[Jônin] Urasawa Kenji

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Modérateur : Urasawa Kenji

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Urasawa Kenji
Jônin agité du bocal
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Message par Urasawa Kenji »

Nom : Urasawa

Prénom : Kenji

Âge : 21 ans.

Sexe : Masculin

Histoire :

Il est tard, Kenji rentre chez lui, une pluie fine mouille ses vêtements. Il traîne des pieds, il a le cœur lourd et le sourire carnassier. Aujourd’hui est un grand jour pour lui, il vient d’être nommé Jounin. A peine rentré, il dépose sa veste et la fixe, son regard se défile, l’envie, l’orgueil, tous ses sentiments le traversent. La pluie ruisselle sur le toit, et forme des rigoles dans son jardin. Il peut entendre les légers battements, un battement régulier… comme ceux du cœur… comme ceux de son cœur… Il le sent marteler sa poitrine.

Traversant son salon, il bouscule les futons trainant ici et là, lâchant quelques rires sournois. Dans un tiroir, il sort un parchemin puis un pinceau… L’encre est disposé sur son bureau… sa table… il s’accroupit devant… il cherche ses mots. Le pinceau se pose sur la feuille vierge, il hésite… puis se met à écrire… parfois il s’arrête… déchire rageusement une page… puis recommence. Ce manège dure pendant près de dix heures… il ne mange pas… il ne boit pas. Il s’arrête, et laisse le parchemin sécher, sur celui-ci nous lisons :

Je crois ne jamais avoir aimé l’espèce humaine. Trop de saloperies , trop de vices, pourtant je n’ai jamais souhaité atteindre la perfection. Je le sais je ne suis pas parfait, et à vrai dire j’aime ça. Si aujourd’hui je sens le besoin d’écrire, c’est que je sais au fond de moi, que je ne peux plus continuer à vivre au sein de ce village comme une personne normale.

Peut-être est ce du à l’influence non négligeable qu’à ma mère sur le Conseil des Sages, mais j’ai toujours eu le sentiment d’être pistonné, d’être à part. Jamais un enfant ne m’a parlé comme il parlait à un autre enfant. Je sais que cela peut paraître étrange… voir paranoïaque, mais je sentais en eux de la jalousie… de la jalousie et de la haine… Malgré leur sourire de façade, il me haïssait ! Encore aujourd’hui ! Je percevais parfaitement ces petits regards inquisiteur, tentant de me faire comprendre que ma place n’était pas ici.

Pourtant tout ces gens qui me jugent que savent-ils de moi ? Que savent-ils de ce que j’ai enduré ? Retracer ma vie… Voilà une mission bien plus périlleuse que la plupart qui m’ont été confié. Je n’ai pas de regrets par rapport à ce que j’ai pu accomplir, de toute façon ce village vit dans l’ombre des grandes puissances, à la recherche de sa gloire passée. Cela en est pathétique… voir ses vieux débris tenter de nous ramener au bon vieux temps ! Quelles bandes de croûtons séniles, grabataires et gâteux ! Ils ne comprendront jamais rien ! Le temps les a usé, il n’est pas bon pour un ninja de vivre trop longtemps.

Ma mère, aujourd’hui elle a 39 ans… je suis le résultat de sa première fois… un étranger… un shinobi de Yuki à ce qu’il paraît. J’ai bien son nom en tête, mais peut-être le connaissez vous… peut-être est il toujours vivant… et je ne souhaiterai pas rencontrer cette ordure. Cette ordure qui a abandonné ma mère, la laissant m’éduquer seule.

Enfin pas exactement, ma mère, femme fort belle au demeurant, multipliait les amants. Aussi régulièrement mes beaux-pères se succédaient. Si certains venaient régulièrement, je pouvais ne pas en voir d’autres pendant de longs mois puis revenir… puis repartir. Il n’y avait pas d’ordre. Jusqu’à mes dix ans, je n’existais pas à leurs yeux, je n’étais rien…

Frustré et à la recherche d’un peu de reconnaissance, je m’inscrivis à l’Académie des ninja. Ce fut assez ennuyeux, les cours étaient rébarbatifs, j’avais l’impression que nos Chunins s’ennuyaient à mourir devant nos médiocres talents.

