Prénom : Sugachi
Age : 9 ans
Taille : environ 1m50-1m55
Poids : 43 kg
Anniversaire : 9 juin
Groupe sanguin : AB
Sexe : Masculin
Histoire :
L’histoire commence, au sein du clan le plus puissant et le plus redouté de Konoha, le clan Uchiwa ! Tous les hommes du clan Uchiwa sont de vaillants combattants. Mais un lâche, la honte de son clan, Feroke Uchiwa, se faisait souvent passé pour blessé ou malade pour éviter les missions. Bien qu’étant un ninja extrêmement faible, chose très rare chez les Uchiwa, il dégageait une violence incroyable. En plaine campagne, il trouva une jeune paysanne, non-ninja. Il força cette jeune femme a l’épouser, en menaçant ces parents de mort si elle ne le rejoignait pas. La pauvre femme, portant le nom de Saro, fut bien obligé d’accepter. Feroke la battait, la frappait, la maltraitait, abusait d’elle. Mais la pauvre femme ne pouvait rien faire. Un jour, Saro se retrouva avec le ventre sérieusement arrondi.
Quelques mois plus tard, un enfant naquit, portant le nom de Sugashi. Saro fut profondément triste d’être la mère du fils d’un monstre. Mais elle aimait néanmoins son enfant comme toutes bonnes mères. Feroke vit l’arrivée de son fils comme une nouvelle distraction. Un nouvel être à maltraiter et à frapper en toute impunité. L’enfant grandi dans la douleur et la souffrance.
Mais indirectement, ce mauvais traitement l’aidait à se renforcer. Il apprenait tout seul à ce mouvoir en silence, pour sortir de la maison sans que son père le remarque. Plus son père le frappait, plus Sugashi s’habituait et donc moins il avait mal. Il s’initiait aussi a l’art de « poser des pièges ». Pour se défendre, tout les moyens étaient bons. Mais, pour un gamin de 6 ans, l’affrontation direct contre son père était inenvisageable. Donc, Sugashi posait des pièges. Des fils tendus à travers un couloir, par exemple ou bien encore des punaises retournées posées sur le siège de Feroke. Petit à petit, les pièges se complexifiaient. Mais, plus le temps passait, plus la haine que Sugachi éprouvait envers son père se faisait ardente.
Une nuit, Sugachi fut réveillé par un bruit, un cri. Comme il était encore à moitié endormi, il ne sut pas d’où venait le bruit, mais il était sur d’une chose, c’était un cri. Il se leva et attendit à coté de son lit que ses yeux s’habituent à l’obscurité. Pour commencer, Sugachi regarda par la fenêtre de sa chambre. Il n’y vit que ténèbres et calme. Il descendit l’escalier sur la pointe des pieds, tous les sens en éveil. Une fois en bas, il fit un pas, mais le parquet grinça. Le bruit était quasiment inaudible, mais aux oreilles de notre héros ce fut comme le brouabra d’une foule acclamant l’Hokage pendant un de ces discourt sur une place publique. Il attendis un petit instant puis fit un autre grand pas, avec une extrême douceur.
