Une des principales forces de Toki, était de profiter de son âge pour amadouer ses compagnons. En général, la jeune genin aimait jouer avec les autres. Elle exagérait au pire son mal-être, pour provoquer de la pitié chez les autres. Ainsi fait, elle pouvait tout exiger de la personne prise au piège. Ainsi, Toki avait pu piéger Enishi, qui avait dû porter seul l'horloge, ainsi que Shiki, qui avait dû ramasser tous les champignons dans la forêt - quoique dans ce cas-là, c'est parcequ'elle n'y connaissait rien et que Shiki avait son livre. Toki était une petite manipuleuse, avec ses idées propres et son caractère. Cependant, elle n'en était pas consciente; c'était sa façon de vivre, sa façon de s'exprimer et de se faire valoir par rapport aux autres. Certes, elle n'en avait pas vraiment besoin, puisqu'elle était ninja à son jeune âge. Mais ses 8 ans lui font croire le contraire.
Mais ce plan machiavélique que Toki exécutait si souvent, ne pouvait pas marcher ici. Le ninja de Konoha, ainsi que tous les autres présents ici, ont une chose que Toki n'a pas : le sens du devoir et des priorités. Leur maturité leur permet de détecter les dangers, et la petite ninja aux cheveux aux reflets bleus ne possédait pas cette pridence. Elle ne voyait pas le danger, ne comprenait pas la situation. Tout ce qu'elle voulait, elle, c'était dormir. En quoi faisait-elle du mal ? Sa mission devait être terminée, puisque Hyodo était parti. C'était comme une grande promenade, et Toki ne voyait pas pourquoi on lui demandait de continuer. Elle était prête à abandonner, quoique disent les autres. Sa fatigue ne pouvait pas lui permettre de continuer. Elle voulait rentrer.
Aoki s'approcha de la petite genin, apparemment déterminé à faire taire Toki. Ses paroles résonnèrent dans la tête de la « gamine ». Toki détestait qu'on la rabaisse comme il venait de le faire. Elle n'était pas plus bête qu'un autre - enfin... - et pouvait aisément rivaliser avec ce gros nul - jugé par Toki, encore une fois trop hâtivement. Puis le mot gosse vint surplomber le mot gamine. Voilà que le ninja de Konoha pensait que, non seulement Toki n'était pas à la hauteur, mais qu'en plus elle gênerait au bon déroulement de la mission. Toki sentit monter les larmes en elle. Elle était vraisemblablement blessée. Elle avait envie de crier à Aoki qu'elle était prête à lui montrer, à le défier. Mais ce n'était pas la meilleure chose à faire en ce moment. Alors, elle se retourna, et s'assit en tailleurs, les bras croisés. Quelques larmes coulèrent, mais pas de sanglots.
« Si tu ne viens pas, veilles sur ta copine. C’est tout ce que tu sembles pouvoir faire… »
Le blanc des yeux de Toki devenaient de plus en plus rouge. Aussi bien à cause des larmes, que de la colère. Aoki en profita pour se retourner vers les autres, et continuer son plan. Toki écoutait attentivement. Pendant qu'il parlait, elle se leva, décroisa les bras, et alla se placer à côté de Shigeru, tout en fixant, les yeux rouges, d'un air glacial, Aoki. Toki ne connaissait pas le sens du mot ennemi. Pour elle, les ennemis étaient ceux qui étaient méchants avec elle. De ce fait, elle se trompait beaucoup sur les rapports entre les gens. Aoki, en la traitant de gamine, s'était fait ennemi de Toki. Mais cet ennemi était intouchable. Et la seule manière que Toki connaissait pour vaincre son ennemi sans le toucher, c'était de le blesser mentalement. Si elle arrivait à être plus fort que le ninja de Konoha, alors elle pourrait inverser les roles, et donc gagner la bataille.
Le seul problème qui persistait pour Toki, était qu'elle ne connaissait rien au début du plan. Elle ne savait pas quel étiat l'objectif, mais elle était prête à faire ce qu'on lui ordonnait... pour le moment. C'était sa deuxième manière de prouver sa valeur à son "ennemi" : Suivre les ordres et les exécuter à la perfection. Et pour le moment, c'est Aoki qui tirait les ficelles, avec les reste des compagnons de Toki. Et le plan qu'il proposait conviendrait parfaitement à Toki, en théorie. En effet, le Henge était la technique que Toki maîtrisait le mieux, voire à la perfection. Mais ce qui venait de se passer altérait le jugement de Toki. Elle grommela quelques mots, inaudibles. « Gnagnagna, Henge, gnagnagna... jsuis pas une gamine, et puis l'autre c'est pas ma copine, c'est la copine à Shiki, gros nul... »
Naera, Shina, Piper et Akira; Enquête au centre-ville !
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Haki Tokinoki
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» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage
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Asano Kurai
- Genin, Rightarm of the Cat
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- Localisation : Dans les basques de Tsukiyo-san o/
Ne prêtant aucune attention aux démenés du Chuunin avec Toki, Shigeru et Kurai fomentaient quelque complot dans leur coin. L’androgyne parlait peu, ne faisait souvent qu’acquiescer et glisser par-ci par-là quelques mots, tandis que son compère était beaucoup plus loquace.
Pour le Aoki et la gamine, l’échange ne devait pas être particulièrement claire, puisque les deux jeunes comploteurs se chuchotaient plus qu’ils ne parlaient. Au bout d’un moment, Kurai flanqua une tape amicale à son coéquipier, avec un sourire, et vint vers les deux membres restant de l’équipée.
« Shigeru a eut une idée qui a le mérite d’être bonne. » Annonça l’androgyne.
« En fait, avec un de mes professeurs à Iwa, j’ai apprit quels étaient les points du corps à frapper pour tuer à coup sur. De là, je me suis dit qu’on pourrait détourner le garde de sa tâche par la méthode suivante : Kô étant doué pour le Genjutsu, il va faire un Henge pour se changer en femme et s’allonger sur le côté du bâtiment, là où il y a quelques buissons. Ensuite, je fais moi-même un Henge pour prendre l’apparence d’un petit garçon et je vais voir le garde, avec tout une comédie en disant que ma mère s’est évanouit et que j’ai besoin d’aide.
Si ça marche, le garde viendra se pencher sur une belle jeune femme soit disant inconsciente et je n’aurais plus qu’à l’immobiliser grâce à mes connaissances sur les points vitaux. Si le garde se rend compte de mon Genjutsu, je pourrais toujours justifier en disant que j’avais peur qu’il ne prenne pas au sérieux un aspirant ninja, du moins pas autant d’un gamin en pleurs. »
Shigeru hocha la tête, Kurai enchaîna.
« Pour ma part ça ne me pose aucun problème, comme l’a dit Shigeru, le Genjutsu c’est mon rayon. Si le garde perce celui de Shig, il n’est pas dit qu’il en fasse de même pour le mien. Et puis j’ai un bon répertoire d’apparences imaginées, donc en fouillant assez il sera plus occupé à regarder la femme s’il verra qu’à vérifier si elle est vraie.
Les faiblesses masculines en somme. »
Le problème restant était que le duo avait pensé à cette stratégie sans compter Toki. Encore, le Chuunin pouvait rester discret, mais elle… C’était une autre affaire…
L’androgyne s’approcha de la petite et s’accroupit pour être à peu près à son niveau (un peu plus bas en fait).
« Dis-moi, en échange de quelque chose, tu serais capable de mettre toute ta détermination dans cette mission, et faire en sorte de ne rien faire de risqué ? Je veux dire par là, être la plus discrète et la plus professionnelle des ninjas de cette équipe ?
En échange, je te dégotte un autographe de ce K’ya, et peut-être autre chose aussi, genre une technique, on verra. »
Puis, il se pencha un peu pour lui murmurer.
« Et surtout, il ne faudrait pas passer pour des débutants devant ce type. On est des ninjas d’Iwa, on doit tout faire pour lui en mettre plein la vue, pour qu’il ne dise jamais que ceux d’iwa sont faibles, ok ? »
Toujours accroupit, Kurai attendait tranquillement la réponse de Toki. Il lui souriait tranquillement, en la fixant dans les yeux. Cette mission, sa première vraie mission en somme, il tenait vraiment à la réussir. Pour cela, le Genin androgyne ne voulait pas courir de risques, mais laisse Toki derrière était dangereux, puisqu’il ne connaissait pas vraiment la réaction qu’elle pourrait avoir.
Il espérait vivement que ses promesses de gains si elle faisait tout son possible et plus seraient suffisantes.
Shigeru pour sa part n’en revenait tout simplement pas. D’un coté, il appréciait ce remarquable coup d’éclat psychologique dont Kurai avait fait preuve, de l’autre il commençait à craindre la jeunesse de Toki. On commence par une technique, puis une autre, et on arrive vite fait à un kinjutsu. D’autant plus que ce que proposait Kurai n’était quand même pas rien. Enfin, Shigeru savait que l’androgyne avait conscience de l’importance de cette promesse, mais quand même … Tout comme son collègue, lui aussi fixait Toki, stressant. Oui ? Non ? Bof ? Mais quel suspense insoutenable !
Pour le Aoki et la gamine, l’échange ne devait pas être particulièrement claire, puisque les deux jeunes comploteurs se chuchotaient plus qu’ils ne parlaient. Au bout d’un moment, Kurai flanqua une tape amicale à son coéquipier, avec un sourire, et vint vers les deux membres restant de l’équipée.
« Shigeru a eut une idée qui a le mérite d’être bonne. » Annonça l’androgyne.
« En fait, avec un de mes professeurs à Iwa, j’ai apprit quels étaient les points du corps à frapper pour tuer à coup sur. De là, je me suis dit qu’on pourrait détourner le garde de sa tâche par la méthode suivante : Kô étant doué pour le Genjutsu, il va faire un Henge pour se changer en femme et s’allonger sur le côté du bâtiment, là où il y a quelques buissons. Ensuite, je fais moi-même un Henge pour prendre l’apparence d’un petit garçon et je vais voir le garde, avec tout une comédie en disant que ma mère s’est évanouit et que j’ai besoin d’aide.
Si ça marche, le garde viendra se pencher sur une belle jeune femme soit disant inconsciente et je n’aurais plus qu’à l’immobiliser grâce à mes connaissances sur les points vitaux. Si le garde se rend compte de mon Genjutsu, je pourrais toujours justifier en disant que j’avais peur qu’il ne prenne pas au sérieux un aspirant ninja, du moins pas autant d’un gamin en pleurs. »
Shigeru hocha la tête, Kurai enchaîna.
« Pour ma part ça ne me pose aucun problème, comme l’a dit Shigeru, le Genjutsu c’est mon rayon. Si le garde perce celui de Shig, il n’est pas dit qu’il en fasse de même pour le mien. Et puis j’ai un bon répertoire d’apparences imaginées, donc en fouillant assez il sera plus occupé à regarder la femme s’il verra qu’à vérifier si elle est vraie.
Les faiblesses masculines en somme. »
Le problème restant était que le duo avait pensé à cette stratégie sans compter Toki. Encore, le Chuunin pouvait rester discret, mais elle… C’était une autre affaire…
L’androgyne s’approcha de la petite et s’accroupit pour être à peu près à son niveau (un peu plus bas en fait).
« Dis-moi, en échange de quelque chose, tu serais capable de mettre toute ta détermination dans cette mission, et faire en sorte de ne rien faire de risqué ? Je veux dire par là, être la plus discrète et la plus professionnelle des ninjas de cette équipe ?
En échange, je te dégotte un autographe de ce K’ya, et peut-être autre chose aussi, genre une technique, on verra. »
Puis, il se pencha un peu pour lui murmurer.
« Et surtout, il ne faudrait pas passer pour des débutants devant ce type. On est des ninjas d’Iwa, on doit tout faire pour lui en mettre plein la vue, pour qu’il ne dise jamais que ceux d’iwa sont faibles, ok ? »
Toujours accroupit, Kurai attendait tranquillement la réponse de Toki. Il lui souriait tranquillement, en la fixant dans les yeux. Cette mission, sa première vraie mission en somme, il tenait vraiment à la réussir. Pour cela, le Genin androgyne ne voulait pas courir de risques, mais laisse Toki derrière était dangereux, puisqu’il ne connaissait pas vraiment la réaction qu’elle pourrait avoir.
Il espérait vivement que ses promesses de gains si elle faisait tout son possible et plus seraient suffisantes.
Shigeru pour sa part n’en revenait tout simplement pas. D’un coté, il appréciait ce remarquable coup d’éclat psychologique dont Kurai avait fait preuve, de l’autre il commençait à craindre la jeunesse de Toki. On commence par une technique, puis une autre, et on arrive vite fait à un kinjutsu. D’autant plus que ce que proposait Kurai n’était quand même pas rien. Enfin, Shigeru savait que l’androgyne avait conscience de l’importance de cette promesse, mais quand même … Tout comme son collègue, lui aussi fixait Toki, stressant. Oui ? Non ? Bof ? Mais quel suspense insoutenable !
Asano "Kurai" Koretoyo, Genin Androgyne d'Iwa
- Rightarm of the Cat - Pour le meilleur et pour le pire (surtout le pire...)