J’ai toujours été seul, pas solitaire… seul. Il est vrai que je n’ai jamais cherché à aller vers les autres, mais de toute façon ils m’auraient repoussé. Alors pourquoi essayer ? Même lorsque j’étais avec quelqu’un je me sentais seul…

Ma première fois fût à l’âge de 17 ans, à l’époque j’étais déjà Chunin. Ainsi je pouvais voyager, et parmi les rencontres que je fis… Une femme… Shoko Numata…pour la première fois je recueillais un peu d’attention. Lorsqu’elle me touchait, m’effleurait, j’avais la chaire de poule. Nos nuits étaient fougueuse. Pour la première fois je croquais la vie à pleine dents. Nos instants paraissaient éternels, lorsque dans les bras l’un de l’autre nous nous endormions ensemble. Elle vivait à Iwa, dans une petite bourgade sans histoire. J’aimais ce calme. J’aimais me promener au milieu des rizières qu’elles cultivaient.

Lorsque je retournais dans mon village caché, nos relations devenaient épistolaires. J’ai encore quelques une de ces lettres sous les yeux. J’en connais d’autres par cœur…

Shoko Numata a écrit :Lorsque tu poses ta main sur mon ventre, lorsque tu m’embrasses, tout un monde en moi s’éveille. Lorsque tu poses ton regard sur moi, je baisse la tête. Lorsque tes doigts effleurent ma peau, je tremble, je tremble de plaisir, c’est mon cœur qui chavire.

Tu n’as pas besoin d’en faire plus. Je rougis si tu me regardes, je m’éveille sous tes baisers, je vis quand tu me caresses. Et si finalement c’était ça l’Amour ? Si ce n’était que des phrases muettes, des regards baissés, un corps qui parle à la place du cœur. Si l’Amour était en moi et non hors de moi, si cet Amour était réceptif à tes appels, alors je te dirais que je t’Aime.

Sais-tu pourquoi je reste muette quand tu es près de moi ? Car tu es et me fais être.

Je t’aime.
Je t’Aime.

Shoko
En y repensant la naïveté des certains propos, de certaines paroles m’amusent, surtout lorsqu’un mois plus tard, je recevais cette lettre de rupture…
Shoko Numata a écrit :Yosuke,

Tu trouveras peut-être que c’est lâche d’écrire une lettre. Ce n’est pas faux, mais il y a des choses que je n’arrive pas à te dire, des choses que je ne veux pas te dire. Pourtant il faut que tu saches. Il faut que tu comprennes que s’il y a une phobique de l’engagement, une handicapée du sentiment, c’est moi. Je ne peux pas Aimer.

En fait je suis une passionnée. Je prends un coup de cœur qui chamboule tout, j’y crois. Parfois je le dis ? C’est de l’amour mais jamais de l’AMOUR, tu comprends ? C’est à chaque fois la même chose. Mais tu vois certaines fois je n’aime pas faire du mal, parce qu’on m’en a fait et que je ne le souhaite à personne… pour qui j’ai des sentiments. Donc quand je dis je t’aime, il faut entendre : je tiens à toi, assez pour ne pas te faire de mal. Peut-être que l’Amour viendra, je n’en sais rien. Mais la distance est encore une barrière à la naissance de cet Amour. Les relations épistolaires ne sont pas de vraies relations. Il est vrai que c’est facile de communiquer sans avoir la personne en face de soi, mais à force de la faire, je me suis lassée. Il faut que je communique face à face.

Et puis en couple je me sens comme prisonnière, tu sais mon goût très prononcé pour la fidélité…

J’avais déjà songé à te quitter, parce que je suis trop exigeante et toi assez, parce que tu es trop loin et que la terre continue de tourner, parce que certains hommes ont un regard à se donner, parce que je ne tiens pas en place, parce que j’ai besoin qu’on me stabilise, parce que je suis excessive.
Je n’ai pas le courage pour en recopier d’avantage. Et puis quel intérêt ? Ces litanies se répètent pendant encore six interminable pages. En relisant des larmes reviennent, quelques sanglots m’étreignent.

Je crois que c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à entendre une voix. Et à faire souffrir les autres… Je ressens une profonde jouissance lorsque quelqu’un souffre. J’ai une nette préférence pour le blessures morales et psychologiques que les physiques… elles mettent plus de temps à cicatriser… et sont plus faciles à rouvrir.