Soudain, Sugachi vit une ombre se déplacer vers lui à une vitesse folle. Cette chose serait sur lui dans une fraction de secondes. Notre héros tenta de se jeter sur le côté pour éviter la collision, mais il était déjà trop tard. Sugashi se retrouva allongé sur le dos avec la pointe d’une lame d’un katana pointé sur sa gorge. La violence de l’impact lui avait coupé le souffle. Le poids d’un genou sur sa poitrine l’empêchait de se relever. L’ombre en question avait une apparence humanoïde. Mais le plus effrayant, c’est qu’elle possédait deux yeux noirs qui brillaient dans l’obscurité. En observant avec plus d’attention les deux globes, je vit qu’il s’agissait de deux sharigans ! Il possédait trois virgules chacun. Le père de Sugashi ne possédant pas de sharigans, il n’avais pu en voir qu’une seul fois sur un jounin Uchiwa, qui passait près de chez lui. L’ombre lui demanda d’une voix rauque :
« Qui est-tu petit ? Que fais-tu ici ? »
Il le secoua violemment. Il lui redemanda :
« Réponds-moi ! Qu’est-ce que tu fais ici ? »
« Rien, je vous le jure. C’est dans cette maison que j’habite. Et j’ai entendu un cri qui m’a réveillé. »
« Tien … »
L’ombre s’interrompu. Elle se retourna, soudain une lumière envahit la pièce, aveuglant Sugashi par la même occasion. Sugashi put apercevoir l’agresseur. Il avait une grande tunique noire qui lui recouvrait tout le corps. Seul sa tête apparaissait. L’homme était apparemment assez vieux. Sans doute d’une soicentaine d’années, son visage était ridé sans l’être trop. Il avait ces sharigans activés à chaque oeils. Ses cheveux étaient d’un noirs grisaillant. Sugashi vit les mains l’homme s’activées à une vitesse incroyable. Elles formaient des signes pour lancer un jutsu. Je ne pensais pas qu’il était possible de bouger ses mains à cette vitesse. En une fraction de seconde, il eut fini et tendis ses bras en direction de la personne qui rentrait dans la pièce. Cette dernière, en fait Saro, n’eut le temps que de lâcher un petit hoquet de surprise avant de s’écrouler, inerte. Sugashi cria en ce jetant sur le vielle homme :
« NON ! Maman ! Vous l’avez tuer ! Monstre ! »
L’homme se retourna en un instant, au moment où Sugashi sautait sur lui. Alors qu’il était encore en l’air, l’homme lui donna un simple petite pichenette dans la poitrine. La « force » de la pichenette coupa la souffle à Sugashi. Ce dernier s’envola en direction du mur qu’il traversa avant d’atterrir violemment sur le sol. Le choc aurait du lui couper le souffle mais il n’avait déjà plus d’air dans les poumons. Une demie seconde plus tard, l’homme était au dessus de Sugashi. Il le souleva d’une main et lui dit :
« Arrête de crier espèce d’imbécile tu vas réveiller tout le quartier. Je ne l’ai pas tuer, mais seulement endormi pour une bonne petite journée. Bon alors tu vas me répondre qui es tu ? »
« Je suis Sugashi Uchiwa, fils de Feroke Uchiwa. »
« Ainsi donc cet idiot de Feroke a un fils … »
« Et vous qui êtes vous ? et pourriez vous me lâchez vous me faites mal ? »
L’homme le lâcha en s’excusant puis dit :
« Eh bien je suis … euh … comme qui dirait ton grand père … »
Sugashi resta quelques secondes sans réfléchir. Puis il se mit a rire :
« Non, vous vous moquez de moi. L’être répugnant que je devrais appeler mon père m’a dit que son père, un vieillard sénile avant l’âge était mort une vintaine d’année de cela. »
« Ah, vraiment, pourtant c’est la vérité. Je suis Origake. Ancien membre du clan Uchiwa. J’était le père de Feroke. Et je suis aussi ton grand père. »
« Pourquoi parlez vous de Feroke au passé ? »
Sans dire un mot, Origake montra du doigt un coin sombre de la pièce. Sugashi s’approcha. Il découvrit le cadavre de son père. Il n’eut aucune réaction. Aucune tristesse, ni aucune joie. Puis il demanda :
« Qui a fais ça ? »
« C’est moi je suis désolé. J’étais à l’origine venu juste lui parler mais il ne s’est pas contrôlé et m’a attaqué. J’ai été obligé de le tuer. »
« Merci. »
Le vieillard paru très surpris. Mais Sugashi répondis à sa question avant même que Origake n’est eus le temps de la poser.
« Il me battait moi et mère. Etait cruel avec nous. Il était cruel avec tout le monde. Il tuait les animaux sans raison. Je dirais presque qu’il était fou. Il avait mérité ce destin. Et je vous remercie de l’avoir fait sinon je pense que je m’en serai chargé moi même plus tard … »
Un silence gêné s’en suivit. Une idée passa par la tête de Sugashi. Après tout il avait du temps devant eux.