\o/
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Nemuri Aoki
- Chûnin en noir et blanc
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La pression. Quelle chose étrange. Elle s’insinue si rapidement dans notre petit cerveau, et nous guide, tel des marionnettes à fil, suspendues face au gouffre du destin. Nos sensations se retrouvent déformées. Le goût salivaire devient subtil. Les odeurs s’évaporent. Seul l’objectif reste en tête. Certains ne tiennent pas le coup, et chutent. Ont-ils douté ? Ont-ils foncé dans le mur ? La pression trace la route à la peur, ou, à la témérité. Il est difficile de slalomer entre les deux. C’est une alchimie. Le secret des plus grands.
Excité, notre esprit perçoit le temps différemment. Il peut s’étendre en un énorme chewing-gum. Ou se rétrécir, comme un pull lavé à la machine. Le temps est déréglé. L’attente le fait paraître long, si long, toujours trop long. En action, il défile, presque imperceptible. Le cœur se met à battre de plus en plus fort. On le ressent dans ses tempes. Dans ses poignets. Sortant de la cage thoracique. L’œil s’injecte. Le dos se arque. Notre bestialité s’échappe en tourbillon dans notre gorge. Un cri de fauve, il déchire le ciel.
Aoki fermait ses poings. La jeune kunoichi, Toki, vint se placer dans le groupe. Il lui avait fait la morale, sa petite ruse semblait avoir marchée. La gamine boudait, mais, dans son regard, on distinguait la force propice, l’énergie essentielle à gravir les montagnes. Elle irait loin. Espérons. Pendant ce temps, les deux autres conversaient rapidement dans leurs coins. Ils devaient se connaître pour, ainsi, discuter stratégie. Le Chûnin sourit, ce n’était pas le moment…
* Gros nul… J’adore quand les gosses utilisent ce genre d’expression. C’est si spontané. C’est si chou. J’aimmmmeee ! ! ! Kawaiiiii. Bon, il ne faut pas que je montre que je suis fan. Elle à l’air motivé avec cette confrontation, restons en là. Elle a parlé de Shiki. Qui est-ce ? Je ne connais le nom de personne. Ce sont des étrangers pour moi. C’est légèrement problématique. En plus des noms, je ne sais ni leurs capacités, ni leurs niveaux. Ils sont Genins, c’est déjà ça. Manquerait plus qu’on me coltine des débutants. J’étais Genin, y’a pas si longtemps. Où en sont ils ? Je dois me contenter de deviner leurs caractères. Y’a le bourin, donc plus axé combat. L’androgyne parlotte, infiltration ? La petite boudeuse, … un mixage des deux ? Mouef, je ne suis pas avancé. Si seulement Keitou était là. *
Kurai et Shigeru prirent la parole et annoncèrent leur plan. Aoki resta attentif. Il aurait été bête de leur couper la parole. Le stratagème était une diversion. Un gosse. Une femme blessée. Tout cela en Henge. Il se basait sur le contrôle de l’art métamorphe, et de la connaissance du corps par Shigeru. Aoki ne pu empêcher un haussement de sourcil. Connaître les points vitaux, les frappes nécessaires pour immobiliser quelqu’un… Il fallait avoir une bonne maîtrise. Pouvait il douter des capacités de son compagnon improvisé ? De plus, le plan était on ne peut plus banal. L’archétype même de la diversion. Le cliché mortel. Pouvait on faire mieux ? En avait on le temps ? Rendre les choses complexes ne ferrait qu’embrouiller. L’idée énoncée était, au moins, claire et précise. Mais…
« Primo : On ne sait pas s’il y a une couille là dedans. Notre mission est complexe, car elle se base sur des suppositions. C’est un peu : mieux vaut prévenir que guérir. Imaginez que l’on se trompe, et que cet homme fasse son simple travail. Un homme de foi. Courageux. Généreux. Et, bon citoyen. De quoi aurait on l’air ? Tout cela pour anticiper, il faudra la jouer tendax. Surtout, ne pas tuer cette personne. Mais a-t-on le choix de se retenir ?
Deusio : Attirer le garde dans les buissons à coté, et lui faire sa fête la dedans. Ca ne sera toujours pas la pointe de la discrétion. Encore une fois, pouvons nous vraiment être discret ? Soyons réaliste, j’en doute. Donc, je ne retiendrais pas cette charge contre vous.
Cependant, et c’est là la faille de votre plan, est-ce que le garde viendra aider la jeune femme ? Est-il aussi bête ? Car, il ne faut pas se leurrer, ça pu le piège ce que vous proposez. Iriez vous aider la jeune fille, vous ? En pleine mission, alors qu’il n’est pas de votre ressort de sauver cette femme. Qui se trouve là par hasard, en plus. Blessé par on ne sait quoi, on ne sait qui. Sans cri proche. Sans trace de lutte. Alors qu’il est sensé être à l’affût. Ca parait un peu gros, non ?
Pourtant, nous n’avons rien d’autre à proposer. Il est préférable de rester simple, au pire, nous sommes supérieur en nombre. Les problèmes viendront à l’intérieur plutôt. Donc, on fait comme vous avez dit. Seulement, nous partons en premier nous positionner. On se dissimule quelque part, sous Henge. Histoire que si votre plan dérape, on attaque direct. Et, tant pis pour la discrétion. La réussite dépendra de votre interprétation.
Des questions ? Si ce n’est pas le cas, on commence direct. »
Aoki se leva dans l’ombre. Il ajusta sa ceinture, vérifia le nombre de Kunai. Il détendit son écharpe, et étira son cou. D’un signe de main, il effectua le Henge. Apparence ? Un chat errant. Une touffe de poil blanc sur le crâne, à droite.
Excité, notre esprit perçoit le temps différemment. Il peut s’étendre en un énorme chewing-gum. Ou se rétrécir, comme un pull lavé à la machine. Le temps est déréglé. L’attente le fait paraître long, si long, toujours trop long. En action, il défile, presque imperceptible. Le cœur se met à battre de plus en plus fort. On le ressent dans ses tempes. Dans ses poignets. Sortant de la cage thoracique. L’œil s’injecte. Le dos se arque. Notre bestialité s’échappe en tourbillon dans notre gorge. Un cri de fauve, il déchire le ciel.
Aoki fermait ses poings. La jeune kunoichi, Toki, vint se placer dans le groupe. Il lui avait fait la morale, sa petite ruse semblait avoir marchée. La gamine boudait, mais, dans son regard, on distinguait la force propice, l’énergie essentielle à gravir les montagnes. Elle irait loin. Espérons. Pendant ce temps, les deux autres conversaient rapidement dans leurs coins. Ils devaient se connaître pour, ainsi, discuter stratégie. Le Chûnin sourit, ce n’était pas le moment…
* Gros nul… J’adore quand les gosses utilisent ce genre d’expression. C’est si spontané. C’est si chou. J’aimmmmeee ! ! ! Kawaiiiii. Bon, il ne faut pas que je montre que je suis fan. Elle à l’air motivé avec cette confrontation, restons en là. Elle a parlé de Shiki. Qui est-ce ? Je ne connais le nom de personne. Ce sont des étrangers pour moi. C’est légèrement problématique. En plus des noms, je ne sais ni leurs capacités, ni leurs niveaux. Ils sont Genins, c’est déjà ça. Manquerait plus qu’on me coltine des débutants. J’étais Genin, y’a pas si longtemps. Où en sont ils ? Je dois me contenter de deviner leurs caractères. Y’a le bourin, donc plus axé combat. L’androgyne parlotte, infiltration ? La petite boudeuse, … un mixage des deux ? Mouef, je ne suis pas avancé. Si seulement Keitou était là. *
Kurai et Shigeru prirent la parole et annoncèrent leur plan. Aoki resta attentif. Il aurait été bête de leur couper la parole. Le stratagème était une diversion. Un gosse. Une femme blessée. Tout cela en Henge. Il se basait sur le contrôle de l’art métamorphe, et de la connaissance du corps par Shigeru. Aoki ne pu empêcher un haussement de sourcil. Connaître les points vitaux, les frappes nécessaires pour immobiliser quelqu’un… Il fallait avoir une bonne maîtrise. Pouvait il douter des capacités de son compagnon improvisé ? De plus, le plan était on ne peut plus banal. L’archétype même de la diversion. Le cliché mortel. Pouvait on faire mieux ? En avait on le temps ? Rendre les choses complexes ne ferrait qu’embrouiller. L’idée énoncée était, au moins, claire et précise. Mais…
« Primo : On ne sait pas s’il y a une couille là dedans. Notre mission est complexe, car elle se base sur des suppositions. C’est un peu : mieux vaut prévenir que guérir. Imaginez que l’on se trompe, et que cet homme fasse son simple travail. Un homme de foi. Courageux. Généreux. Et, bon citoyen. De quoi aurait on l’air ? Tout cela pour anticiper, il faudra la jouer tendax. Surtout, ne pas tuer cette personne. Mais a-t-on le choix de se retenir ?
Deusio : Attirer le garde dans les buissons à coté, et lui faire sa fête la dedans. Ca ne sera toujours pas la pointe de la discrétion. Encore une fois, pouvons nous vraiment être discret ? Soyons réaliste, j’en doute. Donc, je ne retiendrais pas cette charge contre vous.
Cependant, et c’est là la faille de votre plan, est-ce que le garde viendra aider la jeune femme ? Est-il aussi bête ? Car, il ne faut pas se leurrer, ça pu le piège ce que vous proposez. Iriez vous aider la jeune fille, vous ? En pleine mission, alors qu’il n’est pas de votre ressort de sauver cette femme. Qui se trouve là par hasard, en plus. Blessé par on ne sait quoi, on ne sait qui. Sans cri proche. Sans trace de lutte. Alors qu’il est sensé être à l’affût. Ca parait un peu gros, non ?
Pourtant, nous n’avons rien d’autre à proposer. Il est préférable de rester simple, au pire, nous sommes supérieur en nombre. Les problèmes viendront à l’intérieur plutôt. Donc, on fait comme vous avez dit. Seulement, nous partons en premier nous positionner. On se dissimule quelque part, sous Henge. Histoire que si votre plan dérape, on attaque direct. Et, tant pis pour la discrétion. La réussite dépendra de votre interprétation.
Des questions ? Si ce n’est pas le cas, on commence direct. »
Aoki se leva dans l’ombre. Il ajusta sa ceinture, vérifia le nombre de Kunai. Il détendit son écharpe, et étira son cou. D’un signe de main, il effectua le Henge. Apparence ? Un chat errant. Une touffe de poil blanc sur le crâne, à droite.
Aoki Nemuri. Chûnin Punk-repentit (et Fan du tricot...) de Konoha
-
Hayabusa Keitou
- Etudiant(e)
- Messages : 21
- Inscription : dim. 15 oct. 2006, 15:42
- Localisation : Hi no Kuni, Konohagakure no Sato
HRP/
Bien, je crois que ça suffit comme ça...
... Naera, toutes mes condoléances, ou approchant.
Tu aurais prévenu, je ne ne dis pas... mais non, en fait. ^^
/HRP
[MDJ]
[Shina]
La jeune fille n'entendit rien que des grésillements pendant un moment.
Des bruits de pas se firent entendre juste au-dessus de sa tête.
Quelqu'un semblait faire les cent pas à l'étage supérieur, et, à en juger par le boucan qu'il faisait, cette personne ne devait pas être vraiment contente, pour une raison ou pour une autre.
Puis, après deux à trois minutes d'attente, une voix se fit entendre à travers l'oreillette, un peu distante, avec un léger écho : Rien de bien gênant, en vérité.
« Ici Hayabusa.
Je relaie les informations à mes équipes, l'une d'elles devrait arriver en soutien dans quelques minutes.
En attendant, tâche de rester discrète et de me raconter tout ce qui s'est passé depuis le début.
Pourquoi est-ce qu'ils ont eu tes équipières, et pas toi ? Ils te cherchent ? » demanda la jounin, d'une voix assez dure, professionnelle.
Elle n'avait même pas eu la présence d'esprit de chercher à rassurer l'étudiante, trop occupée à donner des ordres ça et là, à coordonner les escouades pour qu'elles mettent fin au grabuge que les infiltrés avaient mis dans tout Konoha...
[Naera]
Elle hésita longtemps. Trop longtemps : L'un des hommes au-dehors finit par tourner la tête vers elle, et remarquer et la porte, et l'adolescente prise sur le fait.
Loin de paraître hostile, il entra simplement par la porte-fenêtre entrouverte avant de s'avancer, tout de suite suivi par deux autres personnes, plus jeunes, qui le regardaient avec un certain respect.
« On ne sait pas ce qu'elle a pu entendre, maintenant. Tuez-la. » dit-il avec un petit sourire en coin.
Les deux se regardèrent, paniqués... ils avaient comme un air de famille, d'ailleurs.
Deux garçons, aussi blonds l'un que l'autre, avec les mêmes yeux verts.
« Mais Shin-sama a bien dit à Iyeyasu-san que personne ne devait les toucher... » tenta l'un d'eux, qui n'osa même pas lever les yeux vers son interlocuteur plus âgé.
Celui-ci allongea gracieusement le bras pour lui en coller une qui le fit reculer de quelques pas.
« Toi, fais-le ! » ordonna-t-il à l'autre après s'être retourné. Un autre dont le regard semblait un peu plus froid et moins craintif que celui de son équipier.
