Ikari Shimei Yorukawa [accepté]

Pour commencer a jouer, présentez votre personnage....

Modérateurs : Anshu Kipai, Wei-chi Komoku

Avatar de l’utilisateur
Ikari Yorukawa
Genin
Messages : 297
Inscription : ven. 15 juin 2007, 15:37

Ikari Shimei Yorukawa [accepté]

Message par Ikari Yorukawa »

Nom : Yorukawa
Prénom : Ikari, Shimei (Ikari signifiant colère).
Age : 13 ans
Sexe : masculin

Description physique : Ikari est un jeune homme d’environ un mètre cinquante pour un poids de cinquante kilogrammes. Lorsqu’on le voit pour la première fois, la couleur de ses yeux choque. Ceux-ci sont rouges, et ce sans plus de raison que les vôtres sont bleus, bruns ou verts. Ses cheveux coupés court sont bruns, et quelques mèches viennent encadrer un visage où se reflète le plus souvent un grand calme. En fait, il parait souvent si calme qu’il semble blasé ou démotivé ce qui n’est pas toujours faux.
Le plus souvent, il s’habille en noir, couvrant ses cheveux d’un bandana et d’une casquette sur laquelle on peut voir un motif représentant un crâne humain et une paire de tibias croisés en leur centre. Il porte invariablement un pantalon de treillis noir et une veste, de bonne coupe, assortie. A ses mains, des mitaines de cuir. Des chaussures montantes, noires elles aussi, viennent compléter sa tenue. Ses chaussures lui permettent de ne pas se fouler les chevilles en glissant sur la glace. Un lecteur de musique l’accompagne également partout, un cadeau que lui a fait sa sœur pour son arrivée à Yuki.

Caractère : Bien que son prénom signifie colère, Ikari est d’un naturel assez calme. Il essaye généralement de régler ses différends avec les autres par la parole et ce, sans jamais avoir à élever la voix. Il en faut beaucoup pour le faire sortir de ses gonds, toutefois, ça ne fait pas de lui un poltron qui fuirait le combat si les mots venaient à ne plus suffire. Bien au contraire, quand bien même il ne se saurait pas l’ombre d’une chance face à son adversaire, il donnerait son maximum afin de lui tenir tête. Son père lui a enseigné à ne jamais reculer, à ne jamais se rendre. Pour lui, fuir est inconcevable.
C’est quelqu’un qui ne montre que peu ses sentiments. Ça ne l’empêche pas de ressentir des émotions, peut-être même les siennes sont elles plus fortes que celles des autres, mais il part du principe que ce n’est pas utile de les faire partager à tous. Il lui arrive néanmoins de se lâcher complètement, et ce n’est pas sans rapport avec la musique qu’il entend dans son baladeur.
C’est également quelqu’un qui peut se montrer assez cru et qui ne se gênera pas pour choquer si l’envie lui en prend, par contre, pour ce qui en est de le choquer lui, ça semble pour le moment impossible.

Histoire : Il neige. Rien d’étonnant, on est à Makyou no kuni. Le soleil est à son zénith, et pourtant le froid est mordant. Qu’importe, ce n’est pas à l’extérieur que se passent les choses intéressantes aujourd’hui.
Depuis plusieurs heures déjà Kaede souffre. Les contractions sont de plus en plus rapprochées et la sage femme qui ne vient pas. Elle se trouve seule avec Mai, sa fille, dans la demeure familiale. Sa fille ne cesse de lui murmurer des paroles de réconfort, espérant que la douleur de sa mère passera ainsi. Soudain, la porte s’ouvre à la volée. Seito ! Il est enfin de retour. Déjà la sage femme s’approche et commence à donner des ordres à Seito et à Mai. Elle demande de l’eau chaude, des serviettes et tout ce qui sert dans un accouchement.

La sage-femme est une sorte de grosse bonne femme. Il s’agit d’une amie de la famille qui a suivi une formation médicale, il y a longtemps. C’est la seule personne qui sait pratiquer les accouchements à des kilomètres à la ronde et par chance, elle semble encore à peu prêt sobre. On lui a interdit d’exercer car elle buvait mais ici, ça ne fait aucune différence, elle sait comment faire pour soigner les gens. Ce n’est ni son premier accouchement ni le dernier, elle a de l’expérience et Kaede le sait. Docile, elle se plie aux consignes qu’on lui donne. Souffler, pousser, inspirer un grand coup, pousser à nouveau. Elle crie aussi, beaucoup, même si ce n’est pas une consigne.
Dans un souffle, la sage femme dit qu’elle voit la tête mais on l’entend à peine tant les hurlements de Kaede deviennent stridents. De part et d’autre du lit, Mai et Seito tentent d’apaiser la petite maman mais ils ne peuvent pas grand-chose pour elle. Elle a mal, elle voudrait que ça cesse et pourtant, en ce jour elle ne pourrait être plus heureuse. A nouveau elle va être mère, pourvu que ce soit un petit garçon cette fois.