« Dis-moi … papy … euh comme nous avons du temps devant nous avant la fin de la nuit. Est-ce que nous ne pourrions pas parler ? »
« J’avait une mission a faire mais elle est terminé. C’est d’accord parlons. »
Ils s’installèrent sur des sièges puis Sugashi demanda :
« Est-ce que tu peux me parler de toi de qui tu es … s’il te plaît. »
« Ok très bien puisque tu insiste. Bien alors, dans ma jeunesse, je fus un ninja extrêmement brillant. Je fus souvent comparé à un sannin. Je fus particulièrement célèbre à cause de cette histoire :
Lorsque j’avais la vintaine d’année, c’est à dire il y a assez longtemps, je fus comme je te l’ai dit comparé à un sannin. J’était très doué et possédait le sharigans à trois virgule comme tu l’as vu tout à leur. J’étais ami avec un Hyuuga lui aussi très doué et comparé à un sannin. Il s’appelait Hitinaka. Nous faisions toute nos missions ensemble et étions quasiment invincible. Sa spécialité étant le taijutsu et la mienne le ninjutsu, sans compté nos pouvoirs de doujutsu. Nous étions aussi surnommé : « Les deux yeux ». Ce surnom nous a été donné grâce à son byakugan et grâce mon sharigan. Lors des missions nous ne nous séparions jamais. Mais un jour nous y fûmes obligé… Nous étions chacun parti de notre côté avec une escouade de jounin, pour prendre les ennemis en tenaille. Mais ces derniers on tendu un piège à l’escouade de Hitinaka… Lorsque je revins sur mes pas, pour cause d’un très mauvais pressentiment, je vis tous les membre de l’escouade mort, sauf Hitinaka, qui était gravement blessé. Son cas était impossible à soigner pour cause de manque de médecin et que la blessure s’infecter déjà. Il souffrait énormément. Mais on agonie serai encore longue. Pendant que je n’agenouillait près de lui, les autres jounin inspectèrent les corps, les enterrèrent et partirent faire un tour pour voir si il ne restait pas d’ennemis. Hitinaka me dit : « Je suis désoler mon ami, mon meilleur ami. J’ai failli. Non ne dis rien je ente demande qu’une seule chose… Achève moi, je souffre trop. Je t’en pris tue moi. Je t’en supplie, la douleur est atroce ». Je lui répondis : « puisque c’est on dernier vœux, je l’exaucerai, mais sache que toi aussi tu étais mon meilleur ami. Tu fus le meilleur compagnon qu’un homme comme moi pus avoir. » Et je lui enfonçais mon katana dans le cœur.
Voilà ma petite histoire. Mais ce n’est pas pour ça que je m’en fut. »
« Alors pourquoi papy ? Pourquoi est-tu si détesté ? »
« Tu connaît les différents types de sharigans ? »
« Oui ! Il y en a avec une, deux ou trois virgules, en fonction de leur puissance. »
« C’est exact mais il existe un sharigan de niveau supérieur, nommé « Mangekyo sharigans ». Ce sharigan est extrêmement rare et très puissant. Très peu de Uchiwa l’on déjà eus tu sais pourquoi ? »
« Non. »
« Parce qu’il nécessite deux conditions. Celle de pouvoir l’avoir et l’autre, la plus terrible. Celle de tuer son meilleur ami pour l’obtenir. Ainsi j’ai eus ce sharigan supérieur sans le vouloir. Comme à l’époque j’était jeune et orgueilleux je ne me privais pas de le dire à tout le monde. Puis un jour une rumeur naquit que j’avais tuer Hitinaka non pour l’achever mais pour obtenir la « pupille ». Je préféra donc fuir avant que des représailles arrivent jusqu’à chez moi. Voilà qu’on a parlé je suis désolé mais je dois te laisser. Adieux. »
« Non, papy reste. Non. »
« Deviens fort mon petit, très fort et fais la fierté de ton grand père. Tu es le fils de ton père, pas ton père. Par conséquent tu ne sera pas comme lui. »
« Papy … »
Mais c’était trop tard, il avait déjà disparu dans la nuit, une ombre parmi les ombres. Sugashi grandit, élevé par sa mère. Et trois ans plus tard, il rentrait à l’académie, à l’age de neuf ans. Il s’était fixé différent objectifs et comptait bien les atteindre :
· Devenir un ninja aussi brillant que son grand père dans sa jeunesse.