« Soit. »
Le jeune homme sortit un kunai, qu'il fit tournoyer dans sa main quelques instants avant de commencer à s'approcher de Naera, avec un air un peu bizarre sur le visage, comme une personne hésitante, partagée entre deux loyautés...
Nul ne pouvait le voir, son « supérieur » étant resté dans son dos, son ami essayant encore de reprendre tous ses esprits.
L'adolescent attendait quelque chose, jusqu'au moment où il sentit le courant de chakra.
Il fut sur l'étudiante en un instant ; Laquelle se retrouva dans l'impossibilité de bouger au niveau du tronc et des bras, sans doute à cause de la technique engagée par l'autre gamin.
Elle ne ressentit pas la douleur, au départ, quand le kunai lui transperça le ventre.
Elle ne la ressentit d'ailleurs pas davantage quand son agresseur commença à faire bouger la lame à l'intérieur, même si elle la voyait, la percevait.
Ce n'est que bien plus tard, lorsqu'ils l'eurent dissimulée sous quelques couvertures derrière un peu de bazar, que Naera ressentit, comme de loin, sa vie s'échapper de son corps en même temps que son sang par cette lacération.
HRP/
@ Shina :
Pour la suite du dialogue, en MP, ça ira plus vite,
(En gros tu m'envois ton post par MP),
@ Naera :
Tu n'es pas encore morte, mais ça va venir, si personne n'arrive, vite...
/HRP
Bien, je crois que ça suffit comme ça...
... Naera, toutes mes condoléances, ou approchant.
Tu aurais prévenu, je ne ne dis pas... mais non, en fait. ^^
/HRP
[MDJ]
[Shina]
La jeune fille n'entendit rien que des grésillements pendant un moment.
Des bruits de pas se firent entendre juste au-dessus de sa tête.
Quelqu'un semblait faire les cent pas à l'étage supérieur, et, à en juger par le boucan qu'il faisait, cette personne ne devait pas être vraiment contente, pour une raison ou pour une autre.
Puis, après deux à trois minutes d'attente, une voix se fit entendre à travers l'oreillette, un peu distante, avec un léger écho : Rien de bien gênant, en vérité.
« Ici Hayabusa.
Je relaie les informations à mes équipes, l'une d'elles devrait arriver en soutien dans quelques minutes.
En attendant, tâche de rester discrète et de me raconter tout ce qui s'est passé depuis le début.
Pourquoi est-ce qu'ils ont eu tes équipières, et pas toi ? Ils te cherchent ? » demanda la jounin, d'une voix assez dure, professionnelle.
Elle n'avait même pas eu la présence d'esprit de chercher à rassurer l'étudiante, trop occupée à donner des ordres ça et là, à coordonner les escouades pour qu'elles mettent fin au grabuge que les infiltrés avaient mis dans tout Konoha...
[Naera]
Elle hésita longtemps. Trop longtemps : L'un des hommes au-dehors finit par tourner la tête vers elle, et remarquer et la porte, et l'adolescente prise sur le fait.
Loin de paraître hostile, il entra simplement par la porte-fenêtre entrouverte avant de s'avancer, tout de suite suivi par deux autres personnes, plus jeunes, qui le regardaient avec un certain respect.
« On ne sait pas ce qu'elle a pu entendre, maintenant. Tuez-la. » dit-il avec un petit sourire en coin.
Les deux se regardèrent, paniqués... ils avaient comme un air de famille, d'ailleurs.
Deux garçons, aussi blonds l'un que l'autre, avec les mêmes yeux verts.
« Mais Shin-sama a bien dit à Iyeyasu-san que personne ne devait les toucher... » tenta l'un d'eux, qui n'osa même pas lever les yeux vers son interlocuteur plus âgé.
Celui-ci allongea gracieusement le bras pour lui en coller une qui le fit reculer de quelques pas.
« Toi, fais-le ! » ordonna-t-il à l'autre après s'être retourné. Un autre dont le regard semblait un peu plus froid et moins craintif que celui de son équipier.
« Soit. »
Le jeune homme sortit un kunai, qu'il fit tournoyer dans sa main quelques instants avant de commencer à s'approcher de Naera, avec un air un peu bizarre sur le visage, comme une personne hésitante, partagée entre deux loyautés...
Nul ne pouvait le voir, son « supérieur » étant resté dans son dos, son ami essayant encore de reprendre tous ses esprits.
L'adolescent attendait quelque chose, jusqu'au moment où il sentit le courant de chakra.
Il fut sur l'étudiante en un instant ; Laquelle se retrouva dans l'impossibilité de bouger au niveau du tronc et des bras, sans doute à cause de la technique engagée par l'autre gamin.
Elle ne ressentit pas la douleur, au départ, quand le kunai lui transperça le ventre.
Elle ne la ressentit d'ailleurs pas davantage quand son agresseur commença à faire bouger la lame à l'intérieur, même si elle la voyait, la percevait.
Ce n'est que bien plus tard, lorsqu'ils l'eurent dissimulée sous quelques couvertures derrière un peu de bazar, que Naera ressentit, comme de loin, sa vie s'échapper de son corps en même temps que son sang par cette lacération.
HRP/
@ Shina :
Pour la suite du dialogue, en MP, ça ira plus vite,
(En gros tu m'envois ton post par MP),
@ Naera :
Tu n'es pas encore morte, mais ça va venir, si personne n'arrive, vite...
/HRP
Hayabusa Keitou, Jounin de Konohagakure no Sato.
La douceur est invincible.
-
Asano Kurai
- Genin, Rightarm of the Cat
- Messages : 776
- Inscription : dim. 24 juil. 2005, 12:23
- Localisation : Dans les basques de Tsukiyo-san o/
[HRP : Dorénavant, je gère aussi Shigeru, le joueur n’ayant que très peu envie de continuer à ce que j’ai pu constater /HRP]
« Primo : On ne sait pas s’il y a une couille là dedans. Notre mission est complexe, car elle se base sur des suppositions. C’est un peu : mieux vaut prévenir que guérir. Imaginez que l’on se trompe, et que cet homme fasse son simple travail. Un homme de foi. Courageux. Généreux. Et, bon citoyen. De quoi aurait on l’air ? Tout cela pour anticiper, il faudra la jouer tendax. Surtout, ne pas tuer cette personne. Mais a-t-on le choix de se retenir ?
Deusio : Attirer le garde dans les buissons à coté, et lui faire sa fête la dedans. Ça ne sera toujours pas la pointe de la discrétion. Encore une fois, pouvons nous vraiment être discret ? Soyons réaliste, j’en doute. Donc, je ne retiendrais pas cette charge contre vous.
Cependant, et c’est là la faille de votre plan, est-ce que le garde viendra aider la jeune femme ? Est-il aussi bête ? Car, il ne faut pas se leurrer, ça pu le piège ce que vous proposez. Iriez vous aider la jeune fille, vous ? En pleine mission, alors qu’il n’est pas de votre ressort de sauver cette femme. Qui se trouve là par hasard, en plus. Blessé par on ne sait quoi, on ne sait qui. Sans cri proche. Sans trace de lutte. Alors qu’il est sensé être à l’affût. Ça parait un peu gros, non ?
Pourtant, nous n’avons rien d’autre à proposer. Il est préférable de rester simple, au pire, nous sommes supérieur en nombre. Les problèmes viendront à l’intérieur plutôt. Donc, on fait comme vous avez dit. Seulement, nous partons en premier nous positionner. On se dissimule quelque part, sous Henge. Histoire que si votre plan dérape, on attaque direct. Et, tant pis pour la discrétion. La réussite dépendra de votre interprétation.
Des questions ? Si ce n’est pas le cas, on commence direct. »
Bien sur, il y avait des données hasardeuses, comme l’avait démontré le Chuunin, cela, le pseudo tacticien de l’équipe - même s’il n’était pas à l’origine du plan d’action - l’avait parfaitement comprit. Et oui, Kurai était un peu, parmi le trio d’Iwa, celui le plus apte à faire des plans étant donné que Toki était plutôt jeune et Shigeru… Enfin bref.
L’androgyne prit une air dur en regardant Aoki maintenant changé en chat.
« Si on manque d’informations pour faire un meilleur plan, ce n’est sûrement pas la faute de l’équipe d’Iwa qui a fait le déplacement jusqu’ici. C’est plutôt la faute de vos services, monsieur le Chuunin de Konoha. Qui plus est, de part votre grade plus élevé, si vous avez mieux à proposer allez-y. Dans le cas contraire, je vous conseil vivement de comprendre que l’on a pas le temps de s’amuser à réfléchir sur cinquante scénarios. »
Le Genin avait bien changé depuis sa promotion… Avant, jamais il ne se serait permit de dire une chose pareil à un supérieur, qu’il fut d’Iwa ou non. Aujourd’hui, après les différents évènements qu’il avait traversé, il osait son remord.
Laissant là les tensions intestines, l’androgyne concentra son chakra et lança son Henge. Il avait déjà commencé à réfléchir à l’apparence à adopter pendant que son collègue lui exposait son idée, son déguisement était donc déjà choisit : quelque chose auquel cet homme ne serait probablement pas insensible…
[tmb]http://www.organisationtressecrete.com/ ... 767789.jpg[/tmb]
« Voilà qui devrait aller je suppose… » Lança Kurai de la voix charmeuse correspondant au physique qu’il avait adopté.
Derrière lui, Shigeru imita le mouvement, prenant l’apparence d’un garçon très jeune, dans les dix ans environ, aux cheveux courts bruns et aux grands yeux noisettes. L’androgyne regarda l’illusion et sourit. Non seulement il avait conscience de la vérité, mais son propre niveau, plus élevé, en Genjutsu trahissait le déguisement de son collègue.
Restait à espérer que le garde ne soit pas un ninja. Il n’en donnait pas l’air en tout cas, mais après tout Kurai lui-même avait-il l’air d’un ninja ? Et exemple plus flagrant, Toki en avait-elle l’air ?
« Aller. » Lança la jeune femme (Kurai)
L’androgyne et Shigeru, tout deux sous Henge, avancèrent comme s’ils étaient de simples gens se promenant. Arrivant un peu avant le bâtiment visé, le gamin fila sur le côté de l’édifice, bientôt suivit par sa pseudo mère.
Arrivés là, à l’abri des regards, Kurai se concentra pour prendre son air le plus mal en point possible, puis se laissa tomber au sol à l’endroit prévu. Il ne s’allongea pas, mais se laissa complètement choir, comme s’il avait fait un vrai malaise.
Shigeru prit aussi grand soin de commencer à pleurer, se servant d’un quelconque souvenir particulièrement triste. En fois que le gamin pleurait à chaudes larmes, il s’avança à découvert, jouant son rôle comme prévu en se tournant vers le garde avant de marcher vers lui, toujours en pleurs.
Au début, le pauvre homme n’aurait put comprendre quoi que se soit tant les mots étaient hachés par les larmes. Mais après un temps, l’enfant qu’il avait sous les yeux put articuler un peu mieux, sanglotant que sa maman avait fait un malaise et qu’il n’arrivait pas à la réveiller.
Ce petit bout de chou en pleurs demandait l’assista du monsieur qui avait l’air de pouvoir l’aider…
[HRP : Ça assez traîné comme ça, donc j’ai enchaîné direct sur le lancement du plan, je sais pas si il aurait fallu s’arrêter avant mais tant pis.
Toki, t’as deux posts de retard… /HRP ]
Edit Aoki : Pour ma part, c'est exactement ce que je voulais ^_^
« Primo : On ne sait pas s’il y a une couille là dedans. Notre mission est complexe, car elle se base sur des suppositions. C’est un peu : mieux vaut prévenir que guérir. Imaginez que l’on se trompe, et que cet homme fasse son simple travail. Un homme de foi. Courageux. Généreux. Et, bon citoyen. De quoi aurait on l’air ? Tout cela pour anticiper, il faudra la jouer tendax. Surtout, ne pas tuer cette personne. Mais a-t-on le choix de se retenir ?
Deusio : Attirer le garde dans les buissons à coté, et lui faire sa fête la dedans. Ça ne sera toujours pas la pointe de la discrétion. Encore une fois, pouvons nous vraiment être discret ? Soyons réaliste, j’en doute. Donc, je ne retiendrais pas cette charge contre vous.
Cependant, et c’est là la faille de votre plan, est-ce que le garde viendra aider la jeune femme ? Est-il aussi bête ? Car, il ne faut pas se leurrer, ça pu le piège ce que vous proposez. Iriez vous aider la jeune fille, vous ? En pleine mission, alors qu’il n’est pas de votre ressort de sauver cette femme. Qui se trouve là par hasard, en plus. Blessé par on ne sait quoi, on ne sait qui. Sans cri proche. Sans trace de lutte. Alors qu’il est sensé être à l’affût. Ça parait un peu gros, non ?
Pourtant, nous n’avons rien d’autre à proposer. Il est préférable de rester simple, au pire, nous sommes supérieur en nombre. Les problèmes viendront à l’intérieur plutôt. Donc, on fait comme vous avez dit. Seulement, nous partons en premier nous positionner. On se dissimule quelque part, sous Henge. Histoire que si votre plan dérape, on attaque direct. Et, tant pis pour la discrétion. La réussite dépendra de votre interprétation.
