Takimura Yavin [Accepté]

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Takimura Yavin
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Message par Takimura Yavin »

(Qui ne tente rien n'a rien, donc bon ... :P )

La nuit est tombée, voilà de ça 10 jours … Quelle ironie. De massives silhouettes de métal se dessinent ici et là. Etalées sur cette lande gelée, les épaves des bateaux pris dans la glace font mine d’âmes à jamais prisonnières de ces lieux, reflétants la défaite de l’homme face à la nature ici bas. Plus loin se dessine la silhouette fuyante d’une forêt, tâche sombre à l’horizon. A l’orée de celle-ci, une cabane illuminée à la lueur des bougies, telle un sanctuaire dans cet environnement hostile. Un courant d’air, naviguant en rase-mottes sur toute l'étendue, rafraîchissant les ardeurs de n’importe quel aventurier chevronné. Pourtant, à quelques mètres de la cabane, un animal se tient debout sur une souche de sapin géant. Une bête sauvage ? A mieux y regarder, il s’agit d’un homme, un enfant même. Seulement un enfant …

Si l’on tend l’oreille, on peut entendre cet enfant chanter, un murmure mélodieux résonant à peine dans le vide qui lui fait face. Soudain, le froid se fait plus rude, les bougies à l’intérieur de la maison s’éteignent. L’enfant ne chante plus, tout devient calme. Le bambin, emmitouflé sous un léger manteau, plaque ses genoux contre son torse et se bouche les oreilles, la tête vers le sol.

« Sclach ». Un bruit violent retentit dans toute la lande. Puis des cris humains, auxquels se succèdent de nouveau ce bruit sec. Pendant près de dix minutes s’alternent de véritables cris d’agonie et le son d’un fouet. Par moments, certains mots deviennent audibles, tels « Pourquoi », « Lâche », « Lui », « Partir », « Mauvais », « Mal », « Mal », « Mal »

Puis, plus rien, de nouveau le calme, un silence presque oppressant. Un homme couvert à moitié par une bure, laissant son tronc exposé aux morsures du froid, sort de la cabane, portant un sac de bon volume dans les mains. S’approchant du jeune toujours recroquevillé, l’homme tâche la glace sous ses pieds d’un sang rendu noir par l’obscurité. Il dépose le sac aux pieds de l’enfant et finit par apposer sa main gauche sur une des épaules de cette pauvre créature apeurée, avant de retourner dans la cabane. Apeurée ? Peut être pas, à la vue d’un sourire en demi-teinte sur son pâle visage. Dérangée fut plus correct, et au combien applicable aux divers sens du mots.

Prenant le sac sur son dos, l’enfant s’engouffra alors dans l’obscure forêt par un chemin semblant serpenter entre les arbres, sa vitesse de déplacement tant ralentie par le poids de son contenant en toile miteuse que part la vague de froid.


Nom : Takimura


Prénom : Yavin


Âge : 14 ans


Description physique :

Yavin est un gamin aux proportions communes, d’une taille approximative d’1m75 pour un poids de 70 kilos. Dans l’obscurité, sa silhouette ressemble quelque peu à celle d’une fouine de taille humaine, sa colonne vertébrale présentant une courbure prononcée.

Ses cheveux en bataille lui couvrent les oreilles ainsi que le front. Tout comme la glace sous les rayons de la lune, ils ont une couleur argentée et reflètent tant la lumière que sa personnalité. Bien que mal coiffés, ses cheveux sont d’une propreté irréprochable, laissant deviner leur immersion de longues minutes dans une eau glacée.

Il revêt une sorte de bure de même couleur que ses cheveux, lui permettant tant d’éviter de mourir de froid que de se fondre dans le paysage arctique. Bien que peu rembourrée, cette bure tient suffisamment chaud, sans gêner les mouvements de son porteur. Elle possède de larges poches et une capuche en cas d’intempéries. Le jeune garçon se plaît à porter une écharpe de couleur noire, lui protégeant ainsi la gorge et brisant l’harmonie des couleurs. Il affectionne d’autant plus cette écharpe que c’est lui-même qui l’a cousue et teinte grâce aux baies de la forêt, un travail de longue haleine.

