Shiori Akiyamazaki[acceptée par Hyodo][GENIN]

Nom: Akiyamazaki

Prénom(s): Shiori Yakura Kaori

Age: 15 ans

Sexe: féminin

Description physique: Shiori fait un mètre soixante-six, elle pèse cinquante cinq Kilos, elle a la corpulence moyenne d'un enfant de quinze ans. Ses cheveux sont verts, ses yeux sont mauves. Elle a coupé ses cheveux elle-même alors ils ne sont pas vraiment tous à la même longueur, mais ça lui plait comme ça. Sur son genoux droit elle a une ancienne cicatrice qui remonte à quand elle est tombée dans un puits lorsqu'elle était petite (heureusement vide et peu profond) elle a le teint bronzé, et son corps est encore en développement.

Histoire

Shiori naquit un jour de pluie, dans le clan des Kyôshin, situé dans les montagnes, un peu en retrait de la civilisation, mais pas arriéré pour autant. Le village est entouré d’une palissade en bois, qui fait penser aux villages de l’ère féodale, mais il n’y a pas que la palissade qui fasse penser ça, le chef de clan vivant dans une pagode au centre du village, les autres maisons étant de bois et aux toits de chaume. Toute la famille Akiyamazaki vivait dans la même demeure : La grand-mère et le grand-père paternels, le grand-père maternel, la mère, le père, et les cinq enfants, dont Shiori vint accroître le nombre, et qu’ils élevaient selon des principes stricts mais avec beaucoup d’affection. Il faut dire que dans le village entier, les mœurs étaient strictes, et on était vite mal vu.

Elle grandit parmi ses cinq frères et soeurs, plus âgés qu'elle: Yumiko, Zanthara, Hitomi, Yukito et Hakura jusqu'à l'âge de six ans. Yumiko et Zanthara étaient jumeaux, les aînés, avec treize ans d’avance sur Shiori. Hitomi était un peu plus jeune, mais elle et Shiori n’étaient pas très proches, elles avaient quand même encore onze ans d’écart. Par contre, celui avec qui Shiori s’entendait le mieux était Hakura. Il la protégeait toujours, et elle était sa sœur chouchoutée. Il avait dix ans de plus qu’elle, et Shiori l’admirait depuis toujours. Elle jalousait souvent ses compagnes, mais par une loyauté toute dévouée envers son frère, elle ne disait jamais rien, de toute façon, son frère ne la délaissait pas. Yukito était le plus jeune, le plus espiègle. Il avait huit ans d’avance sur Shiori, et en était donc chronologiquement le plus proche mais il ne la voyait pas, préférant faire les quatre cents coups avec ses camarades. Toute la famille était très liée. Le père était certes assez autoritaire, mais il ne faisait que suivre les traditions.

Lorsqu’ils eurent dix sept ans, les deux aînés partirent faire leur vie ailleurs, Yumiko se maria avec un descendant de samouraï, ce que le père n’apprécia pas trop, mais il ne s’opposa pas à leur union, tant que sa fille était heureuse… Zanthara quant à lui rejoignit une troupe d’artistes jongleurs. Les deux repassent de temps en temps dans la famille, dire bonjour, notamment pour les anniversaires ou les fêtes traditionnelles, et chaque fois, c’est une grande fête. Le mari de Yumiko hérita de la maison de ses parents, et Shiori se faisait toujours une grande joie d’aller voir sa sœur, le jardin ayant une piscine (Shiori avait moins de six ans..)

Un jour, alors qu’elle avait cinq ans, elle voulut absolument savoir ce qui se trouvait derrière la clôture du jardin, et qu’on lui interdisait de voir. Elle demanda à Hakura, qui n’en savait rien, mais qui ne voulait pas risquer quoi que ce soit pour braver l’interdit. Elle décida d’aller voir elle-même malgré que son frère ne la retienne. Lorsque celui-ci eut le dos tourné, elle passa la clôture après avoir grimpé sur une étagère de caisses, et arriva de l’autre côté… pour tomber dans un puits. Elle s’ouvrit le genou, et le sang dégoulina, tachant la terre qui faisait le fond du puits. Elle avait mal et évita l'infection de justesse, grâce à des herbes que sa grand-mère appliqua sur ses blessures une fois hors du puits.

