Iteza Riku

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Modérateur : Hyodo Hyakujuunoou

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Iteza Riku
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Iteza Riku

Message par Iteza Riku »

Nom(s) : Iteza

Prénom(s) : Riku

Âge : 13

Sexe : M

Description physique :
Sa silhouette est ordinaire. Pas vraiment grand, ni même de forte carrure, il mesure environ 1m60. Riku a la peau matte, brunie par le soleil et une allure détentue.

On ne peut pas dire qu’il soit un apollon, bien qu’on le trouve plutôt mignon. Ses cheveux ont une teinte platine et sont souvent désordonnés. De fins sourcils noirs surplombent ses yeux d’un bleu violacé et un nez acquillin.

Son corps est recouvert de traces de brûlures, au niveau de la base du coup, du dos et du bras droit, souvenirs de l’accident de son enfance.

Caractère :
Bien qu’il n’ait pas oublié la catastrophe de son village, il a décidé de tout mettre de côté et de reprendre une nouvelle vie, avec l’aide de sa mère adoptive.
Farceur invétéré, frimeur, moqueur et rieur, c’est une tête brulé qui n’a peur de rien. Cela pourrait être une qualité mais, selon certain médecin, c’est dû à un traumatisme et au fait d’avoir survécu à l’enfer. Bah, on s’en fou comme il le dirait si bien.

Il est très ouvert et facile d’accès, il suffit d’une bonne plaisanterie pour gagner sa sympathie. Il éprouve un profond respect pour les ninja et surtout envers sa mère.
De son grand-père, il a hérité l’attitude des cowboys et certains jouets, qu’il a souvent du mal à retrouver car confisqués.

Ses notes scolaires ne sont pas extraordinaires, mais cela est surtout du à un manque de motivation de part qu’autre chose. On le trouve souvent à râler et à bougonner dans son coin lorsqu’il doit effectuer une tâche qu’il n’aime pas (ce qui arrive souvent) et il aime son indépendance. Mais malgré son côté un peu ronchon, et parfois égoïste, c’est fondamentalement quelqu’un de bien et n’hésiterait pas à se mettre en danger pour sauver des vie.

Nindo : Let’s do it with a smile ; )

Qualités :
bon vivant
loyal, personne d’honneur

Défauts :
impulsif, source de problèmes
rancunier, râleur et parfois égoïste
joueur et parieur

Ce qu'il aime :
jeux de toutes sortes et les paris
alcool
trucs de cowboy (revolver, chapeau, duel à midi, ...)

Ce qu'il déteste :
l’autorité
l’autorité
l’autorité

Histoire :
Goût de terre et de roche. Par réflexe, le jeune garçon tourna la tête et cracha les poussières qui s'étaient introduites dans sa bouche. Il toussa lorsque l'air qu'il venait d'évacuer provoqua l'envol de poussière juste à côté de son visage. Le brusque mouvement le fit souffrir et il réalisa que sa poitrine, ou plutôt tout son corps était comprimé. Le survivant ouvrit les yeux, un fin rayon de lumière l'éblouissant pendant quelques secondes. Ce qu'il découvrit était incompréhensible : il ne voyait que décombres. Il était lui-même recouvert de plusieurs couches de débris.

Dans un effort de volonté, il invoqua le peu de force qu'il lui restait et se dégagea de l'étreinte de pierre et de bois. La destruction de son ancienne prison provoqua un éboulement de pierre et un inquiétant craquement de bois, dont les bruit provoquèrent la panique chez le rescapé qui prit se jambes à son cou. Dans sa hâte, le garçon trébucha et s'étala violemment au sol, tandis que l'ultime morceau de toit s'écrasa non loin de lui. La toux revint de plus belle lorsque le nuage le recouvrit.

Après que son pouls ait reprit une cadence normale, le jeune garçon se releva et décida de sortir de cet enfer avant qu'autre chose ne lui tombe dessus. S'époussetant à l'air de ses mains, il enjamba un reste de mur et finit par se retrouver à l'extérieur. Il pensait avoir fait le plus dur, mais la vision lui coupa le souffle et lui serra la poitrine. Bâtiments détruits, corps inanimés et les derniers vestige de ce qui avait été un gigantesque incendie. Mais le pire était l’odeur, forte et âcre, odeur de mort. Il eut un haut le cœur et vomit. Pendant plusieurs heures, il erra dans ce décor de cauchemar, plein d’espoir.