· Retrouvez ce grand père « perdu ».
· Réussir à développer le sharigan contrairement à son père.
· Redressé l’honneur de sa branche familiale que son père avait souillé.
Sa y est, les portes de l’académie s’ouvre. C’est le grand jour, le jour si attendu. Sugashi se mêle à la foule. Hokage fait son traditionnel discours d’entrée. Sugashi est tellement excité. Il a attendu ce moment si longtemps. Avoir des amis, s’entraîner … le premier pas sur la voie du ninja. Que d’émotion ! Hokage vient de finir son discours. Sugashi rejoins les autres futurs étudiants. Sans le son d’une voie se fit clairement entendre :
« Tiens tiens. Mais c’est notre amis l’orphelin. Salut Sugashi ! Tu ne t’en veux toujours pas d’avoir le sang de ton père sur les mains ? Ah ! c’est vrai mais non c’est son grand père qui a tuer Feroke. Son grand père disparu depuis des années ! Quel imagination quand même ! »
« Fous moi la paix Taroki. »
« Oh, mais c’est qu’il est vulgaires, pour un petit nain. »
Taroki était l’être que Sugashi déteste le plus depuis que son père est mort. Il est très grand, ses cheveux blonds très clair contraste avec ses yeux noir comme la nuit. Ses seize ans lui assure une certaine domination sur Sugashi. Feroke, lorsqu’il était encore en vie, aimait bien Taroki.
Ce dernier s’approcha de Sugashi, accompagné de plusieurs amis. C’étaient tous des gros balourds qui pesait deux fois plus que Sugashi. Il commencèrent à le tourmenter en lui rentrant dedans, en l’insultant… Les autres enfants autour d’eux, regardèrent Sugashi avec pitié, d’autres encore riaient.
Soudain, toua arrêtèrent, Taroki leurs murmura quelques obscures mots à l’oreille. Tous se mirent à pouffer. Etrangement, Taroki les réprimanda :
« Vos gueules les gars, ça suffit. Vous ne croyez pas qu’on l’a suffisamment emmerdé comme ça. On arrête. Sugashi, pardonne moi je suis désolé… Viens approche je te protègerais de tous ces lâches. Pardonne moi. Je m’en veux. »
Sugashi n’en croyait pas ses oreilles, son pire ennemi le protégeait. Il se doutait d’un piège mais joua néanmoins la comédie.
« Ce n’est pas grave ne t’inquiète pas. »
« Merci beaucoup. Est ce que tu veux bien te mettre à coté de moi pour les premier cours tout à l’heure ? »
« Ba … d’accord »
Pendant toute la journée, le grand blond protégea Sugashi. Allant même jusqu’à donner des coups de poings aux personnes l’appelant « l’orphelin ». Ce dernier ne comprenait pas ce qui avait provoquer ce changement soudain chez Taroki. Mais maintenant peu lui importait, il avait son nouvel ami, respecté dans toute l’académie. Il était heureux.
C’était la fin de la journée. A la sortie de l’académie, Taroki l’attendait avec la moitié de la classe. Sugashi leur fut un grand sourire en sortant, et ils le lui renvoyèrent mais il avait quelques choses de … louches. Une fois en bas des marches de l’entrée, Taroki s’approchât de Sugashi avec un grand sourire. Il lui passa la main sur les cheveux affectivement.