Ses yeux sont étrangement colorés d’orange, lui valant ainsi de se faire remarquer. Pour palier à ceci, il a l’habitude de porter des lunettes aux teintes sombres, dans la continuité de son écharpe. Ses fins sourcils, de la couleur de ses cheveux, laissent clairement s’exprimer l’impression fuyante de son regard.

Yavin n’enlève que rarement son écharpe, laissant difficilement le loisir aux autres d’observer le bas de son visage. On ne peut que deviner des joues peu marquées par les expressions faciales, et probablement une petite bouche aux fines lèvres. Tout comme le reste de son visage, la partie inférieure doit arborer des teintes pâles.

En mouvement, le garçon a l’habitude de ne pas s’appuyer sur ses talons, le rendant ainsi un peu plus grand qu’il ne l’est réellement. Il possède en outre une cicatrice, s’étalant du haut de son épaule droite vers le bas de son dos, récente et encore douloureuse.


Caractère :

Yavin est tantôt docile, tantôt indomptable. Il peut ainsi créer facilement des liens, et tout aussi facilement les rompre. L’adolescent pense que la valeur d’un homme est définie par ses actes présents, l’héroïsme d’hier n’excusant d’aucune façon la bêtise d’aujourd’hui. Ainsi, il ne prêtera pas attention aux titres et rangs de chacun si ceux-ci ne montrent pas leur valeur en chaque occasion. Tout comme il ne juge pas sur des antécédents héroïques, il ne tient pas en compte non plus des antécédents qui démontrent la peur, la faiblesse. Il sait que tout humain peut changer, il sait aussi que certains ne changeront jamais.

Profondément marqué par les valeurs inculquées par son père, Yavin se plaît à observer, juger, puis enfin agir. Une attitude qui put être fort honorable si l’enfant ne se bornait pas à un jugement utile/inutile. Du fait de son éducation, il ne possède aucune notion de bien et de mal, et n’a donc aucune limite éthique. Il connaît évidement la peur et la douleur, le faisant agir bien plus comme une bête que comme un homme, par instinct de survie.

Il a cependant de la suite dans les idées, même si celles-ci peuvent être considérées comme mauvaises, et se donne toujours à fond. La simple évocation d’un travail bâclé le répugne. Yavin reste un enfant à l’esprit confus, tourmenté par des questions auxquelles lui seul se veut de répondre. Bien plus élève de son maître que fils de son père, le jeune garçon manque cruellement de repères, choses normales pour la plupart mais inconnues pour lui. Il n’eut à voir que peu de démonstrations d’affection, sachant que toutes celles qu’il a pu voir furent considérées par son père comme une faiblesse. En conséquence de quoi, Yavin considère lui aussi l’attachement comme une faiblesse, suivant le simple exemple de son père.

C’est aussi un garçon curieux, attentif à tout ce qui l’entoure. Il est capable de rester des heures face à un paysage, perdu dans ses réflexions. Il est aborde une personne inconnue de la même façon qu’un objet inconnu, et peut donc paraître légèrement déplacé. Yavin préfère de loin le dialogue aux conversations à plus de deux personnes, pensant qu’il est plus facile de dominer une personne seule. A ce titre, il n’apprécie que modérément les espaces surpeuplés où la rumeur se transforme en un véritable vacarme, se sentant comme harcelé, à fortiori lorsque plusieurs personnes l’observent, voire le dévisagent.

Sans être timide, Yavin préfère ne parler que lorsque cela lui est utile. S’il n’a aucun intérêt à prendre la parole, il ne le fera sûrement pas.