En vain. Le soleil n’était plus qu’une tâche à l’horizon et finalement, la fatigue prit le dessus. Le rescapé se blottit dans le coin du bâtiment qui lui avait semblé le plus épargné, une maison solitaire aux limites du village. Diverses expressions s’exprimèrent sur ses traits : incompréhension, douleur, espoir, peur. Il avait beau fouiller dans sa mémoire, il n’arrivait pas à se rappeler ce qu’il venait de se passer. D’ailleurs, il n’arrivait pas à se souvenir du tout. La panique le prit, attisée par l’obscurité grandissante de la nuit qui s’animait de façon inquiétante. Ses yeux bougeaient rapidement, fouillant chaque recoin de la pièce et plus particulièrement la porte, en quête de la moindre source de danger. Mais doucement, il ferma les yeux et s’endormit, terrassé par les évènements.

Le lendemain, comme les six jours suivants, il survivait en se nourrissant des diverses provisions qu’il trouva à l’intérieur de son abri. Au début, il ne sortait que très rarement, de peur et de dégoût. La journée était occupée par les divers charognards et plus particulièrement, la masse de corbeaux, festoyant, qui lui faisait une peur bleue. De la nuit, il n’en savait que très peu de chose. Mais plus les jours avançaient et plus il devenait farouche et agressif, plus par nervosité qu’autre chose.

Ce fut une semaine plus tard que les secours arrivèrent dans ce village reculé. Le garçon était discrètement sorti à la recherche d’eau potable qui lui faisait défaut. Pour la première foisdepuis ce qu’il lui semblait une éternité, il entendit des voix humaines.
« HEHOOO ! Des survivants ?! », s’exclama une voix de basse, puissante.
Le cœur battant, il serra les bouteilles les bouteilles qu’il entourait de ses mains.
« HEEY ! Quelqu’un ? », réitéra la voix.
Les bruits de pas se rapprochaient. Soudain, une main gigantesque l’attrapa par le bras. Il découvrit, ou plutôt il fut découvert par un homme de taille et de corpulence gigantesques.
« J’ai trouvé un truc ! », s’écria le géant.

Le survivant se débattait mais l’étau était implacable, bien qu’étonnamment doux. Au bout de, il su que ses efforts étaient vains mais cela ne l’empêcha pas de redoubler de vigueur. Les larmes aux yeux, il finit par essayer de blesser le gens ce qui lui valut un deuxième bras emprisonné. Trois personnes apparurent : un homme de taille moyenne à la tête couverte d’une capuche, un homme aux cheveux grisonnant et une jeune femme aux yeux d’un vert époustouflant. Cette dernière s’approcha vivement de l’enfant tremblotant
« C’est bon, tu peux le lâcher. Tu lui fais peur grosse brute d’ours, dit-elle d’une voix sèche, mais purement féminine.
- Ca me fend le cœur, Princesse » répondit l’homme, avec un air faussement outré.
Une fois devant lui, la jeune femme s’agenouilla et adressa un sourire encourageant au jeune garçon. Elle lui passa une main dans les cheveux avec douceur, ses doigts fins frôlant les blessures sur son visage. Ce contact rassurant le fit trembler tandis qu’elle soulevait la chemise trop grande de l’enfant. Une expression de colère apparut sur le visage de la femme, avec grimace qui ne gâchait en rien sa beauté. Captivé, l’enfant ne bougeait plus.

Pendant ce temps, les trois hommes discutaient entre eux, de sujets qui n’avaient aucun sens pour le rescapé. Village, attaque de déserteur, ninja, surveillance, témoin, protection. Soudain l’homme encapuchonné leva prestement un doigt, ce qui stoppa net la discussion et même l’activité de la femme. Puis tout ne fut plus que chaos pour l’enfant. Une grosse explosion eu lieu. Pendant plusieurs minutes, il se fit porter par le géant et ayant les yeux fermés ne comprenant rien à ce qu’il se passait. Il ne voulait pas le savoir non plus.