J’ai longtemps hésité avant d’écrire, ce qui va suivre. Lorsque j’ai eu quinze ans personne ne m’a vu sortir de chez moi pendant près de huit mois. Beaucoup de rumeurs ont couru… toutes moins cruelles que ce que j’ai réellement vécu. En y resongeant, mon estomac se noue, ma gorge s’assèche. Parfois la nuit, je me réveille brusquement en songeant à cet homme se tenant au dessus de moi… m’immobilisant… sa main sur ma bouche. J’essayais de me débattre… je voyais ma mère regardant cette scène… les yeux dans le vague… comme ailleurs… absorbé par autre chose.

Les mots ne viennent pas facilement, comment le pourraient ils ? Je ressens encore cette douleur, quelques gouttes de sueur émergent de mon front. Au plus profond de mon être, je sens encore ce corps sur le mien… Ses mains me caressant… puis une illusion… de l’eau… moi en train de me noyer. Et au réveil, la douleur, rien que la douleur.

Je ne pouvais plus sortir, affronter le regard des autres… ils savaient… cela avaient du se propager… forcement… dans ces villages en vase clos, tout ce sait. Le regard des autres m’effrayaient. Je me renfermais sur moi-même. Pensant qu’il s’agissait de la seule voie pouvant me guérir.

Je refusais de voir qui que ce soit. Ma mère tentait de me raisonner, essayant de m’expliquer que ce n’est pas en se refermant sur soi que l’on arrive à expurger nos douleurs. En guise de réponse, je la battais… Toute ma haine s’abattait sur elle… elle était la responsable de ce qui m’était arrivé… j’en étais persuadé… comment aurait-il pu en être autrement ? Je la haïssais… ne souhaitant qu’une seule chose voir son crâne se fracasser contre un meuble… voir sa cervelle glisser sur le parquet.

Mais je n’y parvenais pas… c’était ma mère… toujours je m’arrêtais… hurlant, pleurant, lui implorant de me pardonner, que je ne savais plus ce que je faisais. Et sans cesse elle me répétait, me caressant les cheveux… je sais, je sais mon petit… ce n’est pas de ta faute… pardonne moi… pardonne moi.

L’entendre me réconfortait, sa voix était si douce… Réchauffant mon cœur, finalement peu à peu, je décidais de réintégrer cette société.

De nombreuses fois j’ai failli craquer… le pire moment… j’ai revu mon bourreau, se promenant dans la rue. J’en fus glacé, voir cet homme si respectable, si aimé… pouvoir se promener librement… je sentis qu’il y avait quelque chose de pourri dans le village de Kiri. Le vert est dans le fruit… le fruit est moisi, mais enlever le fruit ne suffit plus, couper la branche non plus, il faut raser l’arbre… raser la forêt.

J’en ai marre de tous ces faux culs ! Eviter le scandale… c’est la seule réponse que j’ai eu lorsque je suis allé voir ce putain de Conseil… ces hommes qui ont fréquenté ma mère et qui aujourd’hui me rejette… après tous je fais aussi partie de leur vie. Ignorer ma souffrance… ignorer ma haine… ignorer mes pleurs… chacun d’eux goûtera à une mort douce, délicate, j’en fais le serment sur ce parchemin.

Aujourd’hui je sais que pour changer les choses, il n’y a pas d’autres chemin que la violence. Pour reconstruire, il faut commencer par détruire. Ce n’est que sur des ruines que se reconstruisent les civilisations. Kiri sera bientôt un champ de ruine… j’y veillerai.

Un jour dans un livre j’ai lu ceci :

Nous ne sommes ni buffles sauvages ni des tigres
Pourquoi donc devons-nous errer à travers les vastes plaines
Ah ! Hélas ! Nous sommes des soldats enrôlés
Nuit et jour nous n’avons un instant de repos
Je crois que c’est ce que je ressens au quotidien, cette solitude, cette errance… mon âme est seule. Tous sont des étrangers… Ils se ressemblent tous…

Je hais cette vie, tout ce à quoi je tenais a disparu. Plus rien n’existe… si ce n’est le goût du sang
.
Il ne reste donc plus rien... plus aucun espoir pour cet homme ? Désespérément seul... pourtant tant de choses s'ouvrent à lui... Il repart déjà vers sa chambre. Il s'allonge, ses yeux se ferment. La journée fut longue, elle est désormais fini.

En bas dans sa cave, nous pouvons entendre des bruits... comme des cris étouffés.

Une cigarette toujours fumante sur le cendrier. La fumée s'égare et s'évapore. La nuit s'écoule comme coule une rivière... doucement... paisiblement.