Dans un ultime effort, elle met enfin au monde l’enfant. Celui-ci crie tout ce qu’il peut, faisant concurrence à sa mère. Dès que le cordon ombilical est coupé et que le bébé est nettoyé, Kaede tend les bras pour le porter. Elle le berce doucement pour le calmer. A peine remise de l’épreuve qu’elle venait de traverser, elle voulait déjà aider son fils car oui, c’était bien un garçon. Un petit garçon aux yeux rouges. La sage-femme n’avait pu réprimer un frisson en voyant la couleur des yeux de l’enfant, se demandant s’il ne s’agissait pas là d’un petit démon.
Tous les regards convergent à présent vers Kaede et tous semblent attendre quelque chose d’elle. Enfin, elle le dit.
"Né avec colère, il s’appellera Ikari."
"Sois le bienvenu. Nous te saluons Ikari, mon fils."


Puis comme si elle avait attendu ce moment pour se laisser dominer par l’épuisement, elle s’évanouit, l’enfant toujours dans les bras. Celui-ci criait toujours mais lorsque sa sœur le prit à son tour dans ses bras, il se calma aussitôt. Seito était parti raccompagner la sage-femme jusqu’à la porte et la remercia en espèce sonnante et trébuchante pour ses services. Lorsqu’il revint, la scène qu’il découvrit le fit sourire. Sa femme qui dormait, semblable à un ange et sa fille berçant le petit Ikari. Il se souvenait de Mai lorsqu’elle n’était encore qu’un bébé et des moments de joie qu’ils avaient vécus à cette époque, tout cela allait recommencer ! Non pas que leur vie ait été triste depuis la naissance de Mai, loin de là.

Depuis ce jour de neige, le petit Ikari a grandi. Près d’une dizaine d’années se sont écoulées. Ces dix ans, Ikari les a mis à profit pour apprendre à marcher, parler, lire, écrire et calculer, toutes ces choses qu’il nous faut apprendre pour vivre au côté d’autres personnes. Enfin, il les a mises à profit, il serait plus exact de dire que ce sont ses parents que les ont mises à profit…. mais passons.
Dès ses quatre ans, ses parents l’avaient inscrit à l’école du village pour que son apprentissage soit pris en main par celui qu’au village on appelait senseï, autrement dit professeur. Bien loin des senseï de l’académie shinobi, cet homme n’avait pour autre vocation que de transmettre le savoir théorique essentiel à la vie de tous les jours.
En grandissant, le petit révéla également son caractère, se montrant distant avec son entourage. Certains le disaient hautain, pensant qu’il jugeait les autres comme trop inférieurs pour qu’il daigne partager ses joies et peines avec eux. La réalité, c’est que quelle que soit la personne, il n’en voyait pas l’intérêt, peut-être bien qu’il était hautain en vérité. Cela lui valut souvent les brimades de ses camarades de jeu ou de classe, mais heureusement, sa sœur veillait sur lui, empêchant les petits monstres comme elle les appelait de lui faire du mal, lorsqu’il sortait pour aller jouer sur la grand place du village.

Malheureusement, même la plus attentionnée des grandes sœurs ne peut pas toujours être là pour son petit frère. Ça se passa un peu après les cours. Quelques uns de ses camarades vinrent le trouver pour lui demander pourquoi il ne riait jamais, pourquoi il n’était jamais triste et pourquoi il avait les yeux rouges. Ce n’est pas qu’ils le haïssaient mais, ils avaient peur de lui et jusqu’à maintenant, ils n’avaient pas eu l’occasion de s’affranchir de cette peur. Un premier coup partit, presque par accident mais bientôt, les autres l’imitèrent. Ikari tenta bien de se défendre, mais ils étaient quatre et surtout, il n’avait jamais eu à se battre jusqu’à ce jour.

Lorsque les autres enfants eurent terminé leur petit jeu sadique, ils le laissèrent à terre. Par endroits, la neige s’était teintée de rouge. Patience, quelqu’un finira bien par passer pensait il. La douleur était passée, mais il ne parvenait pas à se relever, trop épuisé par cette lutte qui n’avait pourtant duré que quelques instants. Ironie du sort, la première personne qui vint à passer fut sa mère. Celle-ci avait eut une course à faire et s’était décidée à passer chercher son fils à l’école malheureusement, elle avait été retardée par une amie à elle assez loquace (comme savent l’être les femmes, et particulièrement les mères). Avant même de voir que c’était son fils, elle se précipita pour porter assistance à cet enfant. Lorsqu’elle le vit, le nez souligné de lignes couleur carmin, la lèvre fendue, des larmes ayant gelé sur ses joues, elle le serra fort dans ses bras, lui murmurant des mots doux pour l’apaiser même si quelques trémolos dans sa voix trahissaient son hystérie. Ikari quant à lui, le froid et la fatigue aidant, restait aussi calme qu’à son habitude.