En fait, de l’autre côté de la clôture, il n’y avait rien de spécial, l’accès avait été interdit tout simplement parce que c’était dangereux, le puits ayant été oublié et non rebouché. Sans parler des renards qui jadis venaient tuer les poules et qui aujourd’hui rôdent encore lorsqu’ils ne risquent pas d’être surpris… Hakura finit par remarquer l’absence de sa sœur et ne mit pas longtemps à comprendre où elle pouvait bien se trouver. Mais il n’avait que quinze ans, et aller la sortir de là aurait consisté à braver l’interdit paternel… Il alla donc chercher le patriarche en personne, qui sortit sèchement Shiori du puits, lui infligeant la plus formidable correction qu’elle aie jamais eu. Mais Hakura trouva ceci injuste, Shiori était encore jeune et curieuse, elle n'avait fait que ce que n'importe quel enfant de cet âge aurait fait, à savoir chercher par la pratique une réponse à ses questions.

Hakura prit alors le parti de Shiori, ce à quoi personne ne se serait attendu. Personne n’osant contredire l’autorité paternelle. Son père changea alors de cible, et se mit à reprocher à Hakura de n’être qu’un bon à rien, qui n’arriverait à rien. Hakura lui répondit que de toute façon, avec un père comme ça, c’était impossible, puisque de toute façon il lui fermait toutes les portes sur l’avenir qu’il désirait, à savoir celui de ninja. Le père répondit en insultant les Ninjas, et il s’en suivit une terrible querelle, durant laquelle Hakura se prit beaucoup de coups, et finalement, fut chassé de la maison. Il faut dire qu’il serait parti de toute façon, n’en pouvant plus de ce père qui le gardait enfermé au village d'après des principes ancestraux.

Hakura trouva une école, malgré son âge tardif (il avait quinze ans et demi) et finit par devenir Ninja quelques années plus tard… Mais revenons en arrière..

Shiori fut très marquée du départ de son frère, mais un an plus tard, elle fut à son tour grande-soeur, sa mère accouchant d’un petit garçon, qui fut nommé Kohaku. Shiori l’adopta tout de suite, mais bien vite elle fut désenchantée car celui-ci monopolisa toute l’attention de sa mère, ce fut dur pour la jeune fille de ne plus être considérée comme le petit bébé de la famille. Elle avait six ans, elle venait de passer dans la cour des grands. Elle commença à chercher davantage de relations avec Hitomi et Yukito, mais ceux-ci étaient trop vieux, et le père lui disait qu’ils avaient d’autres occupations. Bien sûr tous s’aimaient, mais Shiori n’échangeait rien, ne partageait rien avec eux. Et puis, Hitomi et Yukito étaient assez grands pour s’occuper d’eux-mêmes à présent, Shiori fut donc livrée a elle-même.

Evidemment, elle n’était pas non plus seule au monde. Elle avait des amis, notamment Sango, sa voisine. Plusieurs d’entre eux rêvaient de devenir ninja, et à onze ans, partirent pour rejoindre une académie. Le père de Shiori désapprouvait cela fortement et disait que quiconque de sa famille aurait l’intention de devenir ninja serait considéré comme n’en faisant plus partie, « Il y a déjà assez de tares comme cela dans la nature ». Hakura étant en formation pour devenir ninja, Shiori prit cela très mal, et ne témoigna plus le même respect à son père. Elle avait douze ans, et se sentait délaissée, dans cette famille ou la mère était accaparée par Kohaku, un adorable marmot de cinq ans qui se comportait comme s’il en avait deux, un père qu’elle aimait et qu’elle respectait malgré sa brutalité et son mauvais caractère, mais qui la privait d’un rêve secret : devenir kunoichi, et qui dénigrait le frère qu’elle aimait par-dessus tout, lui interdisant toute visite au village. Shiori n’avait pas revu celui-ci depuis qu’il était parti, mais elle nourrissait la ferme résolution de le revoir lorsqu’elle aurait l’âge de partir, elle aussi.

C'est pourquoi, pour se sentir moins seule, elle s'inventa un ami imaginaire, Seïshô, un beau garçon aux longs cheveux blancs et aux yeux dorés qui l'accompagnait partout, tel un ange gardien, yeux qui devenaient rouges lorsque quelqu'un faisait du mal à Shiori. Elle lui parlait souvent dès qu’elle n’allait pas bien, ou qu’elle n’avait pas la réponse à un problème. Elle savait très bien qu’il n’existait pas, mais pour elle, ça n’avait pas d’importance, il lui servait de journal intime, il grandissait avec elle, et l’aidait à faire le point quand elle en avait besoin. Elle l’aimait comme s’il s’agissait d’une personne réelle, et se refusait à l’idée qu’un jour, en grandissant, elle l’oublierait. Mais elle désespérait : elle commençait à devenir grande et elle n’avait toujours pas réussi à faire flancher son père un tant soit peu pour qu’il accepte ne serait-ce que l’éventualité qu’elle finisse un jour Kunoichi.