Des questions ? Si ce n’est pas le cas, on commence direct. »
Bien sur, il y avait des données hasardeuses, comme l’avait démontré le Chuunin, cela, le pseudo tacticien de l’équipe - même s’il n’était pas à l’origine du plan d’action - l’avait parfaitement comprit. Et oui, Kurai était un peu, parmi le trio d’Iwa, celui le plus apte à faire des plans étant donné que Toki était plutôt jeune et Shigeru… Enfin bref.
L’androgyne prit une air dur en regardant Aoki maintenant changé en chat.
« Si on manque d’informations pour faire un meilleur plan, ce n’est sûrement pas la faute de l’équipe d’Iwa qui a fait le déplacement jusqu’ici. C’est plutôt la faute de vos services, monsieur le Chuunin de Konoha. Qui plus est, de part votre grade plus élevé, si vous avez mieux à proposer allez-y. Dans le cas contraire, je vous conseil vivement de comprendre que l’on a pas le temps de s’amuser à réfléchir sur cinquante scénarios. »
Le Genin avait bien changé depuis sa promotion… Avant, jamais il ne se serait permit de dire une chose pareil à un supérieur, qu’il fut d’Iwa ou non. Aujourd’hui, après les différents évènements qu’il avait traversé, il osait son remord.
Laissant là les tensions intestines, l’androgyne concentra son chakra et lança son Henge. Il avait déjà commencé à réfléchir à l’apparence à adopter pendant que son collègue lui exposait son idée, son déguisement était donc déjà choisit : quelque chose auquel cet homme ne serait probablement pas insensible…
[tmb]http://www.organisationtressecrete.com/ ... 767789.jpg[/tmb]
« Voilà qui devrait aller je suppose… » Lança Kurai de la voix charmeuse correspondant au physique qu’il avait adopté.
Derrière lui, Shigeru imita le mouvement, prenant l’apparence d’un garçon très jeune, dans les dix ans environ, aux cheveux courts bruns et aux grands yeux noisettes. L’androgyne regarda l’illusion et sourit. Non seulement il avait conscience de la vérité, mais son propre niveau, plus élevé, en Genjutsu trahissait le déguisement de son collègue.
Restait à espérer que le garde ne soit pas un ninja. Il n’en donnait pas l’air en tout cas, mais après tout Kurai lui-même avait-il l’air d’un ninja ? Et exemple plus flagrant, Toki en avait-elle l’air ?
« Aller. » Lança la jeune femme (Kurai)
L’androgyne et Shigeru, tout deux sous Henge, avancèrent comme s’ils étaient de simples gens se promenant. Arrivant un peu avant le bâtiment visé, le gamin fila sur le côté de l’édifice, bientôt suivit par sa pseudo mère.
Arrivés là, à l’abri des regards, Kurai se concentra pour prendre son air le plus mal en point possible, puis se laissa tomber au sol à l’endroit prévu. Il ne s’allongea pas, mais se laissa complètement choir, comme s’il avait fait un vrai malaise.
Shigeru prit aussi grand soin de commencer à pleurer, se servant d’un quelconque souvenir particulièrement triste. En fois que le gamin pleurait à chaudes larmes, il s’avança à découvert, jouant son rôle comme prévu en se tournant vers le garde avant de marcher vers lui, toujours en pleurs.
Au début, le pauvre homme n’aurait put comprendre quoi que se soit tant les mots étaient hachés par les larmes. Mais après un temps, l’enfant qu’il avait sous les yeux put articuler un peu mieux, sanglotant que sa maman avait fait un malaise et qu’il n’arrivait pas à la réveiller.
Ce petit bout de chou en pleurs demandait l’assista du monsieur qui avait l’air de pouvoir l’aider…
[HRP : Ça assez traîné comme ça, donc j’ai enchaîné direct sur le lancement du plan, je sais pas si il aurait fallu s’arrêter avant mais tant pis.
Toki, t’as deux posts de retard… /HRP ]
Edit Aoki : Pour ma part, c'est exactement ce que je voulais ^_^
Asano "Kurai" Koretoyo, Genin Androgyne d'Iwa
- Rightarm of the Cat - Pour le meilleur et pour le pire (surtout le pire...)
\o/
- Rightarm of the Cat - Pour le meilleur et pour le pire (surtout le pire...)
\o/
-
Haki Tokinoki
- Genin nij'na
- Messages : 457
- Inscription : lun. 02 janv. 2006, 20:13
- Localisation : Iwagakure no Sato
Le plan se basait sur le Genjutsu. C'était un plan facile et adéquat pour Toki, qui contrôlait presque à la perfection son Chakra, ce qui est plutôt rare pour une fille de son âge. Son niveau de Genjutsu n'était pas aussi bon que celui de Kurai, mais devait être meilleur que celui de Shigeru. De toutes manières, ce ne serait pas un simple garde qui pourrait percer le Henge de Toki, à moins qu'il n'aie le niveau d'un Jûnin, ce qu'il ne fallait pas exclure. Toute sles choses étaient bonne à prendre en considération. C'est dans ce genre de situations que l'on reconnait les bons ninjas. Mais il faut aussi savoir prendre des risques. Un garde n'a que peu de chances d'avoir un niveau de Juunin. Au vu de sa position, il est plus une sentinelle qu'une défense. Enfin, Toki l'interprétait comme cela, ce qui lui permettait d'avoir moins peur si elle devait l'affronter.
Pendant que Toki pensait au plan et au garde, Kurai, assez perturbé par cette mission, et tenant à la faire se dérouler sans pertes humaines, s'approcha de Toki et tenta de la contrôler en lui faisant du chantage. En temps normal, cela n'aurait pas marché, et Toki se serait montrée "impolie", mais Kurai avait eu un argument convaincant. Si elle restait discrète et qu'elle montrait qu'elle était une vraie Ninja, elle aurait une nouvelle technique grâce à Kurai... et un autographe de K'ya ! La jeune genin, à l'écoute de ce prénom, ouvrit grand les yeux et les oreilles. Ils parlaient bien de K'ya. Mais quel rapport avait-il avec cette mission ? K'ya... incroyable. Toki n'en revenait pas. Elle sautillait sur place, en tenant les mains de l'androgyne.
« C'est vrai c'est vrai ? Je pourrais avoir un autographe de K'ya ?! C'est K'ya qu'il faut sauver c'est ça ? Hein, c'est ça, dis ? Trop bien je vais sauver K'ya !!! »
Kurai se pencah pour lui murmurer quelques mots de plus. Toki ne put qu'approuver avec un signe de tête. Là, l'androgyne venait de remonter dans l'estime de Toki. C'était même devenu un grand ami, voire même un modèle, un maître. La gamine avait les yeux pétillants, en pensant à cette grande star qu'est K'ya. Tout semblait dépendre de la petite fille d'Iwa. Si la mission échouait, K'ya ne pourrait pas être sauvé, et elle passerait pour une pauvre gamine ne méritant pas le titre de ninja. De plus, Aoki la mépriserait, puisqu'elle n'avait rien à faire dans cette mission. Ce n'était pas une simple mission de sauvetage, Toki devait aussi sauver so, honneur, son amour propre, et montrer sa détermination. Tout le monde la prenait pour une gamine, alors qu'elle avait réussi les mêmes choses qu'eux pour en arriver là. Elle contrôlait bien son Chakra, elle élaborait des plans complexes... LEs autres n'avaient jamais confiance en son jeune âge. Tout le monde voyaient en elle une sorte de "diable à ressort" qui surgit quand on ne le veut pas, quand on s'y attend le moins. Elle n'était pas techniquement mauvaise, mais elle était trop impulsive et son esprit de jugement était assez altéré. C'est ce qui faisait le caractère de Toki. Mais dans des situations critiques, elle devenait plus sérieuse que jamais, et plus forte aussi. Et elle allait montrer, aussi bien aux Ninjas de Konoha, qu'à ceux d'Iwa, et même à K'ya, qu'elle n'était pas qu'une petite fille. C'est une nij'na très forte, qui ne manque pas de détermination et de courage. Elle reprit un air sérieux, et serra les poings, en fixant Kurai.
Le plan que Kurai avait composé ne mettait en scène que lui-même et Shigeru. Aoki et Toki n'avaient pas d'ordres particuliers, ce qui faisait un peu mal au coeur à Toki. Mais elle n'avait pas son mot à dire. Elle devait faire bonne impression en faisant ce qu'on lui ordonnait, sans interférer avec la mission. Car notre petite Toki savait très bien qu'avec son jeune âge, elle gênerait si elle prenait ses propres initiatives. Cependant, quelque chose la surprena. Shigeru avait parlé de prendre l'apparence d'un petit garçon, pour aller vers le garde. Une grosse flêche rouge aurait dû s'abattre sur Toki, qui n'avait même pas besoin de Henge pour jouer une petite personne. De plus, jouer la comédie aurait été parfait pour elle. Mais elle était mise à l'écart, sûrement par la peur de Kurai et Shigeru qu'elle échoue dnas sa tâche. Alors elle ne fit que singer Aoki, qui, lui aussi, n'était pas inclus dans le plan. Elle n'était pas vraiment d'accord avec ce qu'il avait pu dire, car elle croyait en les capacités de ses compagnons d'Iwa. Elle aurait voulu lui dire de ne pas être aussi pessimiste, mais sa promesse faite à Kurai de rester professionnelle devait être tenue. Alors elle se tut, et exécuta un Henge, pour prendre l'apparence d'une chatte blanche, pour ainsi suivre Aoki, en attendant de futurs ordres.
Le plan était lancé, et Toki était prête à agir en cas de nécessité.
[HRP: >> ignored wouuuh << \o
Alors comme ca ma Toki n'est pas assez parfaite pour jouer le role du gamin ? xD
Gomen pour le post en retard, j'ai eu un début de semaine chargé en devoirs, et pas trop l'envie d'écrire
Mais le voilà
]
Pendant que Toki pensait au plan et au garde, Kurai, assez perturbé par cette mission, et tenant à la faire se dérouler sans pertes humaines, s'approcha de Toki et tenta de la contrôler en lui faisant du chantage. En temps normal, cela n'aurait pas marché, et Toki se serait montrée "impolie", mais Kurai avait eu un argument convaincant. Si elle restait discrète et qu'elle montrait qu'elle était une vraie Ninja, elle aurait une nouvelle technique grâce à Kurai... et un autographe de K'ya ! La jeune genin, à l'écoute de ce prénom, ouvrit grand les yeux et les oreilles. Ils parlaient bien de K'ya. Mais quel rapport avait-il avec cette mission ? K'ya... incroyable. Toki n'en revenait pas. Elle sautillait sur place, en tenant les mains de l'androgyne.
« C'est vrai c'est vrai ? Je pourrais avoir un autographe de K'ya ?! C'est K'ya qu'il faut sauver c'est ça ? Hein, c'est ça, dis ? Trop bien je vais sauver K'ya !!! »
Kurai se pencah pour lui murmurer quelques mots de plus. Toki ne put qu'approuver avec un signe de tête. Là, l'androgyne venait de remonter dans l'estime de Toki. C'était même devenu un grand ami, voire même un modèle, un maître. La gamine avait les yeux pétillants, en pensant à cette grande star qu'est K'ya. Tout semblait dépendre de la petite fille d'Iwa. Si la mission échouait, K'ya ne pourrait pas être sauvé, et elle passerait pour une pauvre gamine ne méritant pas le titre de ninja. De plus, Aoki la mépriserait, puisqu'elle n'avait rien à faire dans cette mission. Ce n'était pas une simple mission de sauvetage, Toki devait aussi sauver so, honneur, son amour propre, et montrer sa détermination. Tout le monde la prenait pour une gamine, alors qu'elle avait réussi les mêmes choses qu'eux pour en arriver là. Elle contrôlait bien son Chakra, elle élaborait des plans complexes... LEs autres n'avaient jamais confiance en son jeune âge. Tout le monde voyaient en elle une sorte de "diable à ressort" qui surgit quand on ne le veut pas, quand on s'y attend le moins. Elle n'était pas techniquement mauvaise, mais elle était trop impulsive et son esprit de jugement était assez altéré. C'est ce qui faisait le caractère de Toki. Mais dans des situations critiques, elle devenait plus sérieuse que jamais, et plus forte aussi. Et elle allait montrer, aussi bien aux Ninjas de Konoha, qu'à ceux d'Iwa, et même à K'ya, qu'elle n'était pas qu'une petite fille. C'est une nij'na très forte, qui ne manque pas de détermination et de courage. Elle reprit un air sérieux, et serra les poings, en fixant Kurai.
Le plan que Kurai avait composé ne mettait en scène que lui-même et Shigeru. Aoki et Toki n'avaient pas d'ordres particuliers, ce qui faisait un peu mal au coeur à Toki. Mais elle n'avait pas son mot à dire. Elle devait faire bonne impression en faisant ce qu'on lui ordonnait, sans interférer avec la mission. Car notre petite Toki savait très bien qu'avec son jeune âge, elle gênerait si elle prenait ses propres initiatives. Cependant, quelque chose la surprena. Shigeru avait parlé de prendre l'apparence d'un petit garçon, pour aller vers le garde. Une grosse flêche rouge aurait dû s'abattre sur Toki, qui n'avait même pas besoin de Henge pour jouer une petite personne. De plus, jouer la comédie aurait été parfait pour elle. Mais elle était mise à l'écart, sûrement par la peur de Kurai et Shigeru qu'elle échoue dnas sa tâche. Alors elle ne fit que singer Aoki, qui, lui aussi, n'était pas inclus dans le plan. Elle n'était pas vraiment d'accord avec ce qu'il avait pu dire, car elle croyait en les capacités de ses compagnons d'Iwa. Elle aurait voulu lui dire de ne pas être aussi pessimiste, mais sa promesse faite à Kurai de rester professionnelle devait être tenue. Alors elle se tut, et exécuta un Henge, pour prendre l'apparence d'une chatte blanche, pour ainsi suivre Aoki, en attendant de futurs ordres.