Soudain, il saisit Sugashi par la taille. Plusieurs autres étudiants fondirent sur lui. Il le frappèrent, en me critiquant d’avoir tuer Feroke, puis le déshabillèrent (lui laissant quand même son caleçon). Sugashi se débattit de toutes ses petites forces. Il frappa lui aussi à droite, à gauche, donna des coups de pieds. Mais il encaissa un violent coup dans le foie, qui lui coupa le souffle. Il suffoquât, essayant de reprendre de l’air. Il ne sentait presque plus les autres coups qui pleuvaient sur lui. Sa priorité ultime était de reprendre de l’air.
Quand enfin il y parvint, il se sentis propulser dans les airs. Il atterrit sur le dos dans un cour d’eau assez profond. Son plat lui rappelât la douleur cuisante de ses bleus dans le dos. L’eau était glacée. Il me regardèrent patauger pendant quelques secondes, puis partirent en rigolant.
Quelques minutes plus tard, Sugashi rentrait complètement geler. Une fois chez lui, il trouva un mot de sa mère lui disant qu’elle était partie chez une amie, qu’elle reviendrait sans doute très tard et lui disant ce qu’il devait manger …
Une envie de vengeance le submergeait, une envie de faire payer à tout ces lâches qui l’ont humilié. Son regard se tourna vers un magnifique sabre d’un de ces ancêtres. Accroché au mur, cette merveille devait avoir au moins deux siècles d’âge. Sugashi le décrochât, le regarda avec beaucoup d’amour. Il passa ses doigts sur la lame, du sang coula en petite quantité. Ce katana était vraiment impressionnant. Sugashi accrochât le fourreau derrière son dos, puis y rangea la lame. Il savait où trouver la « bande ».
« On va bien s’amuser, pensa-t-il tout haut »
Minuit était largement passer. Il se dirigea vers le quartier des « malfrats » de la ville. Au bout de la troisième rue, il trouva enfin ce qu’il cherchait. Ils étaient tous là. Les lâches. Sugashi était dissimulé dans l’ombre, attendant le moment propice pour les attaquer. Soudain, l’occasion arriva, tous lui tournèrent le dos personne ne l’avait vu ni entendu.
En un instant, Sugashi sauta sur eux, en dégainant son sabre et lâchant un violent cri de combat. Il fit un grand moulinet avec sa lame. Elle était malheureusement trop grande et trop lourd, et lui trop petit pou qu’il puisse la manier pleinement. Il en faucha deux du groupe, les blessant gravement. Le sang gicla, éclaboussant les autres membres du groupe.
Ces derniers s’étaient retournés. Ils voyaient un jeune enfant en train d’enfoncer son arme dans le ventre d’une troisième victime. Sugashi agrandi volontairement la brèche dans les entrailles du pauvres garçon qui hurlait de douleur. Ses boyaux virent s’empiler sur le sol déjà rougit par le sang.
Sugashi était pris d’une rage folle. Il prenait plaisir à faire souffrir sa victime, il aimait ça. Il en ignorait la raison mais il aimait. Un sourire morbide illustra son visage lorsqu’il regarda Taroki. Ce dernier recula avec cinq de ces amis. Le groupe qui comptait au départ environ une vintaine de jeunes gens, n’en comptait désormais plus qu’une quinzaine.
Mais il s’était remis de leur surprise et commencèrent à réagir. Taroki et sa « garde personnelle » avait pris la fuite, mais Sugashi avait déjà décider de s’occuper d’aux plus tard. Deux garçons se jetèrent sur lui. L’un d’eux vint s’empaler violemment sur le sabre de Sugashi. L’autre réussit néanmoins a lui mettre un violent coup de poing. Sugashi fut projeter en arrière. Il sentait le goût cuivré du sang dans sa bouche.
Mais le plus important était qu’il ne tenait plus son katana. Il était rester enfoncé dans le corps du garçon qui venait juste d’expirer. Sugashi se releva péniblement. L’autre lui faisait face. Il avait une carrure impressionnante et faisait deux têtes de plus que Sugashi. Ce dernier réalisa rapidement qu’il n’avait aucune chance dans un corps à corps sans armes.