De retour à la maison, sa mère lui fit couler un bain chaud et pendant qu’il se remettait de sa mésaventure, elle raconta tout à Seito, son époux. Celui-ci entra dans une colère noire. Bien sur, il ne pouvait pas sortir dehors, un bâton à la main et partir à la recherche des enfants afin de leur flanquer une correction, mais il ne pouvait pas non plus rester sans rien faire. S’il ne pouvait s’occuper des camarades d’Ikari, ce serait du côté de son fils qu’il devrait changer quelque chose.
En parlant avec lui, il fut heureux d’apprendre que celui-ci n’avait pas cherché à fuir face à eux. Il s’était battu avec courage même s’il savait que la situation était désespérée. Le lendemain, plutôt que de l’envoyer en cours, il l’emmena avec lui à la chasse. L’important n’était pas leur activité mais qu’ils soient ensemble. Il lui parla, beaucoup, de concepts compliqués pour un enfant. Il ne tenta pas de lui enseigner quelque technique de combat, n’y connaissant rien lui-même, mais, il lui parla de dignité, de devoir et de courage. Ne jamais reculer, ne jamais se rendre, telle devait être sa loi. Pour son physique, il n’y avait pas grand-chose à faire et, si Ikari ne faisait pas l’étalage de ses sentiments, c’était son choix aussi, il faudrait que les autres le craignent suffisamment pour qu’ils n’osent plus s’en prendre à lui.

La première étape de ce changement fut au niveau de ses vêtements. Sa mère passa plusieurs jours à coudre mais le résultat valait la peine d’attendre. Son père expliqua à son fils comment il pouvait, par de légers changements dans son attitude, se faire davantage respecter. Se tenir droit, ne pas regarder le sol lorsqu’il marchait et surtout, se montrer sans pitié, ne rien laisser passer. Si à nouveau on lui cherchait querelle, qu’il cogne dur sur celui qui semblait le plus fort mais surtout, qu’il ne leur montre jamais plus ses larmes.

Ce n’est que lorsque ses nouveaux vêtements furent prêts qu’il retourna en cours. Il arriva pile au moment où retentissait la cloche et où les élèves se rassemblaient devant la classe. On le regarda d’une drôle de façon, lui les foudroya du regard. Ne rien laisser passer, telles avaient été les paroles de son père. A la sortie, le même groupe vint le trouver. Il avait déjà essayé de les raisonner par les mots et savait à présent que ça ne suffirait pas. Sans même leur laisser le temps de réagir, il envoya un direct du gauche dans le visage du chef de bande. Celui-ci chancela et si l’un de ses camarades ne l’avait pas rattrapé, il serait tombé à terre. Il demanda à ce qu’on le laisse. Peu désireux de se retrouver dans le même état que leur camarade, le reste du groupe choisit de battre en retraite.

Le soir même lorsqu’il rentra chez lui, sa sœur vint le voir pour lui annoncer une grande nouvelle. Elle allait partir pour Yuki afin de devenir une kunoichi au service de Makyou no kuni. Là où certains auraient fondu en larme, il resta de marbre, se contentant de lui souhaiter bonne chance. Ce fut elle alors qui fondit en larmes, alors il la serra fort dans ses bras, tenta de son mieux de l’apaiser. A sa joie de bientôt réaliser son rêve de devenir une kunoichi, se mêlait la tristesse de les quitter et de laisser son frère seul. Qui le protègerait à présent ? Mais lorsqu’il lui eut raconté son exploit du jour, elle se rassura. Elle pouvait partir l’âme sereine : son petit frère était à même de se défendre tout seul dorénavant.
Elle partirait le lendemain avec un groupe de shinobi revenant d’un poste frontière, tout avait été prévu à l’avance et elle n’aurait pas pu rester un jour de plus quand bien même elle l’aurait voulu plus que tout.
Elle avait pensé qu’en annonçant à Ikari son départ à la dernière minute ce serait plus facile, mais elle s’était trompée. A peine avait-elle quitté le village au côté de ces inconnus qui allaient lui servir d’escorte que son frère lui manquait déjà. Lui la regarda s’éloigner puis lorsqu’elle fut hors de vue, c’est le pendentif dont elle lui avait fait cadeau avant de partir qu’il fixa un long moment.


Prêt d’un an passa sans que rien ne vienne troubler la quiétude de la vie d’Ikari. Presque chaque semaine, Mai ne manquait pas de leur écrire une longue lettre dans laquelle elle parlait de ses progrès à l’académie mais surtout de sa vie de tous les jours, de ses petits tracas quotidiens et de ses joies. Ikari ne manquait pas de lui répondre pour à son tour lui donner des nouvelles. Il sentait que ainsi, sa sœur avait plus de facilités à vivre à Yuki. Depuis son départ, il ne l’avait vue qu’une fois, pour le nouvel an Yukien, au début du mois de février.

Tout aurait pu continuer ainsi et Ikari aurait un beau jour pris la succession de son père dans son emploi, quel qu’il soit, mais le destin choisit de frapper.
Cela se passa un jour comme les autres. Au matin, rien ne différenciait ce jour du précèdent ou de celui de l’avant-veille mais avant midi, les choses évoluèrent différemment.
Aux portes du village se trouvait une sorte de poste de garde, cela faisait des années que le village n’avait plus été attaqué mais pour se rassurer, les habitants l’avait toujours laissé en fonction et quelques villageois se relayaient pour servir de milice et surveiller les alentours. Ce jour là, c’était le fils du boucher qui se trouvait de faction. A peine eut-il vu quelques formes sombres se mouvoir en direction du village qu’un éclair s’abattit sur lui prenant sa vie au passage. Un raiton. La chance des villageois fut que cette attaque, car c’en était bien une, n’était en rien discrète et à peine les brigands avaient-ils posé le pied dans les lieux que la majorité des hommes avaient pris leurs outils et les attendaient.
Ikari se trouvait parmi eux, ce n’est pas que l’idée de combattre l’enchantait mais, comme on dit, quand faut y aller. L’ennemi était inférieur en nombre mais pas en puissance et d’autres éclairs vinrent décimer les rangs des villageois. C’est encore une fois la chance qui sauva Ikari, s’il ne s’était pas trouvé au bon endroit, il aurait été gravement blessé comme ces pauvres diables qui gisaient à présent par terre.