Le plan était lancé, et Toki était prête à agir en cas de nécessité.
[HRP: >> ignored wouuuh << \o
Alors comme ca ma Toki n'est pas assez parfaite pour jouer le role du gamin ? xD
Gomen pour le post en retard, j'ai eu un début de semaine chargé en devoirs, et pas trop l'envie d'écrire
Mais le voilà
]
Dernière modification par Haki Tokinoki le dim. 17 déc. 2006, 19:13, modifié 3 fois.
» Iwa no Toki
RP:
» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage
RP:
» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage
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Naera Murasaki
- Genin Vive la Souice
- Messages : 187
- Inscription : dim. 17 avr. 2005, 19:09
- Localisation : Konoha
Pluton est tombé. Après 70 ans d’existence, son règne renié, cette ancienne planète se retrouve logée au rang de planète naine, élément de la ceinture de Kuiper. Sacrifiée afin d’évincer trois autres candidats, on ne peut que considérer son rôle de bouc émissaire. Discriminée en raison de son orbite, ce sont les scientifiques qui ont eu raison d’elle. Manuelles d’astrologie amputés de la 9ème planète, drame scolaire, traumatisme astrologique, nombreuses sont les conséquences de cette décision qui bouleverse notre vie. Mais alors que l’univers se contorsionne au grès de ces bons physiciens, le créationnisme lui aussi se doit de s’ajourner. Et c’est ainsi que l’on avouera que la race humaine ne descend pas de l’homme de Neandertal. Ces néandertaliens, tous victimes d’une fin sans épilogue, ne sont que des cousins éloignés de l’homo sapiens.
Le monde d’aujourd’hui, est loin d’aboutir à vérité absolue.
La vérité absolue de Naera, quant à elle, se trouvait être la connaissance du risque qu’elle encourrait, à savoir une invalide 100%. Incrédule face à sa réussite première, sa rapidité d’analyse lui avait fait défaut et les mauvais garçons lui étaient tombés dessus. Perforant, évinçant, lacérant, son boucher avait agit grossièrement dans un but évident, sans que celle-ci eut pu esquisser le moindre geste. La stupeur se lisait encore dans ses grands yeux, qui, figés sur son visage pâle, se drapaient d’un voile noir. Encore dotée de conscience, elle tentait de maîtriser, sans grand succès, sa respiration rapide, songeant à son corps meurtri.
* Quel organe vomit-il autant de sang ? Sa déglutition me coûte tant… Intestin grêle ? Duodénum ? Estomac ? Péritoine ? Foie ? Côlon ? Rate ? Pancréas ? Reins ? De ceux dont j’emploie les noms, lesquels ont levé drapeau blanc ? *
Prisonnière d’une serre sans air, elle sentait peu à peu ses pulsations, qui quelques secondes plus tôt battaient à la chamade, faiblir, tandis que le liquide visqueux continuait de s’échapper de par l’ouverture béante. Tentant de refermer ses doigts sur un quelconque appui, elle constata qu’elle n’avait même plus la force de faire obtempérer ses membres capricieux. Naera aurait voulu crier, entendre le pas précipité d’un allié, eusse-il fallu que ça soit Saya, c’eût été égal. Un frisson d’angoisse fit vibrer sa chair, la peur d’une mort prématurée.
Sa poitrine se soulevait à présent méthodiquement, marquant un rythme soporifique. Enveloppée et appâtée par la douceur d’un sommeil libérateur, elle perdait peu à peu l’envie de combattre. La Murasaki s’entendit encore tenter une vaine supplication, plainte sans écho, râle étouffé, avant de sombrer dans l’inconscience.
[HRP: Veux pas mourireeeeeeeeuuuuuuuuu, j'préfère encore servir d'esclave à Saya (qu'est c'que j'dis moi? Oo)
Scusez-moi, j'aurais du me faire porter pâle pour pas que vous attendiez sur mon post...
Enfin bref, à part ça, c'est sympa de jouer une pré-morte... ' ]
Le monde d’aujourd’hui, est loin d’aboutir à vérité absolue.
La vérité absolue de Naera, quant à elle, se trouvait être la connaissance du risque qu’elle encourrait, à savoir une invalide 100%. Incrédule face à sa réussite première, sa rapidité d’analyse lui avait fait défaut et les mauvais garçons lui étaient tombés dessus. Perforant, évinçant, lacérant, son boucher avait agit grossièrement dans un but évident, sans que celle-ci eut pu esquisser le moindre geste. La stupeur se lisait encore dans ses grands yeux, qui, figés sur son visage pâle, se drapaient d’un voile noir. Encore dotée de conscience, elle tentait de maîtriser, sans grand succès, sa respiration rapide, songeant à son corps meurtri.
* Quel organe vomit-il autant de sang ? Sa déglutition me coûte tant… Intestin grêle ? Duodénum ? Estomac ? Péritoine ? Foie ? Côlon ? Rate ? Pancréas ? Reins ? De ceux dont j’emploie les noms, lesquels ont levé drapeau blanc ? *
Prisonnière d’une serre sans air, elle sentait peu à peu ses pulsations, qui quelques secondes plus tôt battaient à la chamade, faiblir, tandis que le liquide visqueux continuait de s’échapper de par l’ouverture béante. Tentant de refermer ses doigts sur un quelconque appui, elle constata qu’elle n’avait même plus la force de faire obtempérer ses membres capricieux. Naera aurait voulu crier, entendre le pas précipité d’un allié, eusse-il fallu que ça soit Saya, c’eût été égal. Un frisson d’angoisse fit vibrer sa chair, la peur d’une mort prématurée.
Sa poitrine se soulevait à présent méthodiquement, marquant un rythme soporifique. Enveloppée et appâtée par la douceur d’un sommeil libérateur, elle perdait peu à peu l’envie de combattre. La Murasaki s’entendit encore tenter une vaine supplication, plainte sans écho, râle étouffé, avant de sombrer dans l’inconscience.
[HRP: Veux pas mourireeeeeeeeuuuuuuuuu, j'préfère encore servir d'esclave à Saya (qu'est c'que j'dis moi? Oo)
Scusez-moi, j'aurais du me faire porter pâle pour pas que vous attendiez sur mon post...
Enfin bref, à part ça, c'est sympa de jouer une pré-morte...
' ]-
Nemuri Aoki
- Chûnin en noir et blanc
- Messages : 1042
- Inscription : ven. 03 nov. 2006, 15:28
- Localisation : Village de la Feuille
Le chat/Chûnin écouta l’androgyne sans trop d’intérêt. L’affaire était maintenant lancée, plus la peine de tergiverser. Avancer était la meilleure solution, le temps comptait. Plus que jamais. Il fit la moue caractéristique du chat dédaigneux. C’est affolant comment, ces petites bêtes, peuvent se croire le centre du monde. Il levait un pseudo sourcil, rendant un œil plus grand que l’autre. Puis, il détourna la tête, dans un soupir félin. Il s’étira les pattes, levant la queue noire aux poils sauvageons. Son allure n’avait rien de noble, plus proche de la vermine, animal pouilleux. Ses oreilles battirent. Il gratta sa touffe blanche à l’aide de sa patte. Il imita une sorte de miaulement, signifiant : « Rien à ajouter ». Pendant que les jeunes assuraient leurs Henge, Aoki pensait.
*L’aurais-je vexé ? Ses gens d’Iwa paraissent si irritables. Un mot sur leur plan, et ils s’enflamment de froideur. Professionnels ? Il est difficile de s’en remettre à des étrangers. Je dois, néanmoins, leur faire confiance. Voyons ce que valent les ninja des roches. Une belle entente pourrait être utile au village. Qui sait où cela pourrait nous mener ?*
Les apparences choisies plurent au Chûnin. Une jeune femme pulpeuse. Un petit garçon crédible. Et une blanche féline toute mignonne, malgré un aspect racé sous-jacent. Il fut frappé par un résultat si ressemblant. Le mouvement des poils semblait naturel, on sentait un réel talent derrière ce jutsu. Il fallait être un expert ou au courant, pour déceler la supercherie.
Le plan se mettait enfin en place. D’un mouvement de tête, Aoki indiqua à la cadette du groupe de le suivre. Ils empruntaient un autre chemin que les Genins, afin de ne pas éveiller de soupçons. La discrétion se révélait règle d’or, intervenir aurait fait capoter le stratagème.
Ils sautèrent du toit, et descendirent en zigzag. Sautant d’un mur à l’autre, entre deux immeubles, avant d’atterrir sur un tas de caisses. Pas de bobo, parce qu’un chat, quand il est cat, retombe sur ses pattes. Ils étaient dans une ruelle ombragée, peut être l’arrière d’un restaurant, à voir les poubelles. Ils contournèrent le bâtiment, à cadence rapide, et patientèrent au coin de la rue. Aoki remarqua que la jeune suivait le rythme sans problème. Elle était agile, même sous un Henge. Avait elle déjà tenté cette forme ? Le moment était venu de traverser le grand axe. Il y avait peu de monde, mais assez pour passer inaperçu. Deux chats qui se courent après, c’était de saison, non ? Pas sûr. Le Chûnin n’y connaissait rien en zoologie. Ils partirent. Slalomant entre les passants, ils évitaient de se faire marcher dessus. C’était marrant de voir le monde à cette hauteur. Et quel bruit ! Le martèlement des pas. La poussière du sol. L’humain n’y prêtait guère attention.
Ils arrivèrent à un stand fermé. Une sorte de gargote, style vendeur de ramen. A coté de cette espèce de cabane, il y avait un tonneau récupérant l’eau de pluie. Celui-ci était pourvu d’un trou, laissant passer le goulot d’une gouttière. Les deux chats escaladèrent cette dernière, et accédèrent au toit. Ils longeaient le bord du toit, observant la situation. Kurai s’était déjà mis en scène. Shigeru approchait du garde, les larmes aux yeux. Les félins se regardèrent, ils étaient un peu trop loin, ils devaient s’approcher.
* On pourrait se séparer pour avoir une meilleure vision d’ensemble. Mais ça risque d’être difficile à mettre en place. Je pourrai écrire dans la poussière avec une griffe… Pas mal, mais long. Parler avec ma vraie voix, trop risqué. Comment intervenir s’il y a un pépin ? On va s’approcher pour avoir une vue d’ensemble, de face. Mais l’intervention, c’est toujours mieux de dos. Quoique, s’il l’on réfléchit, Shigeru devrait attaquer le bonhomme de dos. S’il échoue, notre intervention par la suite, échouerait aussi. Gardons les latéraux alors.*
Il miaula à l’adresse de sa compagne improvisée. Ils descendirent à l’aide d’un muret et rejoignirent un tas de détritus. Une fois arrivés, ils étaient en face de l’action. Le gosse parlait au garde. Comment celui-ci allait il réagir ? Aoki priait intérieurement pour une bonne évolution de la mission. Il regarda la chatte blanche qui le suivait, les oreilles en alerte. Sa netteté contrastait avec la saleté environnante. Le félin sourit il ? Ce serait un comble. Il fit semblant de jouer avec un bouchon, le temps que l’action se déroule. Son poil avait envie de s’hérisser.
*L’aurais-je vexé ? Ses gens d’Iwa paraissent si irritables. Un mot sur leur plan, et ils s’enflamment de froideur. Professionnels ? Il est difficile de s’en remettre à des étrangers. Je dois, néanmoins, leur faire confiance. Voyons ce que valent les ninja des roches. Une belle entente pourrait être utile au village. Qui sait où cela pourrait nous mener ?*
Les apparences choisies plurent au Chûnin. Une jeune femme pulpeuse. Un petit garçon crédible. Et une blanche féline toute mignonne, malgré un aspect racé sous-jacent. Il fut frappé par un résultat si ressemblant. Le mouvement des poils semblait naturel, on sentait un réel talent derrière ce jutsu. Il fallait être un expert ou au courant, pour déceler la supercherie.
Le plan se mettait enfin en place. D’un mouvement de tête, Aoki indiqua à la cadette du groupe de le suivre. Ils empruntaient un autre chemin que les Genins, afin de ne pas éveiller de soupçons. La discrétion se révélait règle d’or, intervenir aurait fait capoter le stratagème.
Ils sautèrent du toit, et descendirent en zigzag. Sautant d’un mur à l’autre, entre deux immeubles, avant d’atterrir sur un tas de caisses. Pas de bobo, parce qu’un chat, quand il est cat, retombe sur ses pattes. Ils étaient dans une ruelle ombragée, peut être l’arrière d’un restaurant, à voir les poubelles. Ils contournèrent le bâtiment, à cadence rapide, et patientèrent au coin de la rue. Aoki remarqua que la jeune suivait le rythme sans problème. Elle était agile, même sous un Henge. Avait elle déjà tenté cette forme ? Le moment était venu de traverser le grand axe. Il y avait peu de monde, mais assez pour passer inaperçu. Deux chats qui se courent après, c’était de saison, non ? Pas sûr. Le Chûnin n’y connaissait rien en zoologie. Ils partirent. Slalomant entre les passants, ils évitaient de se faire marcher dessus. C’était marrant de voir le monde à cette hauteur. Et quel bruit ! Le martèlement des pas. La poussière du sol. L’humain n’y prêtait guère attention.