Description : Un visage évanescent, des yeux bleus limpides, un corps fin et élégant, tel pourrait être les qualificatifs les plus sommaires pour décrire Kenji. La clarté de ses yeux donne parfois l’impression qu’il peut être légèrement maquillé, pourtant c’est surtout la tristesse de son visage qui donne cette impression. Lorsqu’il se déplace sa démarche est souple, élégante, pourtant aucune gaieté ne semble émaner de lui.

Il mesure 1 mètre 83, et pèse 71 kgs, laissant ses cheveux châtains se promener au gré du vent, il arrive qu’une mèche retombe sur ses yeux. Son habillement est modeste… pour les missions il porte un pantacourt gris, des sandales, une chemise avec par-dessus sa veste de jounin. Son bandeau attaché négligemment autour d’une de ses jambes.

Dans le civil, il porte un pantalon noir en toile, ou un jean léger, et sur son torse une chemise blanche avec en dessous un T-shirt noir, donnant un léger air de négligé. Autour de son poignet droit, on peut apercevoir un bracelet qui lui a été offert par Shoko. Et autour de l’index de sa main gauche, une bague en or.

Si à la naissance, sa main gauche était sa main forte aujourd’hui à force de manier des instruments diverses, on peut considérer qu’il est ambidextre.



Caractère : Il est difficile de prime abord de décrire le caractère de Kenji. En fait tout dépend de son humeur et de qui lui parle. Il peut se révéler aussi muet comme une tombe... ou se lancer dans de grandes tirades. Cependant certains tics sont assez facilement assimilables à un comportement. Ainsi si vous le voyez allumer, une cigarette... son agitation est extrêmement grande... son cerveau travaille à plein régime pour trouver un plan machiavélique.
Son mot préféré, est "Akanai... Akanai... Akanai" assimilé avec un magnifique sourire de sadique... celui qui l'entend a du soucis à se faire.
Autre point assez étrange est son katana... il lui a donné un nom... Shinzo. Par moments, il lui parle, son excitation, son envie de sang est alors à son paroxysme. Une seul solution... fuyez. Kenji est persuadé que son sabre lui parle... qu'il lui envoie des messages, cela peut se traduire de manière simple...
Exemple :
*Shinzo... Aide moi ! Que dois je faire ?*
* Korosu, Korosu, Korosu, KOROSU ! *
* Ku ku ku, que j'aime tes idées Shinzo...

Inquiétant, n'est-il pas ?
Pourtant comme chaque être, il conserve un jardin secret... une blessure encore laissé béante, par sa rupture... On y trouve un carnet, avec de nombreux poèmes... des poésies qu'il a lu... qui l'ont émus.
Sa sensibilité à fleur de peau, l'a rendu complètement névrotique, n'hésitant pas à faire subir à son corps des expériences d'une horreur sans nom... Sans doute est il malade... une maladie incurable... celle du coeur.


Les poèmes qu'il aime :

Amour, mon cher Amour, je te sais près de moi
Avec ton beau visage.
Si tu changes de nom, d'accent, de coeur et d'âge,
Ton visage du moins ne me trompera pas.
Les yeux de ton visage, Amour, ont près de moi
La clarté patiente des étoiles.
De la nuit, de la mer, des îles sans escales,
Je ne crains rien si tu m'as reconnue.
Mon Amour, de bien loin, pour toi, je suis venue
Peut-être. Et nous irons Dieu sait où maintenant ?
Depuis quand cherchais-tu mon ombre évanouie ?
Quand t'avais-je perdu ? Dans quelle vie ?
Et qu'oserait le ciel contre nous maintenant ?

Sabine Sicaud (1913-1928)
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

Garde tes songes
Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous.
(Baudelaire)
Anonymous

Message par Anonymous »

Hihi, Bienvenu my Friend ^^

Je viendrais te rendre visite de temps en temps... On est pote heing ? :P
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Leolio Mimura
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Message par Leolio Mimura »

Oyo si tu dors t'es mort
(Et ouais deux fois dans la même journée, rien à foutre je suis un fou moi....... je suis un koala lancer dans une forêt d'eucalyptus je déracine arbres et fougères, fruits et baies sauvages.......)