Histoire :

On ne sait que peu de choses sur cet homme appelé Frère, à défaut de nom véritable. Le soleil n’avait pas encore décidé d’hiberner lorsqu’il arriva dans ce petit village, à l’extrême nord. Dans ces contrées reculées, chaque village faisait office de véritable oasis, fournissant gîte et couvert au voyageur capable de couper le bois. C’était un homme de grande taille, les cheveux très clairs, et possédant une voix envoûtante. Il était habile de ces mains, tant pour fendre les sapins que pour fendre les crânes des loups et autres ours. Il ne tarda pas à se faire un nom au sein du village, non pas à cause de non habileté, mais à cause de sa façon de vivre et de penser. En effet, il se disait « éclairé ». Par quoi exactement ? On ne sait pas, cela étant qu’il s’imposait un code moral strict, et n’en attendait pas moins des autres. Les mois passant, il finit par se ranger au coté d’une femme aux longs cheveux d’un noir de jais, fille de l’apothicaire du village. Il ne fallut que peu de temps pour qu’un enfant ne naisse.

Yavin fit donc son entrée dans le monde en l’un des lieux les plus reculés et les moins propices à la vie qu’il soit. Un bébé d’abord comme tant d’autres, qui se singularisa lorsqu’il put ouvrir les yeux et révéler à tous sa particularité physique : ses pupilles orangées. Charmant pour certains, signe du démon pour d’autres, la nouvelle se répandit bien vite dans tout le village. Des commérages qui s’estompèrent bien vite, laissant place à de nouveaux sujets de discutions tout aussi passionnants.

Lorsque Yavin eut atteint l’âge de se nourrir avec du solide, son père l’emmena, quittant le village aussi rapidement qu’il s’y était installé, sans autre forme d’adieu qu’un simple mot sur une table. Pendant plusieurs jours, Yavin fut porté par son père à travers la forêt jusqu’à finalement atteindre la fin de celle-ci, révélant une mer gelée formant une gigantesque plaine désertique. C’est à l’orée de cette forêt que le père de Yavin, profitant de son expérience de bûcheron et de menuisier, construisit une cabane en bois de sapin, d’assez bonne facture.

C’est ainsi que tout deux débutèrent une existence d’ermites, loin de toute civilisation, se nourrissant de chasse et des baies résistantes au froid que l’on pouvait trouver. D’aussi loin qu’il puisse s’en souvenir, Yavin a toujours entendu son père crier parfois, la nuit. La curiosité l’emportant sur la raison, il décida une nuit de se lever de sa couche pour connaître la raison de ces cris. Son père, un fouet à la main, s’adonnait à un rituel d’auto flagellation. Yavin ne demanda même pas pourquoi à son père, du haut de ses 7 ans il le savait déjà. Avant chacune de ces séances, son père revenait toujours les habits déchirés, tachés de sang. Pour un enfant si jeune, il est difficile de conceptualiser la mort, et de croire que son père puisse tuer. Et pourtant lui le pouvait, considérant cela comme normal. C’est à partir de cette nuit que son père mourut, laissant la place à un maître exigeant.

Il est à noter que Yavin ne fut jamais torturé autrement que mentalement durant son enfance. Son père lui enseigna l’art de la chasse, sans jamais lui faire tuer quelque animal que ce soit. Voyant qu’il apprenait vite, le Frère décida de passer à quelque chose d’autre, l’entraînement physique. Il lui montra les diverses façons de repousser ses limites et de mettre son corps à l’épreuve, telle la douche dans l’eau glacée, l’escalade, ou encore la démolition d’arbre. Cependant, son père modérait cet entraînement, stoppant ainsi son fils pour lui faire ressentir le moins de douleur possible. Lorsqu’il eu atteint l’âge de raison, Yavin compris pourquoi il agissait ainsi : « C’est ma faiblesse en tant que maître que de t’avoir pour fils. » comme le lui avait dit un jour son père. Cette nuit là, il s’infligea le supplice du fouet pendant plus de deux heures.