Ils arrivèrent à un stand fermé. Une sorte de gargote, style vendeur de ramen. A coté de cette espèce de cabane, il y avait un tonneau récupérant l’eau de pluie. Celui-ci était pourvu d’un trou, laissant passer le goulot d’une gouttière. Les deux chats escaladèrent cette dernière, et accédèrent au toit. Ils longeaient le bord du toit, observant la situation. Kurai s’était déjà mis en scène. Shigeru approchait du garde, les larmes aux yeux. Les félins se regardèrent, ils étaient un peu trop loin, ils devaient s’approcher.
* On pourrait se séparer pour avoir une meilleure vision d’ensemble. Mais ça risque d’être difficile à mettre en place. Je pourrai écrire dans la poussière avec une griffe… Pas mal, mais long. Parler avec ma vraie voix, trop risqué. Comment intervenir s’il y a un pépin ? On va s’approcher pour avoir une vue d’ensemble, de face. Mais l’intervention, c’est toujours mieux de dos. Quoique, s’il l’on réfléchit, Shigeru devrait attaquer le bonhomme de dos. S’il échoue, notre intervention par la suite, échouerait aussi. Gardons les latéraux alors.*
Il miaula à l’adresse de sa compagne improvisée. Ils descendirent à l’aide d’un muret et rejoignirent un tas de détritus. Une fois arrivés, ils étaient en face de l’action. Le gosse parlait au garde. Comment celui-ci allait il réagir ? Aoki priait intérieurement pour une bonne évolution de la mission. Il regarda la chatte blanche qui le suivait, les oreilles en alerte. Sa netteté contrastait avec la saleté environnante. Le félin sourit il ? Ce serait un comble. Il fit semblant de jouer avec un bouchon, le temps que l’action se déroule. Son poil avait envie de s’hérisser.
Aoki Nemuri. Chûnin Punk-repentit (et Fan du tricot...) de Konoha
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shina itatsu
- Genin dans le brouillard
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Shina rassurée d’entendre une voix amie même si celle-ci n’était pas la plus amicale, se glissa essayant d’être discrète au possible, se remémorant les évènements pourtant ressent mais chargé d’émotion. La jeune fille prit un son courage à deux mains, retardant ce moment bêtement, puis appuya sur le bouton du communicateur.
« Vous nous avez donc laisser derrière la porte après les dernières indications, la groupe est resté sur place, il y a eu du bruit de pas de l’escalier mais le discourt ne convenait pas au staff d’un chanteur, en voyant ce qui m’entourait, j’ai été dans ce que j’espérais être la loge du chanteur et évitant qu’il y ait quelqu’un.
Les autres se sont fait avoir, je n ai rien pu faire … ils doivent être dans un sale état maintenant, mais ils sont plusieurs et parlaient d’autre personne encore, je ne suis pas assez entraînée pour ça. J’ai retrouvée le chanteur il a été amoché aussi, je ne sais pas trop quoi faire maintenant, je n’ai pas de don de médecine.
J’espère que votre équipe de soutient va rapidement arriver. »
Paniquant un peu dans la voix, essaya de se calmer, son cœur battant rapidement. Ecouta voir si on l avait entendue mefiante.
Quelques seconds plus tard, la voix de Keitou parvint à nouveau jusqu'à elle :
" Dans quel état est Ky'a ? Le chanteur ? Est-ce qu'il respire encore ?
Tu peux me décrire les hommes qui sont venus vers ton groupe, me dire quelque chose, qui permette de les identifier ? "
«Oui j’ai quelques noms, un certain Zu, ils ont parle d’une certaine senna je ne sais pas qui c est, ensuite son acolyte avec Zu s’appel Sin, ils ont dit qu’ils allaient voir où en sont les autres donc il y en a encore plusieurs dans les bâtiments et ils sont déjà en place pour un plan totalement pas connue, ils craignent énormément notre intervention.
Il y a comme nom … Ideyasu et Shin, c’est certainement les autres, le vigile devant la porte est avec eux, il faut s en mefier ! Je ne les ais seulement entendue, je ne les ais pas vue. Naoki doit être le nom du portier actuel, Zu semble être le chef et ils vous connaissent.
Quand a Ky'a il respire mal, il doit saigner beaucoup, je ne vois pas grand-chose et pas question de lumière pour le moment. J’attend l’équipe de secourt ? il faudrait envoyer des médecin pour ky’a et mes coéquipières »
" Senna, tu dis ? "
(tu entends un bruit de papier qu'on brasse)
" Une des genins de Suna... "
" Bien, je crois que tu as fait ton possible.
Ne te mets pas inutilement en danger, ne te fais pas remarquer non plus, ça vaudra mieux pour tout le monde...
... S'ils te découvrent, ils paniqueront et nous aurons d'autant plus de mal à les coincer, tu comprends ?
Les secours vont arriver, ne bouge pas de là où tu es... Essaie juste de soulager les souffrances de Ky'a, si possible ?
Des médecins vont arriver en soutien des combattants.
Je vais faire quelques recherches sur ces Naoki, Ideyasu, Shin... tu as fait ton possible, ça ira maintenant. " dit-elle enfin.
Enleva son doigt du bouton de son commutateur, ouvre doucement la porte de son cagibi voulant voir mieux le blesser. Shina ne sachant que faire, ne connaissant rien en médecine décide de trouver une sortie, comme une fenêtre pour sortir sans se faire voir.
« Vous nous avez donc laisser derrière la porte après les dernières indications, la groupe est resté sur place, il y a eu du bruit de pas de l’escalier mais le discourt ne convenait pas au staff d’un chanteur, en voyant ce qui m’entourait, j’ai été dans ce que j’espérais être la loge du chanteur et évitant qu’il y ait quelqu’un.
Les autres se sont fait avoir, je n ai rien pu faire … ils doivent être dans un sale état maintenant, mais ils sont plusieurs et parlaient d’autre personne encore, je ne suis pas assez entraînée pour ça. J’ai retrouvée le chanteur il a été amoché aussi, je ne sais pas trop quoi faire maintenant, je n’ai pas de don de médecine.
J’espère que votre équipe de soutient va rapidement arriver. »
Paniquant un peu dans la voix, essaya de se calmer, son cœur battant rapidement. Ecouta voir si on l avait entendue mefiante.
Quelques seconds plus tard, la voix de Keitou parvint à nouveau jusqu'à elle :
" Dans quel état est Ky'a ? Le chanteur ? Est-ce qu'il respire encore ?
Tu peux me décrire les hommes qui sont venus vers ton groupe, me dire quelque chose, qui permette de les identifier ? "
«Oui j’ai quelques noms, un certain Zu, ils ont parle d’une certaine senna je ne sais pas qui c est, ensuite son acolyte avec Zu s’appel Sin, ils ont dit qu’ils allaient voir où en sont les autres donc il y en a encore plusieurs dans les bâtiments et ils sont déjà en place pour un plan totalement pas connue, ils craignent énormément notre intervention.
Il y a comme nom … Ideyasu et Shin, c’est certainement les autres, le vigile devant la porte est avec eux, il faut s en mefier ! Je ne les ais seulement entendue, je ne les ais pas vue. Naoki doit être le nom du portier actuel, Zu semble être le chef et ils vous connaissent.
Quand a Ky'a il respire mal, il doit saigner beaucoup, je ne vois pas grand-chose et pas question de lumière pour le moment. J’attend l’équipe de secourt ? il faudrait envoyer des médecin pour ky’a et mes coéquipières »
" Senna, tu dis ? "
(tu entends un bruit de papier qu'on brasse)
" Une des genins de Suna... "
" Bien, je crois que tu as fait ton possible.
Ne te mets pas inutilement en danger, ne te fais pas remarquer non plus, ça vaudra mieux pour tout le monde...
... S'ils te découvrent, ils paniqueront et nous aurons d'autant plus de mal à les coincer, tu comprends ?
Les secours vont arriver, ne bouge pas de là où tu es... Essaie juste de soulager les souffrances de Ky'a, si possible ?
Des médecins vont arriver en soutien des combattants.
Je vais faire quelques recherches sur ces Naoki, Ideyasu, Shin... tu as fait ton possible, ça ira maintenant. " dit-elle enfin.
Enleva son doigt du bouton de son commutateur, ouvre doucement la porte de son cagibi voulant voir mieux le blesser. Shina ne sachant que faire, ne connaissant rien en médecine décide de trouver une sortie, comme une fenêtre pour sortir sans se faire voir.
Shina Itatsu,génin de Konoha
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Hayabusa Keitou
- Etudiant(e)
- Messages : 21
- Inscription : dim. 15 oct. 2006, 15:42
- Localisation : Hi no Kuni, Konohagakure no Sato
HRP/
@ Naera
Pour le moment, l'event est terminé pour toi.
Survivras-tu ? Tu le sauras en suivant ce topic (en espérant que les Iwaiens ne mettent pas trois plombes... :sifflote:) ^^
@ Shina
On continue, puisqu'apparemment, tel est ton désir :p
/HRP
[Naera]
Pas grand-chose à en dire, ce n'est que l'adolescente commençait à voir des points noirs, des papillons, des mouches et ce genre de truc, que sa vision des couleurs semblait être perturbée, et que ses membres et la douleur s'atténuait peu à peu, comme s'ils avaient choisi d'abandonner, décidé de ne plus combattre, parce que ce n'était plus la peine.
[Shina]
La conversation terminée, l'étudiante se mit en quête d'une ouverture quelconque par laquelle elle pourrait passer sans se faire remarquer... en effet, quelqu'un – Zu, Sin ? - avait scellé la porte de l'extérieur un peu auparavant, sans doute pour éviter que des curieux n'y trouvent le corps du chanteur, dont la longue agonie ne semblait pas près de se terminer, encore que.
Elle en fut cependant pour ses frais, car il n'y avait absolument aucune fenêtre. Cette pièce n'avait pas été choisie par hasard... elle était, d'après les dires du staff chargé de la sécurité sunites, la plus facile à protéger.
Tu parles...
Sa respiration, jusque-là saccadée, semblait arriver de plus loin : Il ne cherchait plus son souffle, mais tombait, comme Naera, dans une douce torpeur... il avait beau n'être qu'un homme à midinette, un gamin trop vite grandi, c'était encore une personne douée d'une grande volonté et ne désirant pas mourir.
Son regard suppliant chercha celui de Shina ; Il ne comprenait pas comment elle avait pu rester tout ce temps sans se préoccuper de son état, comment elle avait pu rester si calme en parlant à cette... femme ? Sans doute s'agissait-il d'Hayabusa Keitou.
Sûr de lui, et de son manager, de ses sponsors, sûr de ceux qui le suivaient depuis plusieurs semaines, Ky'a avait refusé la protection rapprochée que lui avait gracieusement offert Konoha et tapé du pied pour que le bâtiment soit sécurisé par son propre service.
Ce qui le conduit à la situation que l'on sait, ce qui le mena jusqu'à ce jour où il chercha un soutien dans les yeux d'une étudiante, d'une toute jeune fille, encore insouciante, peut-être pas si innocente... le jeune homme sentait encore le sang dégouliner le long de ses doigts, et il eut envie de tracer quelques mots sur sa peau.
Oui. C'était une belle image...; Il repensa à tout ce qu'il aurait voulu dire et faire, à ses obsèques et son testament qu'ils n'avaient pas encore rédigés, au fait que ce soit sa famille, qui ne s'était jamais vraiment souciée de lui, qui récupérerait le fruit de tout son labeur. Ca n'était pas juste, mais qui pourrait encore le sauver ?
Sans doute pas Shina, pas cette gamine-là, qui était restée si longtemps sans rien faire.
Alors, il arrêta de la regarder et de la fixer, et ferma doucement les yeux, jusqu'au moment où il dû se rendre à l'évidence – Rien, pas même cet ultime pied-de-nez, ne pourrait le faire arrêter de combattre pour sa vie. Sa jeunesse, passée dans les bas quartiers de Suna, lui revint en mémoire.
Kanna, sa soeur, était encore en vie, alors. Ah ! Voilà une bonne chose !
Si les dieux cessaient un tant soit peu d'être cruels, il pourrait la rejoindre. Oui. C'était vraiment une bonne chose, se dit-il alors qu'il partait, lentement, ne sentant plus son corps, ni ses membres.
@ Naera
Pour le moment, l'event est terminé pour toi.
Survivras-tu ? Tu le sauras en suivant ce topic (en espérant que les Iwaiens ne mettent pas trois plombes... :sifflote:) ^^
@ Shina
On continue, puisqu'apparemment, tel est ton désir :p
/HRP
[Naera]
Pas grand-chose à en dire, ce n'est que l'adolescente commençait à voir des points noirs, des papillons, des mouches et ce genre de truc, que sa vision des couleurs semblait être perturbée, et que ses membres et la douleur s'atténuait peu à peu, comme s'ils avaient choisi d'abandonner, décidé de ne plus combattre, parce que ce n'était plus la peine.