Quand finalement on le reposa au sol, il rouvrit les yeux. Il se trouvait dans un endroit sombre, où régnaient une odeur et une humidité plus que désagréables. Les quatre individus se trouvaient autour de lui, le souffle court. Une main osseuse lui comprit la bouche, et terrifié qu’il était le garçonnet n’objecta pas. Au bout de quelques minutes, le colosse rompit le silence.
« Ca empeste ici, t’aurais pu trouvé un meilleur endroit et pas des fichus égouts, sac d’os !, dit-il d’une voix basse. »
Le personnage concerné, qui semblait être le plus âgé, libera l’enfant et, de son majeur, adressa un geste obscène au géant. Et avec le sourire ! La femme, après un long soupir, entreprit de soigner les blessures de l’enfant, des traces de brûlures lui striaient un bras et une partie du dos et de nombreuses ecchymoses lui recouvraient tous le corps. Il ne pouvait pas l’expliquer, mais le regard vert émeraude l’apaisant, comme une prairie au printemps.
« Il parle le mouflet ? » demanda l’homme à la capuche, d’une voix étonnement rauque et claquante.
- Tu as un nom ? reprit la jeune femme, d’une voix douce et chaleureuse.
- Je sais pas », répondit l’enfant, s’étonnant lui-même.
Ce fut la première de toute la semaine qu’il parla.
« Et bah, on est pas dans la mouise, continua l’homme corpulent.
- Bon, protection du témoin, vous connaissez la routine. On reste là pour le moment, je veux essaye de voir combien ils sont là-haut, ordonna l’étrange voix.
- S’toi le chef, chef » dit la voix du colosse, qui grondait comme le tonnerre.
La discussion continua longtemps, et le jeune garçon finit par s’endormir sur les genoux de sa soigneuse.

Pendant les jours qui suivirent. Le garçon apprit beaucoup de chose, sur ses étranges compagnons mais aussi sur lui-même. Les quatre personnages se disaient des ninja du village d’Iwa, ils étaient venus en mission de secours sur la demande d’un individu qui avait découvert les ruines du village quelques jours plus tôt. En plus de cela, ils devaient enquêter sur les causes de la catastrophe, ce qu’ils avaient vite découvert à leur dépend. Lui, ne devait avoir que cinq ou six ans et se prénommait Riku comme lui avait dit la jeune femme qui avait découvert son prénom sur son pantalon. Elle, s’appelait Shizuru. Le vieil homme Ichirô, le géant Haruki et l’homme à la capuche Taka. Rester confiné dans sa maison la première lui avait certainement sauvé la vie selon eux.

Le siège de la ville dura des jours. Les jours se transformèrent en semaine, et celles-ci en mois. Les attaques étaient incessantes et malgré l’arrivée de renforts, la situation n’avait pas changé. Il y avait quelque chose dans ce village que les attaquant voulaient, autant que l’enfant. Cette chose fut découverte par Iwa qui décida de se l’approprier, même si le manque d’effectif se faisait sentir. Il était impossible de quitter le village sans se faire attaquer par nombre d’ennemis, et la simple mission s’était transformée en une bataille d’attrition. Riku s’était efforcé d’être utile au mieux de ses capacités restreintes, ou bien souvent essayant juste de ne pas gêner ses protecteurs. Il avait appris à apprécier la compagnie des ninja et s’était grandement attachée à Shizuru, ce qui semblait être réciproque.
Mais finalement, à la suite d’une opération pleine d’audace, les ninja d’Iwa mirent fin au siège de dix mois.

Tous purent finalement rentrer à Iwa et achever cette mission éprouvante. Tout était finis sauf pour une personne. Après seulement une nuit de repos, il fut soumis à une séance d’hypnotisme dont il ne se souvint de rien. Ce qui l’irrita, déjà qu’il ne se souvenait de pas grand-chose. On réussi tout de même à récolter des informations intéressantes. Plus personnellement, on découvrit l’identité de l’enfant. C’était un garçon de six ans ordinaire, son père faisait parti d’une milice locale et sa mère était artisan couturière. Toute sa famille vivait dans ce village reculé du pays de la terre. Il n’avait pas de famille ayant survécu. Même n’ayant aucun souvenir de ses proches, il pleura lorsqu’on lui présenta ce qu’il avait découvert sur lui-même.