Cette première attaque passée, le combat s’engagea véritablement, chacun faisant de son mieux pour vaincre ces ennemis. Le forgeron du village était le plus impressionnant : torse nu, il chargea, un marteau dans chaque main. Ses ennemis avaient leur ninjutsu, lui avait sa peau, tannée comme du cuir à force d’être près du feu toute la journée. Il leur donnait du fil à retordre mais ne parvenait pas non plus à les vaincre, même avec l’aide des autres. La situation semblait désespérée.
Le nombre ne suffisait pas et les blessés se faisant de plus en plus nombreux. Par chance, excepté le fils du boucher, il n’y avait pour le moment pas de mort. Mais si le combat devait venir à s’éterniser, et si on ne pouvait porter secours aux blessés ce chiffre risquait fort d’augmenter dramatiquement.

Ikari donnait tout ce qu’il avait mais, ce n’était pas suffisant. Son adversaire semblait jouer avec ses assaillants, s’amusant à les envoyer voltiger un peu plus loin à l’aide de petits éclairs. Les décharges n’étaient pas mortelles mais restaient quand même douloureuses, pourtant à chaque fois le gamin se relevait et tentait une autre attaque.
A force de persévérance, il finit par réussir à envoyer son marteau dans le genou de l’ennemi. Un craquement sinistre se fit entendre et il tomba au sol. Déjà les villageois qui l’entouraient étaient sur lui et le rouaient de coup, avec l’énergie du désespoir.

Les compagnons de leur victime, voyant cela, voulurent intervenir mais c’est là qu’une troisième fois la chance aida les villageois, un groupe de shinobi de Yuki de retour d’une mission vint à passer et leur prêta main forte. Avec leur aide, le combat s’acheva en un rien de temps.
On les pria de rester la nuit, et ceux-ci, fourbus, acceptèrent volontiers.

Cette nuit, Kaede et Seito prirent une décision qui leur fut difficile mais tous deux en convenaient, c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. Le lendemain, ils allèrent trouver les shinobi et négocièrent pour qu’ils emmènent avec eux Ikari jusqu’à Yuki où il irait vivre avec sa sœur. Le principal intéressé protesta, prétextant que si ces ennemis devaient revenir, il voulait être là pour pouvoir lui aussi protéger le village. Pourtant c’était justement dans l’hypothèse où d’autres anciens shinobi devenus des bandits viendraient qu’ils voulaient que leur fils quitte le village. A défaut de le convaincre, ils réussirent à le faire accepter.

Le village natal d’Ikari se trouvant à quelques jours de marche de Yukigakure no sato, il eut tout loisir de discuter avec les shinobi qui lui servaient de guide, de leur métier et de ce que ça impliquait. Sa sœur lui avait un peu parlé de ce qu’elle faisait à l’académie mais, le sujet restait pour lui assez nébuleux de même que ce grade qu’elle avait atteint, gaynin ou quelque chose dans ce genre. La conclusion à laquelle il arriva à la fin de sa discussion avec eux fut que seul un fou voudrait d’un tel métier. Qu’est-ce qui avait bien passé par la tête de sa sœur lorsque celle-ci avait choisit cette voie ? Il faudrait qu’il le lui demande.
Ça risquait de lui faire drôle lorsque elle le verrait arriver, quoique, connaissant la prévoyance de ses parents, ils avaient dû trouver un moyen de la prévenir. Et en effet, le village possédait des oiseaux afin d’alerter le village principal en cas d’invasion ou de troubles sur la frontière, ils servaient également, comme ce fut le cas ici, à transporter des courtes missives.

Le voyage se passa sans incident notable mais, ça n’est pas une raison pour ne pas en parler un peu plus en détails. Le périple dura au total trois jours. S’il n’y avait pas eu Ikari, nul doute qu’ils seraient arrivés plus vite mais, ils n’étaient pas non plus à un jour ou deux près. Ils parlaient beaucoup, que ce soit entre eux ou avec Ikari, un moyen comme un autre de tuer le temps. Si au début ils lui parlèrent de leur métier, au bout de quelques heures, ils avaient tant digressé qu’ils en étaient venus à parler musique. Lui n’y connaissait pas grand-chose, devant se contenter de ce qui passait à la radio chez lui et pour être franc, ce qu’il avait entendu pour le moment l’avait plutôt ennuyé, mais eux lui parlaient de musique sauvage, de musiciens hurlant et gesticulant, sur qu’il aurait aimé voir ça. Tels qu’ils décrivaient ces groupes, ça lui faisait plus penser à un combat qu’à un concert. Des guerriers dans une arène, voila ce qu’il en pensait.