[Shina]
La conversation terminée, l'étudiante se mit en quête d'une ouverture quelconque par laquelle elle pourrait passer sans se faire remarquer... en effet, quelqu'un – Zu, Sin ? - avait scellé la porte de l'extérieur un peu auparavant, sans doute pour éviter que des curieux n'y trouvent le corps du chanteur, dont la longue agonie ne semblait pas près de se terminer, encore que.
Elle en fut cependant pour ses frais, car il n'y avait absolument aucune fenêtre. Cette pièce n'avait pas été choisie par hasard... elle était, d'après les dires du staff chargé de la sécurité sunites, la plus facile à protéger.
Tu parles...
Sa respiration, jusque-là saccadée, semblait arriver de plus loin : Il ne cherchait plus son souffle, mais tombait, comme Naera, dans une douce torpeur... il avait beau n'être qu'un homme à midinette, un gamin trop vite grandi, c'était encore une personne douée d'une grande volonté et ne désirant pas mourir.
Son regard suppliant chercha celui de Shina ; Il ne comprenait pas comment elle avait pu rester tout ce temps sans se préoccuper de son état, comment elle avait pu rester si calme en parlant à cette... femme ? Sans doute s'agissait-il d'Hayabusa Keitou.
Sûr de lui, et de son manager, de ses sponsors, sûr de ceux qui le suivaient depuis plusieurs semaines, Ky'a avait refusé la protection rapprochée que lui avait gracieusement offert Konoha et tapé du pied pour que le bâtiment soit sécurisé par son propre service.
Ce qui le conduit à la situation que l'on sait, ce qui le mena jusqu'à ce jour où il chercha un soutien dans les yeux d'une étudiante, d'une toute jeune fille, encore insouciante, peut-être pas si innocente... le jeune homme sentait encore le sang dégouliner le long de ses doigts, et il eut envie de tracer quelques mots sur sa peau.
Oui. C'était une belle image...; Il repensa à tout ce qu'il aurait voulu dire et faire, à ses obsèques et son testament qu'ils n'avaient pas encore rédigés, au fait que ce soit sa famille, qui ne s'était jamais vraiment souciée de lui, qui récupérerait le fruit de tout son labeur. Ca n'était pas juste, mais qui pourrait encore le sauver ?
Sans doute pas Shina, pas cette gamine-là, qui était restée si longtemps sans rien faire.
Alors, il arrêta de la regarder et de la fixer, et ferma doucement les yeux, jusqu'au moment où il dû se rendre à l'évidence – Rien, pas même cet ultime pied-de-nez, ne pourrait le faire arrêter de combattre pour sa vie. Sa jeunesse, passée dans les bas quartiers de Suna, lui revint en mémoire.
Kanna, sa soeur, était encore en vie, alors. Ah ! Voilà une bonne chose !
Si les dieux cessaient un tant soit peu d'être cruels, il pourrait la rejoindre. Oui. C'était vraiment une bonne chose, se dit-il alors qu'il partait, lentement, ne sentant plus son corps, ni ses membres.
Hayabusa Keitou, Jounin de Konohagakure no Sato.
La douceur est invincible.
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shina itatsu
- Genin dans le brouillard
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Shina réalisant qu’elle est coincée, revient a petits pas dans la petite pièce essayant de me rassurer alors qu’elle ne l ait pas du tout priant intérieurement que personne ne vient. Se baissa et murmure à l’oreille de l’homme.
«Ne vous inquiétez pas, les renforts arrivent, les médecins ne vont pas tarder, il faut tenir encore, je ferais ce que je peux »
Essayant de s’appliquer à le rassurer, fit attention à ses blessures, n’y connaissant rien du tout. La tête lui tourna à cause de l’odeur du sang, détourna le regard respirant calmement, prit quelques minutes avant de prendre le premier tissus à porter pour faire des noeux au niveau des blessures pour que ky’a tient le coup.
Prit en main son kunai, puis va écouter à la porte pour entendre le bruit proche, essayant de déterminer des présences très méfiantes. Puis retourne se cacher faisant attention, épongeant le sang sur ky’a.
hrp : voila, c est mon dernier message de l'année, shina tentera de rester planquer pendant mon absence voir utiliser la technique pour monter au mur voir si il faut. bonne année !
«Ne vous inquiétez pas, les renforts arrivent, les médecins ne vont pas tarder, il faut tenir encore, je ferais ce que je peux »
Essayant de s’appliquer à le rassurer, fit attention à ses blessures, n’y connaissant rien du tout. La tête lui tourna à cause de l’odeur du sang, détourna le regard respirant calmement, prit quelques minutes avant de prendre le premier tissus à porter pour faire des noeux au niveau des blessures pour que ky’a tient le coup.
Prit en main son kunai, puis va écouter à la porte pour entendre le bruit proche, essayant de déterminer des présences très méfiantes. Puis retourne se cacher faisant attention, épongeant le sang sur ky’a.
hrp : voila, c est mon dernier message de l'année, shina tentera de rester planquer pendant mon absence voir utiliser la technique pour monter au mur voir si il faut. bonne année !
Shina Itatsu,génin de Konoha
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Hayabusa Keitou
- Etudiant(e)
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- Inscription : dim. 15 oct. 2006, 15:42
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Haki Tokinoki
- Genin nij'na
- Messages : 457
- Inscription : lun. 02 janv. 2006, 20:13
- Localisation : Iwagakure no Sato
C'est quoi la suite ?
Parce que j'aimerais quand même avoir cet autographe de K'ya
Le post d'Aoki, c'est pas une suite, ça. Tout le monde a RP cette partie, donc il faut bien une suite, une réponse du garde, etc
Edit: Aha, moi aussi je suis le roi de l'Edit :p
say> vilain :p moi c'est la supprime XD
Bah, j'ai quand même aussi utilisé la supprime, combiné à l'Edit no jutsu, et donc je te pown.
Parce que j'aimerais quand même avoir cet autographe de K'ya
Le post d'Aoki, c'est pas une suite, ça. Tout le monde a RP cette partie, donc il faut bien une suite, une réponse du garde, etc
Edit: Aha, moi aussi je suis le roi de l'Edit :p
say> vilain :p moi c'est la supprime XD
Bah, j'ai quand même aussi utilisé la supprime, combiné à l'Edit no jutsu, et donc je te pown.
Dernière modification par Haki Tokinoki le mer. 03 janv. 2007, 15:26, modifié 2 fois.
» Iwa no Toki
RP:
» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage
RP:
» Je suis une bombe saiksuelle \o/ Je vais pouvoir me marier avec Hyodo et le Pingouinkage
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Asano Kurai
- Genin, Rightarm of the Cat
- Messages : 776
- Inscription : dim. 24 juil. 2005, 12:23
- Localisation : Dans les basques de Tsukiyo-san o/
Le truc c'est qu'y a un désaccord sur la méthode pour continuer, puisque je suis le seul a adhérer à l'idée d'Aoki de rp par msn pour accélérer la fin de cette mission pour passer (enfin) à autre chose.
Donc ça continuera quand on sera parvenu a une conclusion, j'ai aps envie de passer six mois de plus sur cette mission.
Donc ça continuera quand on sera parvenu a une conclusion, j'ai aps envie de passer six mois de plus sur cette mission.
Asano "Kurai" Koretoyo, Genin Androgyne d'Iwa
- Rightarm of the Cat - Pour le meilleur et pour le pire (surtout le pire...)
\o/
- Rightarm of the Cat - Pour le meilleur et pour le pire (surtout le pire...)
\o/
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Nemuri Aoki
- Chûnin en noir et blanc
- Messages : 1042
- Inscription : ven. 03 nov. 2006, 15:28
- Localisation : Village de la Feuille
Des ses yeux félins, il vit le plan se dérouler convenablement. La chance était avec eux, la rue semblait déserte. Les hordes de furies/groupies devaient contenir le monde un peu plus loin. Ce calme soudain était étonnant, mais propice. Jeu de mot pourri : Aoki sentait qu’il avait de la chatte. Comment imaginer meilleur moment pour se débarrasser d’un garde ? Shigeru faisait un bambin crédible, assez hystérique pour démembrer les questionnements. En faire un peu trop apportait un lot de surprise, ainsi il déstabilisait le garde. Les pleurs secouaient sa voix, et son visage se badigeonnait de morve. De loin, on pouvait comprendre : « Maman » « Tombée » et « Chocolat » [ ?]. Le numéro fonctionnait. L’homme ne savait apparemment pas où se mettre, il répondait avec violence mais son visage rougeau indiquait sa gêne. Etait-ce un mastodonte au grand cœur ? Peter et Eliot ? Shigeru ajouta une couche, l’autre craqua. Détail d’importance : Shigeru eu le temps de remarquer le digicode, nécessaire pour ouvrir la porte.
« Bon, elle est où ta maman ? »
*Bordel, pourrait pas choisir quelqu’un d’autre ? Mais il n’y a personne. J’ai beau regardé à droite, à gauche. Personne. Et si le petit trouverait une autorité ensuite, il pourrait me balancer, et je serais suspect. Ou même, si un officier passe à l’improviste, comment lui expliquer ? Il n’y a personne. Pas de risque d’être attaqué. Je vais simplement demandé au gosse de rester i… *
Trop tard, le petit lui avait déjà prit la main et l’entraînait vers le corps sublime de sa mère. Une fraîche donzelle terriblement sexy. De quoi titiller les hormones, mais notre homme est un professionnel, son pas marquait sa réticence à abandonner son poste. Aoki loua les qualités de l’androgyne pour le Genjutsu, il était difficile de ne pas succomber à ses charmes. Le garde bomba la poitrine et commença à rouler des mécaniques, au fur et à mesure qu’il s’approchait et appréciait les formes de cette jeune mère. Shigeru version gamin le suivait de près, ralentissant mine de rien, pour se placer derrière lui. Le bodybuilder lui fit signe de rester où il était. Un peu du genre : laisse faire les pros. Pourtant, l’homme suait. Son front se perlait de gouttes rances. Sa tunique s’assombrissait aux aisselles, à la nuque et le long de la colonne vertébrale. De toute évidence, c’était un être conditionné. Il désobéissait à contrecœur, s’efforçant de rester stoïque. Il s’accroupi pour observer la jeune blessée de plus près.
*Espérons qu’elle n’ai pas trop de bobos, je ne veux pas d’histoire moi.* « Mademoiselle. Mademoiselle, vous m’entendez ? » *Elle ne répond pas. Ou alors…*
Un éclair d’intelligence lui traversa l’esprit un peu trop tard. Vif comme le serpent, Shigeru lui tapa à la base du crâne de sa main droite, puis sous les côtes de la main gauche. Le geste dénotait un certain entraînement. Une précision d’orfèvre. Néanmoins, le garde était un tas de muscles, un être costaux qui eu la force de se retourner. Ses lèvres bougèrent, un questionnement haineux dans le regard. Son corps s’affaissa mollement… sur celui de Kurai ! Qui eu la joie d’apprécier son poids et sa viscosité odorante. De la bave s’échappait de la bouche du garde, KO.
Kurai : « Beurk, il est dégeux ! Retires moi ce balourd, il m’écrase. »
Shigeru : « Il est lourd, ce con. » dit il tirant de toutes ses forces.
Une fois dégagé, l’androgyne tâta le pouls de l’adversaire, pendant que Shigeru fouillait ses poches. Ce dernier trouva une sorte de Pass. Le garde était toujours vivant, enfin, son cœur battait encore, très faiblement. Il serait étendu pour de bonnes heures encore. Ce gros corps mou paraissait presque inoffensif. Un gros bébé. Un poids en plus pour leur mission.
Kurai : « Shig, il est encore en vie…gros nul. »
Shigeru : « Tsss » passe une main dans ses cheveux, avec un sourire niais.
Kurai : « On le finit, ou on le laisse et risque qu’il reprenne conscience ? Sinon, j’ai du fil de pêche… »
Shigeru : « Ou un p’tit coup de kunai sous la gorge. »
Kurai : « Vas-y amuses toi. » Dit il avec froideur. Aurait il réagit ainsi, il n’y a encore pas si longtemps ?
Intervint Aoki lorsque Shigeru sortait un kunai de son étui. Le Chûnin était encore transformé en chat, il braillait comme un forcené. Ca ne donnait pas grand-chose, mais suffit à stopper le geste du Genin d’Iwa. Le chat de gouttière cracha une touffe de poil, il est dur de vivre si près du sol, on n’est pas habitué à avaler la poussière. Toki le suivait.
Aoki : « Bien joué ! On ne le tue pas, il pourrait nous être utile par la suite. Les Anbu pourraient le questionner. On l’emporte avec nous, on le cachera à l’intérieur. »
Kurai : « On ne l’attache même pas ? »
Aoki : « J’ai ce qu’il faut ».
Kurai : « C’est vous le patron, monsieur le Chûnin. » *Le patron, il suit plus qu’il ne dirige…*
Ils partirent rapidement vers la porte. Aoki avait défait son Henge pour porter la bête sur ses épaules. Il ne dit rien mais on devenait qu’il en chiait. Un presque mort, c’est bien lourd. Surtout pour ce genre de gabarit. Heureusement, la place était vide, mais bientôt, des passants allaient se ramener. Shigeru utilisa le Pass et la porte s’ouvrit dans un craquement d’acier. La pression et l’adrénaline aiguisaient leurs sens. Il se faufilèrent à l’intérieur du bâtiment, et refermèrent derrière eux. S’étaient ils jetés dans la gueule du loup ? Avaient ils refermé leur unique issue ? La pièce était assez spacieuse pour une entré. Deux escaliers à chaque coté, trois portes face à eux. On se serait cru dans un de ces bâtiments administratifs à l’air d’usine. Nouvelle architecture design.