Ce fut Shizuru qui le réconfortait dans ses moments, et finalement la jeune médecin adopta le jeune garçon à son plus grand bonheur. La kunoichi était un médecin de réserve et ne sortait que très rarement du village, ou seulement pour des périodes brèves, et donc pouvait s’occuper de son nouveau fils. Lors de ses périodes d’absences, elle laissait Riku chez ses parents, ninja à la retraite qui s’occupait d’un ranch non loin du village d’Iwa. Les années s’écoulèrent doucement et calmement. Riku devint un garçon énergétique et son passé douloureux semblait oublié. Durant les périodes chez ses grands-parents, l’enfant s’était intéressé aux chevaux ou plutôt au hobby de son grand-père : de bizarre hommes de pays étrangers que l’ont appelait des cowboys.

« YIIIHAAA » s’écria le grand-père.
L’homme chevauchait un puissant étalon et filait au galot, sautant de nombreux obstacles, tout en tirant avec des armes étrangères, des revolvers. Riku regardait son grand-père avec admiration.
« Laisse moi essayez papy !, cria le garçonnet.
- T’es trop jeune fiston, tu peux pas test ! répondit le concerné. Et ta mère me tuerait si elle savait, ta grand-mère aussi, ajouta-t-il plus bas. YEEHAA »

Le temps s’écoula doucement et le jeune garçon apparaître sa nouvelle vie. D’ailleurs il n’avait toujours aucun souvenir de sa précédente existence, et qui plus est, il s’en fichait royalement. Farceur, frimeur, il se développa en un garçon survolté, pas foncièrement méchant mais très agité, comme l’avait découvert ses professeurs, parfois au grand dam de sa mère. Celle-ci ne pouvait d’ailleurs pas résister longtemps et se retrouvait souvent à pouffer de rire devant les petits accidents, bénins, engendrés par son fils. Ses professeurs aussi le trouvaient sympathique bien que perturbateur, mais ne pouvaient se résoudre à ne pas l’apprécier. Pourtant, il lui arrivait parfois de dépasser les limites de sa mère, comme la fois où il était monter sur le toit en tuiles de l’école en tirant dans le ciel avec de faux révolvers, cadeaux de son grand-père. Méchante colère. Cela arrivait souvent lorsqu’il se retrouvait dans des situations dangereuses.
« Si tu veux mourir, pas la peine de gêner tous les voisins », dit doucement la mère à son oreille.
Le plus effrayant, c’est qu’elle disait ça avec le sourire.

Riku éprouvait un profond respect pour Shizuru. Elle l’avait réconforté lorsqu’il en avait le plus eu besoin, elle sauvait des vies, n’hésitait pas à se mettre en danger pour atteindre ses idéaux. Tout le temps souriante, elle trouvait toujours le temps de s’occuper de lui.

Il avait depuis longtemps décidé de devenir ninja lui aussi, comme sa mère et ses grands-parents. Une vie d’aventure l’excitait et l’effrayait en même temps, mais surtout il voulait pouvoir sauver des vies comme le faisait sa mère. S’il pouvait empêcher une catastrophe comme celle qu’il avait vécu, il le ferait coûte que coûte, il se l’était juré.
Avec l’âge, il s’assagit un peu, mais pas trop tout de même.

A l’aube de ses douzes ans, comme prévu, il s’engagea dans l’académie de ninja d’Iwa.
Ceci-dit, il n'avait pas du tout prévu qu'il serait envoyé à Konoha.
Dernière modification par Iteza Riku le jeu. 01 janv. 2009, 19:39, modifié 3 fois.
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Hyodo Hyakujuunoou
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Re: Iteza Riku

Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Ben heu oui.

Je te refilerais ton ancienne fiche, comme prévu. o/
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Furansu Jin
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Re: Iteza Riku

Message par Furansu Jin »

OUUUUUUUUAAAAAAAAIIIIIIIIISSSSSSSSSSSSSSSS
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Hyodo Hyakujuunoou
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Re: Iteza Riku

Message par Hyodo Hyakujuunoou »

C'est un étudiant alors tu te calmes de suite.
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Furansu Jin
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Re: Iteza Riku

Message par Furansu Jin »

Ben quoi ? Je prends aussi les étudiants comme cobayes :o
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Hyodo Hyakujuunoou
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Re: Iteza Riku

Message par Hyodo Hyakujuunoou »

Tu vas prendre mon poing dans laggle en cobaye ouais !
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Ryugi Ida
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Re: Iteza Riku

Message par Ryugi Ida »

aller encore une autre joueurs yes ! Bienvenue à toi donc, en espérant te croiser rp !^^
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Shimone Ayanami
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Re: Iteza Riku

Message par Shimone Ayanami »

Bonjour et bienvenu,

ta fiche est sympathique, l'histoire se lit bien, mais il manque quelques catégories, pas les plus longues à remplir en plus.
Il y a cependant une paire de choses qui me gènent, tu parles de pistolets dans la fiche sauf que ce genre d'armes n'existe pas sur NNS ou dans Naruto (le pilote n'ayant pas grand chose à voir avec le manga). Et on ne sait pas grand chose, sinon rien de ton personnage avant l'incident.