Le garçon se retournait souvent, comme pour vérifier s’ils n’étaient pas suivis. Sans doute ses accompagnateurs étaient-ils les plus à même de détecter une éventuelle attaque de brigands mais, il ne se sentait pas tranquille. Ils ne seraient véritablement en sécurité qu’une fois à Yuki. Et ses parents, il espérait qu’ils allaient bien, oui, s’ils l’avaient éloigné, c’était pour qu’il ne les gène pas, rien de plus, le village pouvait très bien s’en sortir sans lui, il n’était rien d’autre qu’un gamin. Vivement qu’ils arrivent, là il se sentirait en sécurité.

A l’aube du troisième jour, lorsqu’il se réveilla, à côté des braises de ce qui avait été leur feu de camp, l’un des shinobi lui dit qu’ils étaient presque arrivés, il restait à peine deux heures de marche. S’ils ne les avaient pas faites la veille, c’était pour la bonne et simple raison que ça pouvait s’avérer être dangereux, il valait mieux arriver un jour plus tard en un seul morceau qu’en avance avec une jambe fracturée ou pire.
Et effectivement, ils eurent à passer une zone de pack avant d’atteindre le village, ce qui en plein jour ne fut pas très difficile mais qui en pleine nuit aurait pu se révéler un piège mortel.
Une fois dans le village, il lui indiquèrent (d’après l’adresse où Ikari envoyait ses lettres), où habitait sa sœur puis après lui avoir souhaité une bonne continuation, ils le laissèrent. Il lui fallut demander encore plusieurs fois son chemin. C’était la première fois qu’il voyait autant de maisons et de personnes au même endroit et qu’il ne se perde pas lui sembla tenir du miracle.

Lorsqu’il arriva enfin devant chez sa sœur, un petit appartement sans prétention, il trouva un mot épinglé sur la porte. Il le prit entre ses mains gantées et le lut avant de le glisser dans l’une des poches de sa veste. Sa sœur était sortie et ne reviendrait selon le mot pas avant une bonne heure. Les battements de son cœur s’accélérèrent , il allait enfin la revoir après une bonne année passée loin d’elle. Sans doute avait-elle changé et il espérait la reconnaître, d’un autre côté, ce ne serait pas difficile puisqu’il n’y aurait pas quinze personnes qui se présenteraient ici. En l’attendant, elle l’invitait à rentrer et à se restaurer.
Ikari,
Je suis désolée mais j’ai dû partir de toute urgence. Je reviendrai sans doute dans un peu plus d’une heure. Si tu arrives pendant mon absence, entre et mets toi à ton aise. Il reste de pain et des fruits à la cuisine. N’oublie pas d’enlever tes chaussures et de bien te sécher s’il y a eu du blizzard.
Mai

Le jeune homme ne se fit pas prier pour rentrer, il ferait sans doute meilleur dedans que dehors. Il n’était pas du genre frileux mais rester sous la neige quand on l’invitait à rentrer n’était pas non plus son genre. Lorsqu’il poussa la porte, un carillon retentit et il découvrit l’endroit où vivait sa sœur, ça ne semblait pas bien grand mais, c’est vrai que même avec l’argent que lui envoyaient leurs parents, ça n’avait pas dû être facile pour elle, tous les jours.

Comme elle le lui avait demandé, il retira ses chaussures et déposa sa veste dans l’entrée après quoi, il s’aventura un peu plus avant dans l’appartement. Son estomac se rappela alors à son bon souvenir et il se dirigea vers la cuisine où l’attendait effectivement de quoi se restaurer, pas grand-chose mais ce serait suffisent. Une fois repu, il reprit son tour du propriétaire, ce serait rapide. Non sans joie, il constata que sa sœur possédait un lecteur de disques, peut-être même avait-elle des cd des groupes dont lui avait parlé les shinobi avec qui il avait fait le trajet.

Il se permit de mettre un disque, elle ne lui tiendrait pas rigueur de s’être mis ainsi à l’aise. Aussitôt on put entendre les cris de la foule en délire. Un live. L’homme parlait dans une langue qu’Ikari ne connaissait pas mais il y avait assurément quelque chose dans cette musique. Le son résonnait en lui, la musique faisait écho à travers lui. Il se surprit même à battre la mesure après s’être installé sur le canapé en attendant que sa sœur daigne rentrer.

Il n’eut pas à attendre bien longtemps. En effet, quelques chansons plus tard, le carillon résonna à nouveau. Il se leva d’un bond, il allait revoir sa sœur, enfin ! Lorsqu’il la vit, une chose le frappa… c’était un homme. *Merde, il lui est arrivé quoi ?*. Et elle, (enfin lui), au lieu de lui souhaiter la bienvenue lui demanda qui il était. Quelque chose d’autre que le carillon clochait, c’était qui ce type qui remplaçait sa sœur ? Soudain, une voix féminine s’éleva :
"Ken-senseï, c’est mon petit frère, Ikari. Ikari, je te présente Kenjiro Watsuki, c’est mon supérieur lors des missions pour le village."
"Salut p’tit gars"
s’exclama l’homme en lui passant une main dans les cheveux.
"Salut."
"Hé ! Hé ! T’es du genre extraverti toi hein." Plaisanta-t-il.

