Prénom: Faru
Age: 15 ans
Physique: Roux, pâle, déguigandé et avec de nombreuses cicatrices
Caractère:
N'aimant que la souffrance qu'il reçoit ou qu'il inflige et sa précieuse Myaka, Faru est un fou dangereux sadique, toujours souriant et riant aux éclats quand il inflige la souffrance. Il cherche le vrai sens de la vie au travers de la souffrance.
Nindo:
La vie véritable se trouve dans la souffrance et la folie, allons la chercher dans ces abysses.
Histoire:
Au cœur de la verdoyante et heureuse Konoha, un modeste couple de restaurateurs eurent un enfant. Un beau jeune homme roux, qui fut acclamé par toute sa famille pour son air intelligent et éveillé. Emerveillés, ses parents le regardaient grandir, son esprit s’accentuait rapidement.
Faru Dorosora avait tout pour être comblé, il était plutôt beau, intelligent, et ses parents le couvraient d’amour dans le village encore éloigné des réalités de la guerre lointaine. Sans être riches, ils parvenaient sans problèmes à subvenir à ses besoins.
Pourtant Faru s’ennuyait comme les pierres, 24h/24, 7jours/7, aucune activité ne l’amusait, rien ne l’accrochait, il ne se sentait jamais vivre.
Et un jour un de ses voisins plus âgés lui appris à arracher les ailes des mouches. Faru trouva ça fascinant, il pouvait condamner à une mort lente et horrible cet animal.
Rapidement il passa ses journées à mutiler les insectes, et s’en amusait beaucoup, mais restait un petit peu insatisfait. Il savait qu’il avait mis le doigt sur une réalité importante de la vie, mais les insectes ne lui permettaient pas de pleinement apprécier les effets de la douleur, petits et inexpressifs qu’ils sont.
Les voisins de Faru possédaient un petit chien, une sorte de roquet qui aboyait Faru dès qu’il le voyait. Non pas que le jeune homme, complètement indifférent, en prenne ombrage, mais entendre les cris de l’animal lui rappela son existence. Faru emmena la bête à l’écart et le mutila de toutes les façons avec son petit kunai rouillé qu’il avait trouvé quelque part. Le malheureux animal hurla de douleur, et le maître attiré cria de rage et donna un coup de la pelle qu’il tenait dans le bras de Faru. L’os se brisa net.
Honteux de son geste, le voisin pris son infortuné chien et fila. Pendant des semaines Faru souffrit le martyre à cause de son bras. Il constata qu’en se couchant sur la partie cassée, son cœur s’accélérait et ses sens s’affolaient, il se sentait vivre comme jamais.
Il adorait ça.
Ses parents s’aperçurent qu’il faisait son possible pour empêcher l’os de se ressouder, si bien qu’il fut attaché jusqu'à ce que, à son grand regret, l’os se refasse.
Mais d’un autre coté il pouvait de nouveau sortir et torturer des animaux à loisir, il décida donc que s’il était plaisant d’avoir un os cassé, ce n’était pas intéressant au final car cela interrompait son étude de la douleur appliquée aux autres êtres vivants.
Il se fit donc plus discret, massacrant sauvagement des animaux, les laissant à peine en vie, et se cachant pour assister aux réactions de leurs maîtres.
Les seuls animaux qu’il épargnait étaient les chats, il avait constaté avec surprise que ces remarquables animaux agissaient parfois comme lui, jouant avec leurs proies et les relâchant.
Il voulait ressembler le plus possible aux chats.
Ses expériences sur la douleur avaient plusieurs effets notables sur son apparence extérieure. S’il restait toujours aussi pâle malgré le beau soleil de Konoha, il souriait continuellement, heureux qu’il était de cette vie bien remplie.
Faru était un jeune homme heureux.
Vers ses 7 ans, l’année de la naissance d’un petit frère qui ne présentait aucun intérêt à ses yeux, il apprit que les ninjas avaient de multiples assignations, allant de l’espionnage jusqu’aux interrogatoires en règle avec tortures et assassinats.
C’était on ne peut plus magnifique estima Faru, il supplia ses parents de l’inscrire à l’académie. Ses parents n’y virent pas d’objection, contents qu’il ait choisi sa voie.
Faru y apprit des tas de choses intéressantes, il adorait tout particulièrement les cours de Taijutsu et d’anatomie, ainsi que les initiations au Genjutsu. Il constata lors de ses tests sur animaux qu’il accroissait ses compétences à grande vitesse, il en devint encore plus souriant, et son air devenait toujours plus inquiétant.