Plus le temps passait, plus Yavin comprenait son père et sa morale. Le Frère s’adonnait maintenant à des démonstrations journalières de combats à mains nues contres diverses bêtes sauvages, ou sous simple forme de kata. Yavin ne devait pas reproduire, juste assimiler. Son père lui enseignait ainsi ce qu’il appelait le « premier mouvement du cycle », l’observation. Le style de combat de son père se caractérisait par des mouvements très fluides, n’ayant pas pour objectif la démonstration de force brute, mais l’immobilisation de la cible adversaire. Cassage de membres, aveuglement … autant de façon de gagner un combat que le Frère tentait d’inculquer à Yavin.

La montée en âge du jeune adolescent donnait lieu à des conversations à des buts plus philosophiques entre lui et son père, qui n’avaient pour effet que d’harceler l’esprit du jeune adolescent de multiples questions. « Qu’est ce que la vie ? », « Qu’est ce que la mort ? » … Un véritable bourrage de crâne pour un garçon de 14 ans. Ainsi commençait l’apprentissage du « second mouvement du cycle », le jugement. En écoutant parler son père, et par ses propres déductions, il en conclus que ce qu’il avait pour habitude de faire était bien, tout comme ce que son père avait pour habitude de faire. Ainsi, l’isolement social et les paroles de son père finirent par lui ôter toute notion de bien et de mal, jusqu’à ce qu’il soit confronté directement à un choix.

Yavin ne savait pas grand-chose de sa mère, mais il s’était forgé une opinion d’elle. Elle n’était pas là, elle n’était pas présente avec lui, elle ne lui avait pas donné l’affection qu’il méritait. Oh bien sûr, l’adolescent savait que son père l’avait emmené loin de sa mère. Mais dans un élan d’égoïsme, il se mit à penser qu’elle aurait pu le retrouver si elle l'avait voulu, qu’au final il n’était pas le centre de son monde. Exposant ceci à son père, celui-ci décida qu’il était temps de lui enseigner le « troisième mouvement du cycle », l’action.

Tout deux se mirent en marche, retournant vers le village où naquit Yavin. Après plusieurs jours de marche, ils arrivèrent enfin à destination. Le premier jour de la nuit perpétuelle venait de s’achever, tout était sombre dans le village. Le Frère guida le jeune garçon vers une maison, à l’extrémité ouest du village. Il lui donna un couteau, et le laissa, avec pour seul mot d’ordre « Agis. ». Pénétrant dans la bâtisse, le jeune garçon se fit aussi silencieux qu’une ombre. Il monta à l’étage, et ouvra silencieusement la porte de ce qui semblait être une chambre. Là, allongée sur un lit, une femme aux longs cheveux noirs dormait paisiblement. Il s’approcha au plus près d’elle, et lui murmura « Tadaima … okâsan … », avant de lui trancher la gorge. Il resta de longues minutes à la regarder intensément, comme un enfant regardant la mort d’un vulgaire insecte, avant de quitter la demeure. Son père l'attendait à la sortie nord du village, l'adolescent dû donc traverser seul la rue principale de la petite bourgade. Marchant d'un pas assuré, le jeune garçon progressait doucement, passant devant les divers commerces. Autant dire que pour ce type de petit village, l'apparition d'un étranger éveille la rumeur de la foule. Yavin eut soudain une étrange impression, comme s'il était nu face aux regards le fixant de toute part. Plus il avancait, plus cette émotion se reforçait, et plus les battements de son coeur étaient irréguliers. Il se décida donc à courir, cette sensation s'attenuant quelque peu avec l'effort, et retrouva finalement le Frère.

Au neuvième jour de la nuit perpétuelle, Yavin et son père furent de retour à leur cabane. Aucune parole n’avait été échangée entre eux durant le trajet. Lorsqu’ils furent tout deux à l’intérieur de l’abri, son père lui annonça qu’il était temps pour lui d’apprendre le « dernier mouvement du cycle », le repentir. Il lui tendit le fouet, et lui ôta la partie supérieure de ses vêtements, mettant son dos à nu. Yavin se mit à genoux et, machinalement, se donna un coup avec toutes les forces dont il disposait, au niveau de son épaule droite. La douleur le fit hurler. Il eut alors comme un flash, une suite de pensées. Il revoyait sa mère, agonisant sur le lit, il repensait à la haine qu’il avait accumulée, à la satisfaction que ce geste lui avait procuré. Qu'y avait-il donc de mal ? Pourquoi le repentir ? Il n’avait fait que se rendre justice, qui d’autre à part lui devait décider si cela était bien ou mal ? Et cette douleur … *La douleur, ça, c’est mal. Je ne veux pas avoir mal*. Puis il envoya l’instrument de torture balader à travers la cabane.