Ouais, Kenjiro était du genre observateur, un peu comme Ikari lorsqu’il avait comprit que le type n’était pas sa sœur après une opération chirurgicale foireuse. Avec son affaire urgente, elle ne s’était rappelée qu’Ikari devait venir qu’au moment où elle avait entendu sa voix, enfin, pour un premier contact, ça ne s’était pas trop mal passé.
S’en suivirent les embrassades entre le frère et la sœur. Elle lui dit qu’elle était contente de le revoir, lui aussi, surtout qu’elle était encore plus belle que dans son souvenir.

L’homme s’éclipsa, ne voulant pas les déranger plus longtemps dans leurs retrouvailles. Enfin, de toute façon, il ne serait pas resté bien longtemps, il avait juste raccompagné l’une de ses mignonnes kunoichi chez elle. Il y a tellement de pervers qui traînent dans les rues de nos jours.
Après qu’Ikari lui ait raconté son voyage, elle lui montra sa chambre, en fait, ils allaient partager la seule chambre, un futon avait été installé par terre à son intention. Il y déposa les quelques affaires qu’il avait emportées avec lui. C’est à ce moment là qu’elle déposa un petit paquet sur ses genoux. Un cadeau de bienvenue lui dit-elle. Lorsqu’il le déballa, il découvrit avec émerveillement un lecteur de musique. Il la remercia sans un sourire, habituée à son inexpressivité, elle ne dit rien, elle le savait sincère.

Ce n’est que lors du repas du soir que Mai lui parla à contrecoeur de ses histoires d’argent. Elle ne s’était jamais plainte auprès de leurs parents mais, plusieurs fois elle avait eu du mal à joindre les deux bouts malgré les sommes qu’ils lui envoyaient. A présent qu’Ikari allait habiter avec elle, ce serait encore plus difficile. Elle semblait gênée de lui parler de ça mais elle n’avait pas le choix. Ce fut ce qu’elle dit ensuite qui la mit encore plus mal à l’aise. Elle lui demandait de mettre lui aussi la main à la pâte en travaillant de son côté.

Mai ne savait pas vraiment comment il allait réagir à cela, surtout qu’avec son éternel expression de calme sur le visage, elle ne pouvait savoir à quoi s’en tenir. C’était dans ses yeux qu’elle arrivait parfois à détecter une émotion. Peut-être était-ce dû au stress qu’elle ressentait mais toujours est-il que ce jour là, elle ne vit absolument rien dans son regard.
Calmement, son frère posa ses couverts et s’essuya la bouche avec sa serviette. Il faisait beaucoup de manières pour quelqu’un de la campagne mais, sa sœur n’avait pas la tête à ça. C’était sa réponse qui l’intéressait, pas sa manière de se tenir à table.

Lorsque enfin il prit la parole, après ce qui sembla une éternité, ce fut pour lui demander le sel. Fatigué du voyage, il avait eu un petit moment d’égarement et n’avait pas entendu la question de sa sœur. Celle-ci croyant qu’il se moquait d’elle faillit perdre patience mais lorsqu’il lui demanda ce qu’il y avait, elle comprit son erreur, de toute façon, ce genre de blague ne lui ressemblait pas.

Une salière plus tard, elle lui reposa la question fatidique et cette fois-ci obtenut sa réponse. Pour lui, la question ne se posait même pas. Il ne voulait pas être un fardeau pour elle alors qu’elle avait accepté qu’il vienne habiter avec elle sans hésiter. Quoique, il devait déjà être en route lorsqu’elle avait reçu le courrier se leurs parents mais qu’importe.
Le problème, comme elle le lui fit remarquer, était qu’il n’y avait pas beaucoup de métiers où on engageait des jeunes de son âge. A vrai dire, elle n’en voyait qu’un, celui de shinobi.
Il y avait bien quelques petits jobs qui permettaient à un adolescent de gagner un peu d’argent de poche mais seul le métier de shinobi offrait une solde suffisante.

Certes Ikari voulait aider sa sœur mais pour ce qu’il en avait entendu, ce métier ne le tentait pas vraiment. Pour le taquiner Mai lui demanda s’il avait peur, s’il craignait de devoir se battre. Pour ça non !
"Tu parles de ton frère là, celui qui ne fuit pas même lorsque c’est perdu d’avance."
"Je le sais bien. Va, je te taquinais juste un peu. Mais dis toi que c’est justement comme un combat."
"Soit, je veux bien essayer, pour toi et pour ce combat dont tu me parles. Mais pas un mot aux parents."
"Bien sur. Père pourrait être heureux de ce choix mais mère, elle, n’approuverait pas."

Sa décision, quoique un peu rapide, était prise. Dès le lendemain, il s’inscrirait à l’académie et rejoindrait les rangs des shinobi de Yuki. Il ne restait plus qu’à espérer que sa mère n’aurait pas vent de ça, sans quoi elle risquait de follement s’inquiéter pour lui.

Qualités : Le fait de ne jamais vouloir reculer et ce quelle que soit la situation est sans doute sa plus belle qualité. Outre celle-ci, c’est un garçon sur qui on peut compter, il est toujours prêt à rendre service, même s’il ne se propose pas souvent et il adore le travail d’équipe, partant du principe que c’est la clef de la réussite.