Il effrayait ses condisciples de l’académie. Personne ne voulait l’affronter lors des assauts entre élèves pendant les cours de Taijutsu, si Faru n’était pas le meilleur combattant de sa promotion il était certainement le plus redouté, par sa façon de tâcher d’infliger les plus grandes douleurs possibles à son partenaire et de ne nullement craindre, voire même d’apprécier, ses propres souffrances.
Sa promotion comptait une fille du nom d’Aika qui capta le regard de Faru, jolie et gracieuse, elle le conquit sans le vouloir.
Faru la surveillais constamment, s'imaginant avec plaisir que d'un si joli corps les cris de souffrance ne pourrait que le ravir, il s'est donc mis à la suivre jour et nuit, s'imaginant mille tortures raffinées, montant jusqu'a sa fenêtre quand elle dort pour la dessiner, puis modifier ses dessins changeant le calme masque du sommeil en expression de douleur abominable.
Comme chaque enfant de son age, il était tombé amoureux, à sa façon.
Un an plus tard éperdu de son amour malsain il décida de passer à l’acte et de rendre visite à l’élue de son cœur. En pleine nuit, équipé de son vieux kunai rouillé et masqué, il la suivit alors qu’elle rentrait seule de l’académie.
Il aperçu alors consterné un homme fondre sur elle, plaquer sa grosse main sur sa bouche et l’enlever. Faru poursuivi l’intru jusqu'à un fourré, mais il n’arriva que pour constater que son couteau était déjà solidement plongé dans les chairs de la jeune fille, déjà mourante.
Sous ses yeux horrifiés, Aika avait été mutilée sans aucun raffinement, sa si belle souffrance avait été volée.
Il se passa alors un événement rare chez le jeune Dorosora, son sourire disparu, et il se mit en colère.
Rugissant de rage et de désespoir il fonça sur le boucher et lui planta son kunai rouillé dans la cuisse, faisait crier le bourreau, qui lui flanqua un terrible coup de poing.
Faru s’écrasa sur un mur non loin, mais refusant de s’abandonner au délicieux plaisir de sa jambe cassée, il attaqua de nouveau le boucher, qui le renvoya balader a nouveau.
Sous les yeux effarés du boucher, à chaque fois le jeune garçon se relevait, attaquant à nouveau avec tout ce qui lui tombait sous la main. Finalement le tueur décida d’en finir, plantant son couteau dans l’abdomen de Faru, qui ne survécu que de justesse.
A son réveil Faru était chez lui, ses parents morts d’inquiétude à son chevet.
Ce n’est que quelques semaines plus tard que le corps déchiqueté d’Aika fut retrouvé, seul son beau visage était intact, mais il n’exprimait que la souffrance.
Faru ne chercha même pas à prolonger sa convalescence, il avait compris que ses techniques de douleurs ne devaient plus seulement être un jeu mais une méthode de combat à part entière et efficace.
Il s’exerça à la torture psychologique sur son petit frère arrivant à l’âge de raison. Faru était émerveillé de la façon dont par milles détails il gâchait la vie de son frère sans pour autant pouvoir être remarqué par ses parents.
Le temps passait, il était de plus en plus haï à l’académie, mais heureusement les rigueurs du programme scolaire étaient telles qu’aux cours de combat il avait forcément un partenaire choisi au hasard.
Et à chaque fois, il infligeait des douleurs plus cuisantes, laissant de moins en moins de traces. Il étudiait assidûment les positions des nerfs et s’entraînait au lancer d’aiguilles rouillées. Il lui tardait d’apprendre le genjutsu pour faire vivre aux autres leurs pires cauchemars. Au fil du temps Faru remarqua les impressionnants changements qui arrivaient à Myaka, l’ancienne meilleure amie de sa regrettée Aika. La belle jeune fille maigrissait à vue d’œil et son visage était le vivant miroir de la souffrance pure et de la folie. Emu et curieux d’une telle beauté Faru la suivit à son tour.
L’année de ses 15 ans Faru lut avec surprise dans le journal qu’on avait retrouvé une fillette morte lacérée, les photos étant sans nulles doutes les mêmes que quand le corps d’Aika avait été retrouvé. Le boucher était revenu, et Faru allait assouvir sa vengeance, enfin. Il pris ses aiguilles rouillée en forme de plumes de colombes et pour la première fois sécha les cours de l’académie.
Décidant d’aller sur les lieux du précédent meurtre, il y trouva Myaka qui cherchait elle aussi des indices, parlant toute seule, riant, pleurant, folle à lier.