Une idée lui vint alors. Le matin même, il avait emmener des shurikens et des kunaïs dans une petite poche sur le côté, pour faire comme les « grands » ninjas. Il avait penser à remettre sa pochette en sortant de chez lui au cas ou. Mais Sugashi remarqua vite que les autres membres du groupe commençaient à l’encercler. Il lança un kunaï en direction de l’ennemi qui lui faisait face. Celui ci le reçu en plein dans la gorge. Sugashi était content que son entraînement de précision au lancer lui est servit. Mais cette courte joie disparue vite, remplacé par sa folie sanguinaire.
Il reprit le plus vite possible son katana, le sortant du corps ensanglanté. Sans laisser le temps aux ennemis de réfléchir, il se jetât sur deux d’entre eux. Il fit un grand tourniquet, et la lame trancha net les deux têtes qui tombèrent sur le sol, sous une pluie de sang. Sugashi se retourna, un garçon lui sauta dessus. Cette erreur qu’il fit fut la dernière. La lame vola, lui coupant de l’épaule gauche, jusqu’à la hanche droite. Il s’effondra en un grand hurlement de douleur.
Déjà, des lumières s’allumèrent dans les maisons alentours, Sugashi devait faire vite. Il ne restait plus qu’une petite demi-douzaine d’ennemis à tuer. Il se regroupèrent, puis parlèrent rapidement à voix basse. Quatre d’entre eux avancèrent vers Sugashi. Ils tenaient chacun un kunaï dans la main. L’un le lança vers Sugashi. Ce dernier l’esquiva sans difficultés malgré l’obscurité.
Il se précipita vers eux. Il transperça de sa lame celui qui n’avait plus de kunaï et s’en servit comme bouclier pour parer deux shurikens qui volaient vers lui. En un éclair, il sauta sur un autre, il entaillant profondément la jambe, puis l’achevant. Il se dirigea vers le suivant. Sugashi tapa de son arme, mais l’autre le contra grâce à son petit kunaï. Sugashi lui coupa un bras, il s’effondra en criant de douleur. Sugashi ne lui laissa pas le temps de terminer sa macabre symphonie. Les trois autres tentèrent de s’enfuir, mais ils périrent tous, à cause du katana ou d’un shurikens.
Sugashi s’agenouilla près des corps. La pluie se mit à tomber. Il se maudit, se rappela qu’ils l’avaient seulement blessé et humilié. Il se dit que si on le découvrait, il serait sans doute condamné. Le sans et la pluie dégoulinèrent sur son visage.
Il en avait envie, mais il ne pleura pas. Se répétant que son grand-père était fort et qu’il n’aurait pas pleuré. Il rentra chez lui. Se disant qu’il fera comme s’il n’avait rien fait. Il s’arrangea parce que lorsqu’il rentrera, sa mère qui devait déjà être à la maison depuis longtemps de disputerait. En arrivant devant la maison, il vit que toutes les lumières étaient éteintes.
Il trouva ça étrange. Mais bon si sa mère dormait ou n’était pas encore rentrer cela lui laisserait le temps de se changer. Sugashi rentra dans la maison. Au moment où il referma la porte derrière lui, une lumière s’alluma.
Il vit Taroki tenant la tête de sa mère dans les mains. Le corps reposait à quelques mètres de là. Les cinq amis de Taroki aussi était là, autour de lui. Il jeta la tête au sol, qui était couvert de sang. Une rage soudaine s’empara de Sugashi.