Défauts : Bien que l’on se voudrait parfait, nous avons tous nos défauts. Ikari par exemple est quelqu’un d’assez renfermé, qui ne se confie pas beaucoup. Il garde souvent ses sentiments pour lui, ce qui peut le faire passer pour une personne froide et distante. Il lui arrive aussi de se montrer dur avec les autres et au-delà de la franchise, il peut se montrer blessant dans ces moments, mais il se montre également très exigeant avec lui-même.

Nindo : Ne jamais reculer, ne jamais abandonner.

Ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas : Comme beaucoup de garçons de son âge, il aime les jolies filles, en particulier sa sœur pour qui il ressent des sentiments parfois assez malsains au regard de la société.
Rester assis des heures sur une chaise à étudier n’est pas vraiment sa tasse de thé. A cela, il préfère l’entraînement et le dépassement de ses limites par l’effort physique. Les rares fois où il a été amené à se battre avec des enfants de son âge, il s’est également surpris à ressentir une joie immense à leur cogner dessus. Ce n’était pas du sadisme mais plutôt la joie de se savoir le plus fort. Il aime dominer et n’apprécie pas d’être considéré comme faible ou d’attirer la pitié.
Dernière modification par Ikari Yorukawa le lun. 25 juin 2007, 21:04, modifié 1 fois.
Ikari, Shimei Yorukawa genin à Yukigakure no sato

Cause I'm T.N.T., I'm dynamite
T.N.T. and I'll win the fight
T.N.T. I'm a power load
T.N.T. watch me explode
Neï Saïdo
Etudiant réfractaire
Messages : 233
Inscription : lun. 02 janv. 2006, 13:04
Localisation : So mE we Re

Message par Neï Saïdo »

Bienvenu....

st'est pas marqué fermé ? ché pas moi, a part avec u ptit mp au admin, normalement là, tu te fait engeuler...

enfin a pluche
Neï Saïdo Etudiant à Yuki No Kuni
Plop.OwNeD.
Avatar de l’utilisateur
Leolio Mimura
Kazekage Attrape Poussière
Messages : 2673
Inscription : ven. 24 déc. 2004, 16:51
Question obligatoire : NNS
Contact :

Message par Leolio Mimura »

Si je ne me trompe pas on a bien reçu un MP. Mais maintenant je n'ai pas parole d'évangile
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
Avatar de l’utilisateur
Ryo Hazuki
Chûnin
Messages : 1199
Inscription : mar. 12 avr. 2005, 23:35
Question obligatoire : NNS
Localisation : Yuki no kuni
Contact :

Message par Ryo Hazuki »

Bienvenue au pays des glaçons. Rien à redire concernant ton BG, le réglement est respecté. Code couleur bon, longueur suffisante, belle description.

Au plaisir de jouer avec toi. Attend l'avis d'un modo
Ryo Hazuki Chunin Kita no Arawashi de Yukigakure No Sato

Ryo Anbu :
Cliquez pour afficher le message:
Image
Avatar de l’utilisateur
Wei-chi Komoku
Bisho Chûnin.
Messages : 2957
Inscription : mar. 22 août 2006, 19:05
Localisation : Là où la neige est la plus belle.

Message par Wei-chi Komoku »

Yup, c'est ok pour moi. Bienvenue tout ça :)

Nei => YUki est FERME mais paradoxalement on peut s'y inscrire. Il faut juste attendre la fin de l'examen chuunin pour un nouveau cours :)
Weï-chi Komoku (so-called) chûnin de Yukigakure No Sato

"There was a chuunin and his wife...and she was beautiful...a foolish chuunin and his wife..."
Haki Tokinoki
Genin nij'na
Messages : 457
Inscription : lun. 02 janv. 2006, 20:13
Localisation : Iwagakure no Sato

Message par Haki Tokinoki »

Y'a trop de Pingouins. :blink:

Mais bienvenue quand même. (d'ailleurs, pourquoi Yuki et pas les villages ouverts, justement ? xD)
» Iwa no Toki

RP:
» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage :)
Sukyuri Kisuke
Genin
Messages : 254
Inscription : sam. 07 oct. 2006, 18:59
Question obligatoire : NNS
Localisation : Quelque part dans un château hanté

Message par Sukyuri Kisuke »

Parceque Yuki est le MEILLEUR village :) te dira t'il (même si ces membres ne sont pas les plus fort ninja...Allez Sagara, faut gagner)
Sukyuri Kisuke du clan Sukyuri. Genin à Yukigakure No Sato

Team Akikaze
-Primura Tchinonamida
-Tenki Kentaro
-Shousan Minzokujiketsu
-Kisuke Sukyuri (Le nullard en posts d'entraînement -_-")
Rin Urusaki
Jûnin
Messages : 467
Inscription : sam. 14 avr. 2007, 21:45
Localisation : Yuki no Kuni.

Message par Rin Urusaki »

J'aime pas la mise en page. Sauter des lignes pour les dialogues alors que c'est en raport avec le truc d'avant/après, pour moi ça coupe tout.
Et les titres, mis comme ça, on dirait aussi qu'il se rapportent au paragraphe du dessus, et pas à celui d'en dessous (la présentation c'est super important pour une lexture claire et agréable).
Urusaki Rin.
Avatar de l’utilisateur
Tenki Kentaro
Genin
Messages : 209
Inscription : jeu. 06 avr. 2006, 16:36
Localisation : Yukigakure No Sato
Contact :

Message par Tenki Kentaro »

Perso, j'adore la mise en page et le saut de ligne pour les paroles :D

Bienvene à Yuki. Dommage qu'il manque un peu de files ce coin, mais c'est très sympa comme pays. A bientot !
Tenki Kentaro, Genin de Yuki
Rin Urusaki
Jûnin
Messages : 467
Inscription : sam. 14 avr. 2007, 21:45
Localisation : Yuki no Kuni.