Il semble avoir oublié son passé mais dans cette partie :
il fut soumis à une séance d’hypnotisme dont il ne se souvint de rien. Ce qui l’irrita, déjà qu’il ne se souvenait de pas grand-chose. On réussi tout de même à récolter des informations intéressantes. Plus personnellement, on découvrit l’identité de l’enfant. C’était un garçon de six ans ordinaire, son père faisait parti d’une milice locale et sa mère était artisan couturière. Toute sa famille vivait dans ce village reculé du pays de la terre. Il n’avait pas de famille ayant survécu. Même n’ayant aucun souvenir de ses proches, il pleura lorsqu’on lui présenta ce qu’il avait découvert sur lui-même.
tu parles d'une séance d'hypnose et à travers celle-ci tu peux peut-être détailler un peu plus la jeunesse de ton personnage, sans pour autant que lui ne sache nécessairement le tout si ça ne t'arrange pas pour la suite ^^.
Je suis Shimone Ayanami, junin en CDI de Konoha

Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne. [Dixit un prof]
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Iteza Riku
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Re: Iteza Riku

Message par Iteza Riku »

Les pistolets ça doit bien exister quand même, ils ont des trains à vapeur, il arrive à faire des exlposions etc... non ? Ca doit pas être bien sorcier d'en fabriquer, surtout que je dis bien qu'ils viennent de loin.
Je pensais les mettre en technique personnelle plus tard en fait.

Enfin bref pour l'histoire, au début je voulais détailler un peu plus la jeunesse. Mais finalement je me suis dis que ce serait inutile et une perte de temps, à la limite je veux bien développer ce qui se passe après je suis pas super chaud.
Je le ferais si c'est vraiment nécessaire.
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Shimone Ayanami
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Re: Iteza Riku

Message par Shimone Ayanami »

Bien vu, j'avais oublié l'histoire du train dans le premier film donc ouais s'ils sont capable de faire ça et des explosions, pourquoi pas. Donc oublie ce que j'ai dis sur les flingues ^^.
On va mettre ça dans "armes exotiques" :P.

Candas, je t'oublie pas mais là faut vraiment que j'y aille.
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Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne. [Dixit un prof]
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Hakeno Genoka
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Re: Iteza Riku

Message par Hakeno Genoka »

Pour les pistolets, ça pourrait dépendre du modèle :)

Faut voir : un colt (bref un 6-coups, genre cowboy), un ... plus moderne (avec recharges, quoi), un antique (à la bonne vieille poudre et à la bonne vieille balle toute ronde !). Voire, si je trouve assez de métal et j'arrive à trouver un bon plan, t'en faire un qui utilise le chakra :)

Car peu de ninjas pensent à utiliser leur énergie vitale comme substitut à la vapeur ou l'elctricité :)
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Iteza Riku
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Re: Iteza Riku

Message par Iteza Riku »

Mis à jour :
- ajout : qualités, défauts, aime, aime pas
- développement de la partie caractère (avec une mini modification sur l'histoire pour faire correspondre)

Pour les pistolets, je pensais plutôt aux revolver six-coups.
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Urasawa Kenji
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Re: Iteza Riku

Message par Urasawa Kenji »

Des gens...

Axx mis, bienvenue sur NNS :).

Et bonne année RP :P !
Urasawa Kenji , Jônin agité du bocal, Kiri.

Garde tes songes
Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous.
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Hyodo Hyakujuunoou
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Re: Iteza Riku

Message par Hyodo Hyakujuunoou »

va a l academie et apres, tu peux RP ou tu veux. Laisse moi une petite semaine pour concocter quelque chose :p
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Iteza Riku
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Re: Iteza Riku

Message par Iteza Riku »

o>

Merci
Iteza Riku, étudiant de Iwa
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