Le jour de son quatorzième anniversaire, son père fit néanmoins une exception à la règle de la communauté en demandant une autorisation spéciale pour qu’elle, une jeune fille, puisse participer à une séance de chasse. Elle en fut très heureuse. Elle s’amusa beaucoup et fit la connaissance de Yakuna, un garçon qui ressemblait beaucoup à Hakura lorsque celui-ci était jeune. Elle se lia d’amitié avec lui mais celui-ci n’étant pas du village, ils ne se revirent pas plus tard. L’événement marquant de cette journée, fut, pour Shiori, et au grand dam du père, lorsque le soir en rentrant, ils croisèrent un groupe de Ninjas qui partaient vers le Nord. Celui-ci n’apprécia pas le regard admiratif qu’elle leur lança. Le soir, lorsque la petite compagnie de chasse arriva au village, Kaori fit part à Seïshô de toute son aventure, et rêva toute la nuit qu’elle devenait une grande Kunoichi parcourant le pays aux côtés de son frère Hakura qui serait devenu son senseï, ainsi qu’avec Seïshô qui se serait matérialisé et fiancé avec elle.

Six mois plus tard, son père mourut subitement. Il était midi, il faisait chaud, le soleil brillait, les oiseaux chantaient dans les arbres aux vertes feuilles dont les rainures étaient inégales, les fleurs de cerisier bourgeonnaient, déjà butinées par les abeilles de la ruche de l’apiculteur du village qui se nommait Keikô, qui était grand, au teint basané, et se promenait toujours avec son filet sur le visage. Il était très connu et Shiori adorait manger le miel qu’il offrait aux villageois. Et là, soudain, alors qu’il était entrain de nourrir les poules du voisin avec les restes du pain faits trois jours plus tôt par le meunier du coin, Hokuchi Akiyamazaki s’effondre, au milieu de la cour voisine, dans la poussière. Les poules se mettent à becqueter toutes les graines tombées sur son corps. Il faudra attendre une heure que la voisine sorte par derrière accrocher son linge pour que le cadavre soit découvert, griffé et becqueté de toutes parts. Kikyô Akiyamazaki, la mère de Shiori est mise au courant, et fond en larmes, inconsolable. Hokuchi est brûlé le lendemain après une longue cérémonie en son honneur. Shiori porte l’habit de deuil avec solennité, une sorte de kimono blanc, et une large ceinture brodée de symboles religieux. Elle garde la tête basse, et pleure lorsqu’elle voit son père rejoindre le royaume éternel. Les flammes lui piquent les yeux, elle ne peut pas s’empêcher de pleurer, ce qui est naturel, et même Seïshô ne peut rien pour la consoler.

Elle aimait son père malgré tous ses défauts, et sa mort laissa un grand vide en elle. Les frères et sœurs, à l’exception d’Hakura bien sûr, celui-ci n’était même pas au courant, revinrent pour la cérémonie, et restèrent une ou deux semaines. Ils comprirent tous le mal-être de Shiori, et combien elle pouvait se sentir seule, et s’occupèrent d’elle. La mère était une loque, éplorée et inconsolable, dont la seule énergie restante était consacrée à Kohaku qui certes avait maintenant huit ans, et était un adorable bambin, mais c’était justement ce que Shiori n’aimait pas chez lui, elle avait le sentiment qu’il lui avait volé sa place. Kaori refusait pourtant de voir la réalité en face, et continuait d'aimer sa mère comme une femme forte, aimante, s'attachant désespérément au souvenir de sa petite enfance, lorsqu'elle avait tout le monde pour elle toute seule. Elle finit par faire le deuil de son père, mais ses frères et sœurs finirent par repartir. Shiori retrouva l’utilité de Seïshô dont elle avait fini par tomber amoureuse, et passait ses journées seule avec lui. Il lui répondait dans sa tête, il semblait si réel… si seulement il existait vraiment… Puis un jour, des ninja de passage firent une escale au village, mais comme il n’y avait pas d’hôtel, ils demandèrent l’hospitalité aux parents de Sango, que l’un d’eux, le senseï de leur fille, connaissait bien. Shiori était un peu triste que Sango ne soit pas avec eux, mais elle venait de retrouver un but dans sa vie, auquel elle ne croyait plus. Un espoir venait de renaître, peut-être ne finirait-elle pas ses jours à la maison dans ce petit village retiré des montagnes...

Maintenant que son père était mort, il n’y avait plus personne pour s’opposer à son rêve. Shiori n’était pas vraiment la première préoccupation des grands-parents, et sa mère n’était plus qu’un être sans plus aucune volonté, Kohaku traînait avec les bambins du coin, de vrais futurs délinquants, et lui pompait tout son ersatz d’énergie.

