink: alors tu auras donc posé cette question pour rien, car ton espérance s'effondrera, et créant donc une mauvaise humeur, déjà que tu n'as pas l'air d'être dans ton assiette, ... Comme si on allait te manger Mwarf :lol: "


Mashiro n'en finissait plus de son discours pseudo philosophique, et comme dirait son grand-père

"C'est la poule qui fit lo z'oeuf"

... Mais cela est encore une autre histoire. Pour faire bref, mashiro se tournait la tête dans tous les sens, car même lui croyait qu'il était à présent dans un rêve alors qu'il pensait être bel et bien réveillé. Tout en se posant des questions, il regarde la jolie jeune fille, elle faisait réveiller son fantasme des femmes. Mais la faim commençait par le gagner, il se détourna des beaux yeux de Setee pour fixer l'escalier et voir si d'autres personnes allaient descendre. Attendant néanmoins une réponse de la part de sa camarade, car il voulait avoir une conversation avec elle pour pouvoir par la suite avoir peut-être une relation plus intime avec elle.

[HRP: Désolé pour cette courte réponse, mais là je ne sais pas tellement quoi marquer lol]
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Kikako Mitsumasa
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Kikako Mitsumasa »

Kikako avait fermé sa chambre comme Wei-chi venait de le lui conseiller, et après s'être assurée d'un coup d'oeil que la pièce était vide, elle retira son kimono pour ne pas le froisser. Elle serait bien obligée de le remettre demain puisqu'elle n'avait pas emmené de kimono de rechange...
En se glissant dans les draps, elle pesta contre leur froideur, étrange d'ailleurs étant donné la température agréable de la pièce.

L'étudiante n'était pas encore assez fatiguée pour tomber de sommeil comme une masse, mais assez pour avoir envie de se blottir dans les draps en attendant de s'endormir. Ce qui arriva assez rapidement. Les songes de la nuit sont étranges...Autant ils peuvent être agréables, et alors ils prennent le nom de rêve, autant ils peuvent être désagréables et prennent ainsi le nom de cauchemard... Mais ça, tout le monde la sait.

Cette chambre rappelait pas mal de chose à Kikako. C'était là qu'elle avait passé sa première nuit en tant que personne consciente et non en tant que surgelée...Mais alors qu'elle pensait à ces choses là, elle se rendit compte sans trop s'étonner, qu'elle était assise dans la neige, au pied d'un arbre et elle portait à nouveau son kimono coloré. Elle savait exactement ou se trouvait Yuki et elle se leva pour y aller. Elle marcha, marcha, marcha, mais Yuki n'apparaissait pas. Elle s'arrêta un instant, le froid ne l'atteignait pas, et elle reprit son ascension, quand elle se rendit compte qu'à chaque pas qu'elle faisait, un autre bruit de pas retentissait dans son dos. Elle se retourna et ne vit que la neige qui tombait

Frissons.

Elle se retourna et accéléra seulement les bruits de pas suivirent son rythme dans son dos. Quelqu’un la suivait et cherchait à dissimuler sa présence !! Elle se mit donc à courir sans trop savoir ou elle allait et ce, jusqu'à en perdre haleine quand elle trébucha et s’écrasa dans la neige tout à coup froide presque brulante. Paniquée elle se releva… Elle ne distinguait plus rien, tout n’était que neige et vent…Des bruits de pieds s’enfonçant dans la neige résonnaient partout autour d’elle, mais elle ne voyait toujours rien. Elle se mit à tourner sur elle même, encore et encore jusqu’à ne plus rien distinguer quand soudain…

Elle se retrouva dans la maison de Sag et croisa les bras en se disant qu'il était temps de mettre un peu d'ordre. Le changement de décor ne sembla pas la perturber, pas plus que le changement de vêtement. Toujours en kimono certes, mais celui-ci était noir et sobre. Loin du kimono coloré qu'elle avait pu porter avant. La panique l’avait quitté…

" Kikako ! N'oublies pas de t'entrainer au lancé de kunai hein !"

" Oui père, oui..."

Elle s’arrêta et fronça les sourcils. Qu’est ce que son père faisait là ? D’ailleurs il n’y était plus.
Kikako...cela sonnait faux quelque part...Cela faisait maintenant plusieurs années qu'elle disait à tout le monde s'appeler Kiku et non Kikako...Seules les personnes la connaissant depuis son enfance le savaient. Mais ce n'était qu'un détails parmi toutes ces choses étranges qui composaient son rêve.
Décidée à écouter les conseils de son père, elle avait prit quelques kunais et était sortit de la maison en trainant tout de même les pieds. Il faisait froid tout à coup dehors et le temps semblait couvert.

"Il ne manquait plus que ça..." grogna t-elle en direction du ciel.

"WOUUUUUAH"

Les deux Kikako firent un bond aussi phénoménal... Celle qui dormait manqua de tomber de son lit et celle du rêve manqua de tomber à la renverse avant de cesser d'exister...