Message par Rin Urusaki »

Donc, après avoir lu : je trouve que ça manque vachement de repères temporels. Tu dis quelques années après, voir tu dis rien, mais on sait pas trop quoi ce passe à quel âge...
Urusaki Rin.
Avatar de l’utilisateur
Ikari Yorukawa
Genin
Messages : 297
Inscription : ven. 15 juin 2007, 15:37

Message par Ikari Yorukawa »

Et c'est sous un tonnerre d'applaudissements qu'Ikari s'avance. La foule hurle, il aime ça. Il aime se faire acclamer par son public.
Déjà il a fait quelques pas sur la scène et s'est emparé du micro. Sans pour autant aller jusqu'à reprendre toutes les pauses éculés du glamrock, Ikari soigne sa gestuel et chaque mouvement est soigneusement étudié.
Lorsqu'il prend la parole, la foule se tait enfin.

"Hey, quel accueil ! Merci de vouloir prendre soin de moi Neï et de vouloir m'éviter des engueulades, j'avais bien vu que c'était fermé donc j'ai demandé la permission avant de poster. Et puis, sont sadique à ce point vos modos ? Na, j’crois pas.

Ryo, si l'occasion se présente, ce sera avec plaisir, on ira se pinter la gueule tous les deux. Et si vous me dites qu'il n'y a pas une gargote descente à Yuki, c'est décidé je me barre à Konoha, le pays des pochtrons.

À la question pourquoi Yuki, mais c'est évident p'tite ! Suna fait trop chaud et Konoha est squatté par la racaille Iwaienne. T'vois si mes parents m'envoient dans un village caché afin que je sois en sécurité, c'est pas pour que le lendemain je me fasse racketter par des fausses cailles. Viendez donc j'vous attends, j'ai pas peur, chuis un tueur moi. Bon ok, je suis censé être assez inexpressif mais on va dire que j’ai bu.

Merci à vous deux Tenki et Kisuke. Pour la mise en page, y a eut quelques erreurs, genre des sauts de lignes là où il fallait pas, word c'est bien affilié à windows ? Si oui, c'est normal que ça ait merdé, Tuxy vaincra ! C'est pitêtre aussi pour ça que je suis allé à Yuki, voulais voir des pingouins.
Rin-baa-san, j'ai réglé les petits problèmes sus cités. Et ouais, je sais aussi m'exprimer normalement."



(on passera sur le craquage de l'hauteur, la journée a été longue).
Ikari, Shimei Yorukawa genin à Yukigakure no sato

Cause I'm T.N.T., I'm dynamite
T.N.T. and I'll win the fight
T.N.T. I'm a power load
T.N.T. watch me explode
Neï Saïdo
Etudiant réfractaire
Messages : 233
Inscription : lun. 02 janv. 2006, 13:04
Localisation : So mE we Re

Message par Neï Saïdo »

Enfaite, si. Il s sont si sadique que ça ^^. Surtout le mec en noire avec des cheveux blanc, c'est un grand méchant!:P
sinon, ba, fait ce qu'on te dit, tu sera accepté. C'est pas trop compliqué ce que l'ont te demande ^^.
Neï Saïdo Etudiant à Yuki No Kuni
Plop.OwNeD.
Rin Urusaki
Jûnin
Messages : 467
Inscription : sam. 14 avr. 2007, 21:45
Localisation : Yuki no Kuni.

Message par Rin Urusaki »

Je suis d'accord que les forces du village soient mobilisées pour contrer une attaque, mais avec un enfant de 11 ans ? Se jeter au combat comme ça ?...
Urusaki Rin.
Avatar de l’utilisateur
Leolio Mimura
Kazekage Attrape Poussière
Messages : 2673
Inscription : ven. 24 déc. 2004, 16:51
Question obligatoire : NNS
Contact :

Message par Leolio Mimura »

bah pourquoi pas. N'a-t-on jamais vu d'enfants participer à des guerres? C'est comme croire que ce ne sont pas des mômes qui fabriquent les nike ^^

Mais bon, après c'est vous qui voyez mais moi je trouve pas mal ce que j'ai lu (bon j'ai pas tout lu....)
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
Haki Tokinoki
Genin nij'na
Messages : 457
Inscription : lun. 02 janv. 2006, 20:13
Localisation : Iwagakure no Sato

Message par Haki Tokinoki »

[referp=73694;quote="Rin Urusaki"]Je suis d'accord que les forces du village soient mobilisées pour contrer une attaque, mais avec un enfant de 11 ans ? Se jeter au combat comme ça ?...[/quote]

Iwa a utilisé des enfants de 8 ans lors de l'attaque contre le village :D
(les salos)
» Iwa no Toki

RP:
» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage :)
Répondre

Revenir à « Votre personnage-Présentation pour Makyou no Kuni [Fermé] »