C’est donc sur les mots « J’ai failli … », prononcés par le Frère, que débutait le dixième jour. Yavin fut sommé de sortir de la cabane, et d’attendre. Il savait que dès lors, il se devait de quitter la maison, enfin, la cabane, et de vivre sa vie. Il savait que son père était faible, et qu’il allait lui donner de quoi survivre quelques temps après son idiot « dernier mouvement ». Il savait aussi qu’il n’aimait pas la douleur, et qu’il ferait ce qu’il faut pour ne plus la ressentir. Il savait finalement qu’il ne voulait pas que d’autres décident de sa vie à sa place, la commande. Il devrait redoubler de courage à partir de maintenant.


Ce qu’il aime :

Yavin aime faire les choses à sa façon, et que personne n’interfère dans ses projets. Il s’amuse aussi à observer la vie qui grouille, dans la forêt, dans les villes.


Ce qu’il déteste :

L’adolescent haït au plus haut point le travail bâclé, la souffrance inutile et la confusion mentale. Il n'aime pas non plus être le centre de l'attention générale, et par conséquent, déteste être dévisagé.


Nindo :

« Observe, juge, et agis. Et surtout, ne regrette rien. »
Dernière modification par Takimura Yavin le dim. 22 oct. 2006, 21:34, modifié 5 fois.
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Tenki Kentaro
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Message par Tenki Kentaro »

Bienvenue sur NNS ^ ^

Je trouve ta bio bien écrite, et l’idée de flagellation assez originale. (Même si j’aurais préféré qu’il se flagelle encore, mais je suis un peu sado peut être…). Il reste quelques répétitions de rien du tout, mais ça tu t’en chargera j’en suis sur.

Tu as oublié ses avantages et défauts. Ca nous permettrait de le cerner un peu plus.

Mettre un texte avant la "bio", pour accentuer le moment de son départ, je trouve ça vraiment pas mal :)

Enfin, en dernier, j’aime beaucoup ton avatar ! :D
Tenki Kentaro, Genin de Yuki
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Shirasagi Naju
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Message par Shirasagi Naju »

Dyable.

Un prétendant déserteur.
Karasu Satsubatsu Hana
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Message par Karasu Satsubatsu Hana »

Bonjour,
Et bienvenue sur NNS. :)

L'histoire est pas mal, un peu courte mais le concept est bon (et ce n'est pas forcément la longueur qui fait la qualité). ^^

Je vois encore quelques fautes, par contre... une p'tite correction ?
Et ce sera bon.
Ainsi qu'une rallonge du caractère / physique, là je pense qu'il y a encore pas mal de choses à dire... ^^

A bientôt,

Hana
Karasu Satsubatsu Hana, Déserteuse - Gokan' - Shinobi Kuran.

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Takimura Yavin
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Message par Takimura Yavin »

Merci pour les remarques, j'ai essayé d'en tenir compte au maximum. J'ai rajouté un petit point dans l'histoire, pour que cela colle à un nouvel élément de "ce qu'il déteste". J'ai corrigé certaines répétitions et fautes qui trainaient, j'espère qu'il n'en reste plus. =x

Par contre, j'ai préféré omettre les qualités et les défauts, je trouve que ça fait un peu redite du caractère.

Voilà !
Karasu Satsubatsu Hana
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Message par Karasu Satsubatsu Hana »

Bien, ça me va.

Bienvenue au Shinobi Kuran ;)

Je te mets tes accès ^_^

A bientôt IG,

Hana
Karasu Satsubatsu Hana, Déserteuse - Gokan' - Shinobi Kuran.