Il empoigna son sabre a deux mains. Se jeta sur eux. Une force incroyable émergeait de lui. Il trancha tout ce qui passait à porté. De l’hémoglobine éclaboussa les murs. Il trancha le dernier survivant de la bande par la taille, puis se retourna pour faire face à Taroki. Sugashi lui murmura :
« Je vais me venger. Je vais te tuer tu va souffrir pendant très longtemps. Tu va connaître les pires tourments. »
« Non c’est moi qui vais venger mes amis. »
A une vitesse prodigieuse, il sortit un katana déjà rougis. Celui qui avait sans doute servi à tuer Taro. Il courut vers Sugashi. Il frappa avec toute sa force, mais Sugashi esquiva facilement le coup. Il riposta, lui entaillant profondément la jambe. Taroki lâcha un cri de douleur et de surprise. Il lança un coup d’estoc à Sugashi. Ce dernier para le coup de justesse et refrappa. Taroki se baissa et fit une violente balayette du pied à Sugashi. Celui ci tomba sur le dos.
Mais il tenta néanmoins de frapper son adversaire de façon à le faire reculer. Sugashi se remit debout ainsi que son adversaire. Taroki fit une violente moulinette avec son sabre. Sugashi se baissa puis frappa, coupant net une jambe à son ennemi et lui entailla sévèrement l’autre. Taroki dut lâché son katana.
D’un coup de pied, Sugashi l’envoya valser plus loin. Ensuite la nuit fut longue, très longue pour Taroki, qui était dans l’impossibilité d’agir. Sugashi laissa aller son imagination pour se venger. Il trouva des tortures immondes. Après plusieurs heures de douleurs intenses, Taroki finit par expirer.
« C’est toi qui ça fais ça. Idiot ! Il faut que tu partes tout de suite, les anbus sont déjà à ta recherche. »
Sugashi se retourna précipitamment. Il reconnut son grand-père.
« Papy ! Tu étais ou ? Tu m’as manqué ! »
« Peu importe. Nous n’avons pas le temps de parler. Prends l’essentiel de tes affaires nous partons. »
« Où on va ? »
« Fais ce que je te dis. Et vite. »
Sugashi récupéra ses affaires, ses quelques souvenirs e le katana qu’il affectionnait tant désormais. Puis ils partirent. Sur la route, le vieillard demanda :
« Qu’est ce qui ta pris de tuer tous ces jeunes ? »
Sugashi lui raconta tout ce qui s’était passé.
« Mais ce n’était une raison pour les tuer. Une simple correction aurait suffi. Maintenant tu vas être obligé d’être en exil. »
« Peu importe, ils m’ont humilié, ils devaient payés. »
Origake n’insista pas. Ils traversèrent plusieurs pays. L’endroit où il m’emmenait s’appelait : « Kuran Shinobi » . Sugashi n’en avait jamais entendu parler. On voit devant l’entrée, il lui dit que ici serai son nouveau foyer parmi les déserteurs, si il est accepté. Il lui souhaita bonne chance puis disparu. Sugashi s’avança vers son destin.
FIN
Description Physique : Sugachi est plutôt grand pour son âge. En effet, il atteint les 1m50-1m55. Il a les épaules large et une forte carrure (pour un enfant de son âge). Le fait que son père le batte a endurci son corps. Ne sachant pas encore lancer de sort ni faire des signes, il a fait un entraînement physique intensif depuis ces six ans. Il a les cheveux noirs et les yeux noir (quel suspense pour un Uchiwa
).Caractère : Il est très mur pour son âge. Il possède une grande intelligence. Il a un esprit vif et éveillé. Il est très attentif. Il est assez impulsif.
Nindo :
· Tout comme l’épée, l’âme doit passer par les flammes, sinon elle se brisera.
· L’âme d’un ninja est forgé dans le creuset de la souffrance.
Ce qu’il aime :
· Son grand père
· Sa mère
· Ses amis
· Mater les belle filles (normal
)· Les pizzas, les pizzas et encore LES PIZZAS !!!!!!!!!!
Ce qu’il déteste :
· Son père
· Les très rares « amis » de son père
· Les lâches
· Les peureux
Objectifs :
· Devenir un ninja aussi brillant que son grand père dans sa jeunesse.
· Retrouvez ce grand père « perdu ».
· Réussir à développer le sharigan contrairement à son père.
· Redresser l’honneur de sa branche familiale que son père avait souillé.
haoru en personne^^ mais non on est pas fous 