"Mais qu'est ce que c'est encore..." marmonna l’étudiante en allumant la lampe qui se trouvait près du lit.

Son cerveau, bien qu'encore endormi, ne mit pas longtemps à faire le rapprochement entre son voisin Mashiro et la voix qu’elle venait d’entendre. Avait-elle rêvé ou avait-elle réellement entendu quelque chose ?

Sans attendre, elle se leva et réenfila son kimono…La nuit avait été étrange. Elle ne se souvenait pas de son rêve, mais elle savait qu’il n’avait pas été rassurant. Après s’être coiffée et après avoir remit ses gants rouges, elle ouvrit doucement la porte. Un odeur alléchante lui parvint et elle sourit. Voilà plusieurs matin qu’elle n’avait rien senti d’aussi bon à son réveil ! Cependant elle ne descendit pas tout de suite. Tracassée par le fait d’avoir oublié son rêve, elle s’assit sur son lit et essaya de retrouver des bribes…Voyant qu’au bout de dix minutes rien ne revenait, elle descendit enfin.
Quand elle arriva à proximité de la bonne odeur qui annonçait le petit déjeuné, elle entendit les voix de Setee et Mashiro. Tous les deux étaient arrivés avant elle.

« Coucou Setee, salut Mashiro. » dit –elle en entrant. Setee de semblait guère de bonne humeur et l’étudiante se demanda si cela était dû à quelques blagues de Mashiro ou à la nuit qu’elle venait de passer. Mashiro, lui au contraire semblait assez joyeux de bon matin.

« Bien dormi ? » demanda-t’elle en contournant la table pour venir s’asseoir.
Kikako Mitsumasa ... la jeune fille glaçon et étudiante de Yukigakure no Sato experte en soupir ^_^.

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Je ne pars pas pour mourir, mais pour me prouver à moi-même que je suis encore vivante et capable de ressentir quelque chose au fond de mon coeur !
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Wei-chi Komoku
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Wei-chi Komoku »

Le chuunin arriva un peu plus tard, déjà tout habillé, toiletté et sentant bon le matin. Il avait pris sa douche à six heures et déjà tout préparé – mais à sa mine on devinait qu'il n'avait, comme d'habitude, pas beaucoup dormi. Il leur servit à tous du lait, du jus d'orange, mit un paquet de céréales sur la table et des fruits. Pas de croissants ou de petits pains – ce n'était pas diététique. « Si quelqu'un veut du café... » Il en avait fait aussi.

Il les servit, à chacun, ce qu'ils voulaient, et les laissa discuter entre eux sans vraiment y prendre part, encore un peu ailleurs. Puis il se leva pour débarrasser une fois que tout le monde eut fini.

« Je ne veux pas vous mettre à la porte mais vous devriez vous dépêcher si vous ne voulez pas être en retard à l'académie... »

HRp: un ptit post de conclusion..;désolé pour le retard. Faites-moi ça avant dimanche et ensuite on fera plus intéressant..
Weï-chi Komoku (so-called) chûnin de Yukigakure No Sato

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Kikako Mitsumasa
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Re: La maison de Weï-chi.

Message par Kikako Mitsumasa »

Kikako avait prit place à la table sur laquelle un petit déjeuné appétissant l'appelait, bien qu'il n'y eut ni croissants ni pains au chocolat. Poliment elle avait salué Setee et le nouvel étudiant Mashiro qui était déjà là, avant de commencer à manger.
Après un bon jus d'orange, un bol de céréale, Kikako s'attaqua à une pomme verte, bien acide comme elle les aimait quand la voix du Chuunin retentit mettent fin au silence régnant à table. Wei-chi était arrivé un peu après ses élèves, tout propre, tout bien habillé, mais l'air fatigué comme toujours et comme un bon hôte il leur avait servi du lait pour les céréales, du jus, des fruits etc...Une odeur de café était même arrivée au nez de Kikako. Il était prévoyant !
Elle refusant poliment quand il demanda si quelqu'un en voulait.
Kikako s'attaquait donc à sa pomme lorsque leur professeur avait débarrassé la talbe et une fois finit, elle s'était levée pour jeter le trognon en s'étirant.


« Je ne veux pas vous mettre à la porte mais vous devriez vous dépêcher si vous ne voulez pas être en retard à l'académie... »


Kikako se stoppa dans mon mouvement et jeta un coup d'oeil a l'horloge. Il ne leur restait qu'une poignée de minutes pour ne pas être en retard. Heureusement que la maison de Wei-chi n'était pas si loin que ça de l'académie...Enfin elle croyait...Elle n'en était plus sure.
Enfilant son manteau puis son sac en bandoulière, elle s'inclina devant son professeur en le remerciant de l'avoir hébergé une deuxième nuit depuis son arrivée à Yuki, puis elle sortit rapidement de la maison, en se mettant légèrement sur le côté pour attendre Setee et Mashiro avant d'aller à l'académie.
Kikako Mitsumasa ... la jeune fille glaçon et étudiante de Yukigakure no Sato experte en soupir ^_^.

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