Shiori quitta donc le village avec juste quelques habits dans un sac, notamment son kimono préféré orange et rouge, bien qu’elle n’ait jamais eu de réelle occasion de le mettre, quelques Ryos donnés par sa mère en poche, qu'elle dépensa d'ailleurs bien vite, à la recherche d’une école qui voudrait bien d’elle malgré ses quinze ans, afin de pouvoir s’élever au rang de kunoichi, et de retrouver son frère pour vivre avec lui. Lorsqu’elle ne rêve pas de son beau Seïshô imaginaire mais pourtant si proche du tangible, elle voit son frère, ses longs cheveux noirs volant au vent, ses yeux verts la regardant d’un air protecteur, fraternel…

En chemin, elle rencontra Takeshi, un jeune vagabond appartenant à une communauté nomade, semblable à celle des gitans, qui lui parla d’une académie dans le village d’Iwa. Shiori fit un petit bout du voyage jusqu’au village avec eux, apprenant à jongler, ainsi que des danses et des chansons. Ensuite leurs routes se séparèrent et elle et Takeshi continuèrent de correspondre grâce au pigeon voyageur de Takeshi, qui certes mettait souvent longtemps avant d’acheminer un courrier à sa destination, mais au moins, les lettres arrivaient.

Shiori a désormais une volonté de fer d’arriver à son but, de revoir son frère, aidée par Seïshô à ne pas se sentir seule.

Nindô
J'y arriverai.

Caractère

Shiori est une jeune fille qui ne cherche pas à faire compliqué lorsqu'on peut faire simple, cependant elle préfère agir dans la subtilité, plutôt que dans le domaine bourrin. Elle est en admiration devant ceux qui savent se battre avec esthétique, d'ailleurs elle a tendance à accorder sa loyauté à tous ceux qui semblent maîtres d'eux-mêmes. Parfois un peu trop naïve elle en garde quand même un sens aigu du discernement, tout dépend de qui lui parle, de comment, et de son humeur. Car elle est légèrement lunatique. Elle déteste se prendre la tête, que ce soit dans les relations humaines ou sur des décisions, laissant souvent la décision à autrui, préférant suivre que mener. Cependant, elle a horreur de ceux qui la tournent en bourrique, et lorsqu'on la provoque, elle peut avoir la parole acérée.

Qualités: Sa loyauté, sa détermination à vouloir faire les choses bien, sa spontanéité, sa simplicité, et elle fait partie des gens à qui on peut raconter quelque chose sans que cel ne soit répété.

Défauts: Elle est maladroite, un peu naîve, légèrement lunatique, et refuse l'aide des autres lorsqu'elle pourrait être nécessaire, même si elle aime être appréciée, elle préfère la solitude, pour mieux se concentrer sur son but, ce qui lui vaut souvent des railleries ou des differends de la part des autres. Pour plaire à ceux envers qui elle est loyale, elle en fait parfois un peu trop.

Ce qu'elle aime: Les animaux Kawai, la viande, le chocolat, se retrouver seule avec elle-même et son 'ami imaginaire', sa mère, ses frères et soeurs, la vie en général, les vagues.

Ce qu'elle déteste
Les youkai et les oni (surtout dans ses cauchemards), le poisson, le céléri, être enfermée dans un endroit étroit et sombre, devoir mourir un jour, ceux qui sont corrompus par le pouvoir, ceux qui ne respectent pas les autres.

ISHIGAWA Kaworu

J'ai pas lu mais ton histoire n'est pas assez longue (45 lignes minimum si tu veux être acceptée), il faut aussi que tu fasse ta signature.

Voilà bonne chance

Quarante cinq lignes? Ce n'est pas ce que j'ai pu lire dans le règlement...

"-Votre histoire doit être assez précise. Il faut un minimum de 15 lignes.
(Vous pouvez prendre exemple sur les présentations précédente, mais ne les copiez pas quand même)"

Or je crois que mon histoire fait plus de quinze lignes, et hormis bourrer cette hstoire de détails inintéressants au possible je ne vois pas ce que je pourrais rajouter, et un personnage n'a pas forcément la "chance" d'avoir un passé mouvementé truffé d'aventures...

Bienvenue sur NNS

La présentation sert à nous montrer qui est ce nouveau personnage, comment il pense, mais elle sert aussi à juger l'aptitude de quelqu'un à produire un rp de qualité. Le rp de qualité passe par la description des détails, l'aspect des gens, les pensées des personnages ...