Il la trouva plus belle que jamais, et alla lui offrir son aide, naturellement. Ensemble ils parcoururent Konoha en tous sens pendant des jours, traçant sur des plans les endroits ou ils avaient vu le tueur. Ce travail les rapprocha, Faru comprenait la douleur et la folie de Myaka, et la trouvait superbe et terrible, retrouvant aussi en elle son Aika perdue, aimant les deux femmes à la fois.
Finalement ils constatèrent l’existence d’une petite bicoque abandonnée, non loin du centre ville. Faru y alla alors que Myaka montait la garde, et trouva toutes sortes de photos de mutilations et des traces de sang. Surs qu’ils avaient débusqués la tanière du tueur, ils décidèrent de revenir au soir à son retour.
Le soir venu ils sortirent ensemble, elle avec un kunai, lui avec ses plumes d’acier rouillés, le couple offrant un terrible spectacle la nuit venue, fous et dangereux, main dans la main, la Souffrance et la Folie en personne s’unissaient pour personnifier la Vengeance.
Les villageois effrayés ne restaient pas sur le chemin des terribles amoureux.
Ils entrèrent avec la discrétion de deux ombres dans le repaire de leur ennemi, qui fut terriblement surpris de leur arrivée. Il brandit son couteau mais cria de douleur quand l’une des aiguilles de Faru se planta dans sa main.
Le jeune Dorosora sauta sur la table qui les séparait puis sur son ennemi, les deux roulèrent à terre. Faru frappa dans un point précis ultra sensible au dessus des pectoraux du boucher pour qui hurla et flanqua un terrible coup de poing à Faru, qui resta néanmoins accroché et planta une autre aiguille, dans sa jambe cette fois.
Alors qu’il allait être battu pour de bon le boucher put saisir une bouteille et l’écrasa sur le crâne du jeune vengeur qui fut assommé pour le compte. Faru ne put qu’entendre vaguement un horrible cri de rage venant du frêle corps de Myaka. Le boucher hurla peu après, mais de douleur, alors qu’il se faisait lacérer, frapper, planter par la furie qui s’était abattue sur lui.
Finalement Faru entendit avec surprise la voix d’Aika parler au boucher vaincu. Il se leva et ne vit pourtant que Myaka, qui commençait à torturer son ennemi juré. Ensemble les deux amants passèrent une nuit exquise à tester les pires tortures possibles sur leur vieil ennemi.
Ses cris furent entendus dans tout Konoha, les cris de douleur les plus désespérés qu’on ait jamais entendu, suppliant à ses deux (ou trois ?) adversaires de l’achever pour qu’il aille se reposer en enfer.
Au petit matin les miliciens rassemblant tout leur courage investirent la petite bicoque et y trouvèrent le plus atroce spectacle de leur vie. Deux adolescents couverts de sang, torturant un malheureux inconnu de la manière la plus atroce qu’on ait jamais vu, riants aux éclats, se tenant par la taille et parfois s’embrassant sans pour autant laisser en paix leur malheureuse victime.
Certains miliciens s’évanouirent, d’autres vomirent. L’un d’eux rassemblant tout son courage essayé de saisir au collet Faru, mais le jeune homme frappa une articulation de l’homme de toutes ses forces, lui infligeant une béquille de sa composition, moins efficace qu’une classique mais largement plus douloureuse, le malheureux milicien s’effondra en criant, alors qu’une aiguille plantée nette dans son ventre lui assurait une mort lente et douloureuse si ses confrères n’agissaient pas très vite. Prenant la main de sa dulcinée, Faru s’enfuit par la porte de derrière, sachant que leur victime n’était plus qu’une bouillie humaine dont la vie s’éteindrait avant peu et ne pouvait être sauvée, et que leur vie à Konoha était finie.
Par contre Faru savait bien qu’il existait un village de déserteurs ou ils pourraient sûrement vivre leur amour et leur folie ensemble…
Aime :
- Faire souffrir
- La douleur
- Les chats
- Myaka
Détèste :
- Qu'on fasse souffrir sans esthetique
Objectif :
- Acceder à un niveau supérieur de connaissance dans la souffrance au travers de sa vie de ninja pour découvrir le vrai sens de la vie
pour le sadisme on est servi ,
,j'ai trouvé aucune fautes 
quand tu torture tes victimes,je ne sais pas si t'a le droit de commencer ainsi c'est a dire avec deja cette precision d'apres ton histoire