En fait, j'avais pas grand chose à te dire mais je me suis dit que comme j'avais passé le coucou aux autres je devais passer te dire bienvenue.....
Bah....bienvenue
Leolio Mimura, Kazekage

Rien n'est impossible, il n'y a que toucher son nez avec sa langue qui est impossible dixit Pinnochio.
Xuan Kaorin
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Inscription : mar. 11 janv. 2005, 19:43

Message par Xuan Kaorin »

Bienvenu :wink:

j'aime beaucoup la tournure de la bio,tres interessante,pas commune tres bien ecrite...
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Makoro Tenro
Etudiant(e)
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Inscription : ven. 05 août 2005, 6:32
Localisation : Dans une crique isolé

Message par Makoro Tenro »

Pas mal ta bio j'espere que je t'aurais comme prof si je suis pris
(et au fait il t'as fait quoi le mec :blink: :blink: :blink: :blink: :blink: )
Edit Kumiko : ça ... c'est son petit secret ^^
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Senryû Say
Genin
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Inscription : mar. 05 avr. 2005, 21:25
Localisation : cherche! tu finira par trouver....

Message par Senryû Say »

Ha! Un spécialiste du Taijutsu! Et surtout du corps corps vu le Katana :super:
Senryû Say, genin de Suna
Team Hakai :
-Hitashiro Kitaka
-Ekko
-Hakai....(j'était bien parti mais le nom hakai gache tout -_-)


Problèmes de conexion

C'est drôle ça^^
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Soi Fon
Jônin tuluc tuluc
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Localisation : Sunagakure no sato

Message par Soi Fon »

Je viens de lire ta bio et franchement, j'aime, c'est un perso bien sympathique, peut-être un peu trop psychopathe, (pourquoi les chuunin et jounin sont-ils si méchants?), n'empèche que ça fait limite déserteur ton histoire (ou plutôt futur déserteur).
Soi Fon Shinshun junin de Kirigakure no sato, le plus mauvais caractère du pays de l'eau
Bonne. Mauvaise. Je suis la fille avec l'hiroi ken.
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Urasawa Kenji
Jônin agité du bocal
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Inscription : mer. 28 sept. 2005, 1:56

Message par Urasawa Kenji »

La désertion est la voie de la fuite :winkk: . On n'affronte pas ses peurs, ses démons en les fuyant... toujours ils reviendront.

[spoil]De toute façon je me ferai un plaisir de torturer gentiment les futurs déserteurs... j'ai un tas de trucs à tenter sur vos tendres corps d'adolescent  :twisted: :twisted: :twisted: [/spoil]

Sinon merci pour les commentaires :) .
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

Garde tes songes
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Seirô-Mirumoto Akira
Genin Cauchemar des Portes
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Inscription : jeu. 12 mai 2005, 21:01

Message par Seirô-Mirumoto Akira »

Putainnnn !!! :(
C'est moche ! Super bien écrit, mais super moche.
J'espère sincèrement que l'inspiration personnelle pour cette hisoire est
minime (genre les lettres d'amour et la relation épistolaire)
Parce que sinon, c'est bad trip intégral !!
:cry:

Bon courage à toi. Passe à Yuki si le coeur t'en dis, ya un vieux qui soigne
les dépressifs chroniques, et déserteuses en mal d'amour... :wink:


Moloch - manquait plus qu'un peu de zophile pour compléter le tableau... :roll:

Kenji > Merci Moloch d'être passé voir ma bio :) . Rassure toi l'inspiration personnelle est extrêmement minime :wink: . Sinon c'est avec plaisir que je passerai voir le petit vieux dont tu parles :P .
Moloch - Etudiant Yukien
L'ours de Yuki ! (merci Tytö)^^
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Soi Fon
Jônin tuluc tuluc
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Inscription : sam. 24 sept. 2005, 16:59
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Message par Soi Fon »

Seirô-Mirumoto Akira a écrit :Putainnnn !!! :(
C'est moche ! Super bien écrit, mais super moche.
J'espère sincèrement que l'inspiration personnelle pour cette hisoire est
minime (genre les lettres d'amour et la relation épistolaire)
Parce que sinon, c'est bad trip intégral !!
:cry:

Bon courage à toi. Passe à Yuki si le coeur t'en dis, ya un vieux qui soigne
les dépressifs chroniques, et déserteuses en mal d'amour... :wink:


Moloch - manquait plus qu'un peu de zophile pour compléter le tableau... :roll:
Si tu veux, on kidnappe le chat de la Nekozaka(bah ouais, c'est des vilains eux! On est à Kiri quand même!)
Soi Fon Shinshun junin de Kirigakure no sato, le plus mauvais caractère du pays de l'eau
Bonne. Mauvaise. Je suis la fille avec l'hiroi ken.
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