Aoki : * On aurait du placer un garde fictif, or, nous n’avons pas assez d’effectif. Un môme sous un Henge aurait fait l’affaire, mais là ça se corse. Keitou devrait arriver avec des renforts. J’espère…Bon, je vais poser ce gros. L’ombre de l’escalier, ça devrait le faire provisoirement*
« Nous gardons les mêmes équipes. Ce serait mieux de faire le ménage en bas plutôt que d’avoir des rêves de hauteurs. Si l’on prend les escaliers, nous risquons d’être prit en sandwich. Le temps nous oblige à nous séparer, mais le bâtiment n’étant pas immensément large, on devrait pouvoir comprendre ce qui arrive aux autres. Notre but est de sauver les étudiantes Konohanes prient au piège.» [Très moche « konohanes »]
Kurai : « J’y avais déjà réfléchit. Trois portes, quelle méthode ? » Dit il reprenant sa forme originelle.
Shigeru : « Am Stam Gram ? »
Kurai : « Je propose la porte du milieu, tant qu’à faire… »
Aoki : « D’accord, je prend celle de droite avec… Hum. Petite, tu me suis, mais je ne connais toujours pas ton nom. » Dit il à Toki qui le dévisageait.
Kurai : « La p'tite, Toki, lui Shigeru, moi Kurai, ou Kô si vous voulez, pour ce que ça change. »
Aoki : « Bien, si vous finissez vite, vous prendrez le couloir de gauche. On aura peut être doit à un briefing dans le jardin. » L’humour passait mal…
Le Chûnin parti avec Toki. Celle-ci aurait préféré rester avec Kurai, mai son sens du devoir l’emportait sur le moment. Elle n’aimait pas vraiment ce pseudo supérieur bi face décoloré.
Les deux autres s’approchaient discrètement de la porte. Kurai colla son oreille pour essayer d’entendre un mouvement à l’intérieur de la pièce. Bizarrement, il eu l’impression qu’une personne faisait exactement la même chose de l’autre coté. Un écho ? Il testa la poignée, la porte était fermée. Aux grands maux, les grands remèdes. Il se servit d’un kunai pour crocheter la serrure. Pas très pratique. Il fit sauter le tout dans un claquement bruyant. Cependant, la porte était ouverte. Sur leurs gardes, les deux Genins la poussèrent, et purent constater la silhouette d’une frêle jeune fille qui tentait de se cacher derrière un rideau. Rien de bien menaçant.
Toki et Aoki arrivèrent dans une salle de séjour. Une ambiance de salle d’attente terriblement ennuyeuse. Canapé et magazine. Seulement, il y avait du sang par terre. Une sorte de giclée. De petites gouttes menaient à un tas de bricabrac couvertures bizarre. Sur le coté gauche, une grande baie vitrée donnait sur un jardin. Et, par un curieux hasard, aussi étrange et invraisemblable que cela puisse être, par une volonté divine ou inexplicable, d’une manière soudaine, et de singulière surprise, Bref : Un homme se tenait devant eux. L’air ahurit et méchant !
[MJ : Shigeru et Kurai : Vous venez de trouver Shina Itatsu, l’une des étudiantes. A vous de la contacter en MP pour faire naître un petit dialogue. Celui-ci sera nécessairement court, voir inexistant. En effet, le bruit a attiré l’attention d’un garde du premier étage. Vous entendez ses pas lourds dans l’escalier. L’homme ne se presse pas, pensant qu’il est hors de danger.
Toki : Malheureusement, tu es devant Aoki (zut alors… :p) Tu dois réagir face à l’homme. Envoi moi un MP ou contacte moi par Msn pour qu’on règle les actions. Aoki est avec toi, il peut te soutenir. Si tu as besoin de lui pour quelque chose, n’hésite pas à m’en faire part. Je veux bâcler les combats… Pas bien. Mais nécessaire pour finir !!
Je serais absent à partir de demain, et pendant tout le week end. Aie Aie Aie. ]
« Bon, elle est où ta maman ? »
*Bordel, pourrait pas choisir quelqu’un d’autre ? Mais il n’y a personne. J’ai beau regardé à droite, à gauche. Personne. Et si le petit trouverait une autorité ensuite, il pourrait me balancer, et je serais suspect. Ou même, si un officier passe à l’improviste, comment lui expliquer ? Il n’y a personne. Pas de risque d’être attaqué. Je vais simplement demandé au gosse de rester i… *
Trop tard, le petit lui avait déjà prit la main et l’entraînait vers le corps sublime de sa mère. Une fraîche donzelle terriblement sexy. De quoi titiller les hormones, mais notre homme est un professionnel, son pas marquait sa réticence à abandonner son poste. Aoki loua les qualités de l’androgyne pour le Genjutsu, il était difficile de ne pas succomber à ses charmes. Le garde bomba la poitrine et commença à rouler des mécaniques, au fur et à mesure qu’il s’approchait et appréciait les formes de cette jeune mère. Shigeru version gamin le suivait de près, ralentissant mine de rien, pour se placer derrière lui. Le bodybuilder lui fit signe de rester où il était. Un peu du genre : laisse faire les pros. Pourtant, l’homme suait. Son front se perlait de gouttes rances. Sa tunique s’assombrissait aux aisselles, à la nuque et le long de la colonne vertébrale. De toute évidence, c’était un être conditionné. Il désobéissait à contrecœur, s’efforçant de rester stoïque. Il s’accroupi pour observer la jeune blessée de plus près.
*Espérons qu’elle n’ai pas trop de bobos, je ne veux pas d’histoire moi.* « Mademoiselle. Mademoiselle, vous m’entendez ? » *Elle ne répond pas. Ou alors…*
Un éclair d’intelligence lui traversa l’esprit un peu trop tard. Vif comme le serpent, Shigeru lui tapa à la base du crâne de sa main droite, puis sous les côtes de la main gauche. Le geste dénotait un certain entraînement. Une précision d’orfèvre. Néanmoins, le garde était un tas de muscles, un être costaux qui eu la force de se retourner. Ses lèvres bougèrent, un questionnement haineux dans le regard. Son corps s’affaissa mollement… sur celui de Kurai ! Qui eu la joie d’apprécier son poids et sa viscosité odorante. De la bave s’échappait de la bouche du garde, KO.
Kurai : « Beurk, il est dégeux ! Retires moi ce balourd, il m’écrase. »
Shigeru : « Il est lourd, ce con. » dit il tirant de toutes ses forces.
Une fois dégagé, l’androgyne tâta le pouls de l’adversaire, pendant que Shigeru fouillait ses poches. Ce dernier trouva une sorte de Pass. Le garde était toujours vivant, enfin, son cœur battait encore, très faiblement. Il serait étendu pour de bonnes heures encore. Ce gros corps mou paraissait presque inoffensif. Un gros bébé. Un poids en plus pour leur mission.
Kurai : « Shig, il est encore en vie…gros nul. »
Shigeru : « Tsss » passe une main dans ses cheveux, avec un sourire niais.
Kurai : « On le finit, ou on le laisse et risque qu’il reprenne conscience ? Sinon, j’ai du fil de pêche… »
Shigeru : « Ou un p’tit coup de kunai sous la gorge. »
Kurai : « Vas-y amuses toi. » Dit il avec froideur. Aurait il réagit ainsi, il n’y a encore pas si longtemps ?
Intervint Aoki lorsque Shigeru sortait un kunai de son étui. Le Chûnin était encore transformé en chat, il braillait comme un forcené. Ca ne donnait pas grand-chose, mais suffit à stopper le geste du Genin d’Iwa. Le chat de gouttière cracha une touffe de poil, il est dur de vivre si près du sol, on n’est pas habitué à avaler la poussière. Toki le suivait.
Aoki : « Bien joué ! On ne le tue pas, il pourrait nous être utile par la suite. Les Anbu pourraient le questionner. On l’emporte avec nous, on le cachera à l’intérieur. »
Kurai : « On ne l’attache même pas ? »
Aoki : « J’ai ce qu’il faut ».
Kurai : « C’est vous le patron, monsieur le Chûnin. » *Le patron, il suit plus qu’il ne dirige…*
Ils partirent rapidement vers la porte. Aoki avait défait son Henge pour porter la bête sur ses épaules. Il ne dit rien mais on devenait qu’il en chiait. Un presque mort, c’est bien lourd. Surtout pour ce genre de gabarit. Heureusement, la place était vide, mais bientôt, des passants allaient se ramener. Shigeru utilisa le Pass et la porte s’ouvrit dans un craquement d’acier. La pression et l’adrénaline aiguisaient leurs sens. Il se faufilèrent à l’intérieur du bâtiment, et refermèrent derrière eux. S’étaient ils jetés dans la gueule du loup ? Avaient ils refermé leur unique issue ? La pièce était assez spacieuse pour une entré. Deux escaliers à chaque coté, trois portes face à eux. On se serait cru dans un de ces bâtiments administratifs à l’air d’usine. Nouvelle architecture design.
Aoki : * On aurait du placer un garde fictif, or, nous n’avons pas assez d’effectif. Un môme sous un Henge aurait fait l’affaire, mais là ça se corse. Keitou devrait arriver avec des renforts. J’espère…Bon, je vais poser ce gros. L’ombre de l’escalier, ça devrait le faire provisoirement*
« Nous gardons les mêmes équipes. Ce serait mieux de faire le ménage en bas plutôt que d’avoir des rêves de hauteurs. Si l’on prend les escaliers, nous risquons d’être prit en sandwich. Le temps nous oblige à nous séparer, mais le bâtiment n’étant pas immensément large, on devrait pouvoir comprendre ce qui arrive aux autres. Notre but est de sauver les étudiantes Konohanes prient au piège.» [Très moche « konohanes »]
Kurai : « J’y avais déjà réfléchit. Trois portes, quelle méthode ? » Dit il reprenant sa forme originelle.
Shigeru : « Am Stam Gram ? »
Kurai : « Je propose la porte du milieu, tant qu’à faire… »
Aoki : « D’accord, je prend celle de droite avec… Hum. Petite, tu me suis, mais je ne connais toujours pas ton nom. » Dit il à Toki qui le dévisageait.
Kurai : « La p'tite, Toki, lui Shigeru, moi Kurai, ou Kô si vous voulez, pour ce que ça change. »
Aoki : « Bien, si vous finissez vite, vous prendrez le couloir de gauche. On aura peut être doit à un briefing dans le jardin. » L’humour passait mal…
Le Chûnin parti avec Toki. Celle-ci aurait préféré rester avec Kurai, mai son sens du devoir l’emportait sur le moment. Elle n’aimait pas vraiment ce pseudo supérieur bi face décoloré.
Les deux autres s’approchaient discrètement de la porte. Kurai colla son oreille pour essayer d’entendre un mouvement à l’intérieur de la pièce. Bizarrement, il eu l’impression qu’une personne faisait exactement la même chose de l’autre coté. Un écho ? Il testa la poignée, la porte était fermée. Aux grands maux, les grands remèdes. Il se servit d’un kunai pour crocheter la serrure. Pas très pratique. Il fit sauter le tout dans un claquement bruyant. Cependant, la porte était ouverte. Sur leurs gardes, les deux Genins la poussèrent, et purent constater la silhouette d’une frêle jeune fille qui tentait de se cacher derrière un rideau. Rien de bien menaçant.
Toki et Aoki arrivèrent dans une salle de séjour. Une ambiance de salle d’attente terriblement ennuyeuse. Canapé et magazine. Seulement, il y avait du sang par terre. Une sorte de giclée. De petites gouttes menaient à un tas de bricabrac couvertures bizarre. Sur le coté gauche, une grande baie vitrée donnait sur un jardin. Et, par un curieux hasard, aussi étrange et invraisemblable que cela puisse être, par une volonté divine ou inexplicable, d’une manière soudaine, et de singulière surprise, Bref : Un homme se tenait devant eux. L’air ahurit et méchant !
[MJ : Shigeru et Kurai : Vous venez de trouver Shina Itatsu, l’une des étudiantes. A vous de la contacter en MP pour faire naître un petit dialogue. Celui-ci sera nécessairement court, voir inexistant. En effet, le bruit a attiré l’attention d’un garde du premier étage. Vous entendez ses pas lourds dans l’escalier. L’homme ne se presse pas, pensant qu’il est hors de danger.
Toki : Malheureusement, tu es devant Aoki (zut alors… :p) Tu dois réagir face à l’homme. Envoi moi un MP ou contacte moi par Msn pour qu’on règle les actions. Aoki est avec toi, il peut te soutenir. Si tu as besoin de lui pour quelque chose, n’hésite pas à m’en faire part. Je veux bâcler les combats… Pas bien. Mais nécessaire pour finir !!
Je serais absent à partir de demain, et pendant tout le week end. Aie Aie Aie. ]
Aoki Nemuri. Chûnin Punk-repentit (et Fan du tricot...) de Konoha