Dans ton histoire, je te conseille d'une part de sauter des lignes (ça fait un peu pâté) et de rajouter diverses choses, comme des informations sur ta famille, exploiter davantage la rencontre avec les ninja, le 'personnage' de Seishô ...

Bonne chance !

Jisseki · Message par **Jisseki** » sam. 02 juil. 2005, 15:43

Kaori Akiyamazaki a écrit :Or je crois que mon histoire fait plus de quinze lignes, et hormis bourrer cette hstoire de détails inintéressants au possible je ne vois pas ce que je pourrais rajouter, et un personnage n'a pas forcément la "chance" d'avoir un passé mouvementé truffé d'aventures...

Je te comprends, j'ai eu un peu de mal à faire ma bio

Mais j'ai réussi à faire environ 40 lignes

Oki jvais éditer ça

mais bon 45 lignes c'est quand même... enfin... encore pour un elfe de donjons et dragons qui a 145 ans je veux bien, y a plein de choses à raconter, mais pour une gamine de quinze ans oO

ISHIGAWA Kaworu

Je sait pas combien de lmignes j'ai fait mais mon perso à deux ans de moins que le tien et j'ai pu faire assez de ligne pour être accepeté, regarde les bio des autres pour te donner des idées.

Ochi · Message par **Ochi** » sam. 02 juil. 2005, 16:06

Moi je sais c'est 35 lignes minimum mais on peut faire moin si notre histoire est bonne donc avies au amateurs

Bon faut éssayer d'en faire plus mais si on ni arrive pas c'est pas grave.

bah perso dans une présentation, 25 lignes de dialogue je sais pas, ça fait pas très très background quoi, ça fait plutôt je fais ce que je peux pour gagner de la place... Bon je vais développer un peu l'ami imaginaire, mais c'est la biographie de Kaori, pas du reste du monde...

Ochi · Message par **Ochi** » sam. 02 juil. 2005, 16:09

Mais non c'est trés bien comme ca parce que des histoires où y'a pas de motivation on le sens et sca lasse alors ne te force pas!

Si tu rp comme tu écris ton histoire en prétextant que c'est la vie de ton perso que tu racontes et que le reste, en somme, c'est totalement secondaire, je pense que tu te feras taper sur les doigts (ceci est un euphémisme)

Bonne chance bis

...

C'est jsutement la différence entre rp et background -_-

Jisseki · Message par **Jisseki** » sam. 02 juil. 2005, 16:24

Kaori. Lorsque ton personnage grandit, il se trouve dans des lieux, rencontre des personnes etc... Si tu parles de quelqu'un qui n'a pas d'importance, tu négligeras les détails, idem pour un lieu. Mais si un évènement a changé ta vie, il est nécessaire de décrire l'univers de cet évènement. Je pense que tu te dis que cette présentation, c'est comme la biographie de Rousseau :
"Né en xxx, il vivait à xxx
Il avait un père, une mère
il a écrit,
il est mort".

Sauf qu'ici, ce n'est pas ce qu'on te demande. On veut de toi une aptitude à écrire et décrire, on ne juge pas l'intérieur (ou peu).

Décrire l'entourgae de ton perso n'est pas nécessaire, c'est juste une preuve que tu sais décrire "en dehors", un petit plus pour se faire accepter. C'est tout...

Ben elle a jamais quitté son village... comment vous voulez que je décrive tout un tas de trucs.... et à quoi ça vous sert? Enfin bon maintenant je suis pas une rebelle je me plierai à tout ces conseils que je désapprouve fortement et vous aurez une bio de 70 lignes tellement longue que vous vous plaindrez et me supplierez de raccourcir XD

Jisseki · Message par **Jisseki** » sam. 02 juil. 2005, 16:37

Kaori Akiyamazaki a écrit :Ben elle a jamais quitté son village... comment vous voulez que je décrive tout un tas de trucs.... et à quoi ça vous sert? Enfin bon maintenant je suis pas une rebelle je me plierai à tout ces conseils que je désapprouve fortement et vous aurez une bio de 70 lignes tellement longue que vous vous plaindrez et me supplierez de raccourcir XD

Je n'ai jamais quitté mon village non plus, je fais rien de mes journées, y'a eu un évènement : la mort de ma mère. Voilà ma bio.

Mais ne prends pas mal nos réflexions, et ne te bloque pas. On essaie juste que tu aies une bio plus longue et plus descriptive. Surtout qu'il se passe beaucoup de choses dans ta bio dont on aimerait avoir plus d'informations.

Comment meurt le père ? A-t-il souffert ? Que pense ton personnage de la mort de son père ? Il y a quelques points comme ceux-ci à développer, je pense. Mais c'est mon avis et seulement mon avis