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Takimura Yavin
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Message par Takimura Yavin »

Merci beaucoup. ^^

*Content de pouvoir parcourir les couloirs de la mort :P *
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Shirasagi Naju
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Message par Shirasagi Naju »

Ah bon ?

Parce que les déserteurs sont la mort ?

Je croyais qu'ils étaient juste morts.

M'enfin bon, c'est super d'avoir un niveau Chuunin si on peut pas le mettre en oeuvre x)
Tu n'existes pas. Tu n'existes pas !

Shirasagi Naju déserteur, adorateur du Grand Héron.
sichuan shikai
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Message par sichuan shikai »

Bienvene au toi, déserteur aux belles lunettes et a la zolie bio^^ Encore un gars a buter...
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Aoshi Tsukyo
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Message par Aoshi Tsukyo »

Ouais !! Un taré de plus !! Super vient nous voir à Kanson avec l'aut' Dieu Sunatien !!
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Nanami Sukyuri
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Message par Nanami Sukyuri »

Bienvenu à toi.

Je vais pas te faire croire que j'ai lu toute la bio mais, j'ai lu les descriptions (physiques et mentales). Et, ça m'avait plutôt bien. En plus, pour que tu sois accepté du premier coup comme ça, elle doit être vraiment bien.

Donc félécitation et bon ncourage pour devenir un grand Shinobi. Mais ne te fais pas d'illusion, je serais toujours au dessus de toi... :P


P.S : T'as vu Taoshi, les tarés se reproduisent de plus en plus vite... :lol:
Nanami Sukyuri, Genin Yukienne.

Je croyais arpenter le voie du Shinobi depuis le premier jour.
Désormais, je me rends compte que ce que j'aperçois au loin n'en est que le premier virage.
sichuan shikai
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Message par sichuan shikai »

Aoshi ==> l'autre dieu la... Que tu vénère, sache que je le déteste (dans mon rp) et qui j'apprend (Mon perso bien sur) que tu l'aime bien, je t'arrache les tripes...

PS : Sa pourrait faire un sujet de combat ça coool^^
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Aoshi Tsukyo
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Message par Aoshi Tsukyo »

Ouais, un beau sujet de combet, avec l'aut' Macabé. En fait mon personnage, en temps que Sunatien, haït les déserteurs vent du désert, mais disons qu'il est un peu jeté, et il est principalement le reflet des pensées bizares traversant mon esprit. XD, Mais Susu, si tu veux te battre, c'est quand tu veux !!

Sinon, pour ne pas me faire éfacer, je vais aprler de cette bio.

0_0, bravo, c'est super j'adore !! Ce qui a de bien avec les déserteurs, c'est leur style, ils ont beau être des brutes assoifées de sang, ils arrievent à bien RP, c'est merveilleux. En plus, c'est pas du style "comique" comme le mien, c'est un style grâve, un peu ironique, bref sadique. Un style littéraire que j'amerai maitriser. Cette bio en est la preuve : le personnage est super bien, et la bio, en peu de lignes arrive à parler de plein de trucs. Bravo, et surtout te fait pas tuer !!
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sichuan shikai
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Message par sichuan shikai »

ARRETE DE DIRE SUSU !!!!!!!!!!!!!!!! C'EST SICHUAN MON NOM!!!!! SISI SI-SI!!!!!!! MERDEUH! ^^

Bio : Tu devrais passer plus de ligne sa fait bloc la... M'enfin point de vue personnel.
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Takimura Yavin
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Message par Takimura Yavin »

Tout d'abord, merci beaucoup. ^^

Ensuite, Naju, le fait de pouvoir mourir à tout instant, je trouve que ça colle bien avec l'idée de couloirs de la mort. :P

Tsukyo, c'est pas courant un shinobi qui veut qu'un déserteur reste en vie. :P

Et enfin, Sichuan, j'aime bien les blocs moi. Je préfère sauter des lignes quand y'a vraiment changement de période/idée ect. ^^
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