Asahina Noriko

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Modérateurs : Noriko Asahina, Shimone Ayanami, Haoru Keitjiwa

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Noriko Asahina
Chûnin
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Question obligatoire : NNS
Localisation : Konohagakure no Sato

Asahina Noriko

Message par Noriko Asahina »

Informations générales

Nom : Asahina
Prénom : Noriko
Âge : 24
Sexe : F

Description physique

Il est rare de rencontrer une femme d'une telle beauté. Quand on vient à la rencontrer pour la première fois, la première chose que l'on voit est sa silhouette, d'une finesse peu commune. Plutôt petite même en se tenant bien droite, elle semble frêle au premier abord. On aperçoit tout de suite ses cheveux très longs volant dans le vent tout autour d'elle. Généralement, elle est en kimono, une ombrelle à la main. On ne peut malgré cela manquer de remarquer les deux lames qu'elle porte à son côté gauche. Souvent immobile, on pourrait la prendre pour une statue de porcelaine. Ce n'est à cet instant qu'une ombre chinoise sur le ciel clair.

Puis, on vient à s'avancer et à voir un peu plus de détails, la soie vive de son kimono brodé, la blancheur de sa peau de nacre, le noir de jais de ses cheveux et leur éclat sous le soleil levant, l'inflexion de ses jambes sous le kimono, la courbe de sa petite poitrine presque dissimulée par le obi. Les pétales de pommiers voletant autour d'elle semblent la porter dans une tempête miniature, une ode du vent pour elle.

Quelques pas encore et les textures deviennent visibles. Le dessin à l'encre dessiné sur son parapluie semble se mouvoir dans les ombres créées par ses cheveux voletants. Quant à son kimono, une suite de motifs semble se mouvoir autour d'elle, alors que la soie suit les courbes de la jeune femme. Les fourreaux de ses deux armes sont recouverts de motifs en forme d'écailles de reptile, ouvragés avec soin. On peut avec un peu de chance entrevoir un de ses pieds, recouvert d'un tabi, enfoncé dans une sandale basse. Mais ce qui commence à nous frapper, c'est son parfum doux, un parfum léger de dame, une odeur de chèvrefeuille et de cannelle, une de celles qui survit dans un présent ou dans un vêtement aussi loin que le souvenir désire la porter.

Deux pas, elle vous entend et tourne la tête. Son visage s'illumine alors en se tournant vers vous et vous pouvez ressentir la paix qu'elle a en elle. Son visage semble plutôt long, fendu d'un sourire léger. Elle n'est pas du type à faire de grandes démonstrations, à sourire à toute dent, et si cette éventualité devait arriver, elle se cacherait derrière un magnifique éventail, qu'elle a glissé le reste du temps dans son kimono, un lien le retenant à son poignet gauche. Il ne resterait alors que ses deux jolis yeux en amande pour sourire à sa place, ses pupilles noires vous fixant d'un regard pénétrant. Son regard est très expressif, on voit tout de suite les sentiments qui pèsent ou font envoler son âme. C'est alors qu'elle s'en rendrait compte et pudiquement baisserait les yeux, avant de se détourner et de marcher quelques pas.

Vous auriez alors l'immense privilège de pouvoir la rejoindre, dire quelques mots et sa voix résonnerait alors comme l'eau d'une cascade sauvage, pure, limpide, douce, mais froide. Parlant doucement, chaque mot semble le plus adapté, elle en choisit le sens avec soin, autant parler peu mais parler bien. Sa voix envoûte mais ne saurait rassurer. Car même si vous êtes à côté d'elle, vous pourriez vous sentir tout aussi loin que la silhouette que vous regardiez, si ses cheveux ne venaient effleurer parfois votre peau avec douceur. Il ne vous reste plus qu'à imaginer le velouté de sa peau de pêche, mais ne faites qu'imaginer. Même les plus inventifs pitres savent que ce serait fantaisie que d'oser dire avoir pu toucher la dame.

Caractère

Elle semble répondre aux plus grands critères de la parfaite épouse : belle, cultivée et réservée. Très détachée, on la trouve souvent froide, elle ne vit pas par passion, et la raison commande plus son destin que son cœur. Sa grâce est à la fois physique et spirituelle. Son discours est d'une finesse étonnante et ses connaissances semblent aussi variées que plaisantes. Belle et douce, elle n'élève jamais la voix mais reste distante en toute occasion, ce qui peut facilement mettre mal à l'aise.

Quand on commence par la connaître, son caractère doux prend le dessus, seule sa gentillesse semble ressortir et toute personne parlant d'elle pourrait dire qu'elle est belle, gentille, agréable, mais au final, aucun trait de caractère particulier ne ressortirait d'elle.

Après plusieurs discussions, on se rendrait vite compte qu'elle a finalement peu de profondeur. Quand on s'arrête de parler, elle ne reprend pas la discussion et laisse le silence s'installer plutôt que de tenir à bout de bras une discussion.

Mais quand on la connaît bien, on se rend vite compte que pour elle, la parole est d'argent mais le silence est d'or. Le calme lui permet de se concentrer et de se rasséréner, son débit lent ne fait que cacher une intense réflexion derrière chacune de ses paroles, et son manque d'enthousiasme à perpétuer une discussion futile et sans fin n'est qu'une preuve supplémentaire de la sagesse qui l'habite.

Jamais elle n'ouvre la bouche pour ne rien dire et ne parle que si on lui adresse la parole ou si elle a une information à transmettre. Le reste du temps, elle est comme en veille, à attendre patiemment, la patience que les pierres ont, de devoir de nouveau agir.

Traits de personnalité

Qualités :
- Beauté
- Calme
- Douceur

Défauts :
- Impersonnelle
- Distante
- Laconique

Ce qu'elle aime :
Difficile à dire, il faudrait qu'elle sache réellement ce qu'est le mot aimer. Elle apprécie les voyages, la nature, la beauté et les lieux paisibles. Elle apprécie être en bonne compagnie, partager une discussion intéressante et agréable. Mais elle n'aime qu'une seule chose, son amour perdu.

Ce qu'elle déteste :
Elle déteste ce qui sort de la route ou du chemin. La malhonnêteté et le malheur sont parmi ses ennemis et elle cherche à les éviter. De même, elle n'aime ni la tristesse ni la douleur.

Nindo :
L'acier distingue les ennemis des amis

Histoire

La belle Asahina Noriko était alors une jeune kunoichi de Konoha Gakkure no Sato dont le destin semblait tout tracé. Élève modèle ayant étudié auprès des plus talentueuses kunoichi du village, sa connaissance du chakra remonte à son enfance. Alors qu'elle était toute petite, assise sous les branches d'un cerisier avec sa nourrice, une brise printanière se leva. Le vent émit un souffle admirateur devant la beauté de l'enfant, et Noriko comprit et répondit par un magnifique sourire. Depuis ce jour, elle fut emprise par une profonde humilité. Chaque jour, la petite fille passait de plus en plus de temps sous le cerisier à écouter les murmures du vent. Un jûnin connaissant son père, voyant cela, comprit ce qu'il se tramait et rapporta la nouvelle à la famille de Noriko.

Noriko fut donc placé dès six ans à l’académie afin d’y améliorer sa maîtrise du chakra, et d’y améliorer son don. Elle fut très remarquée, son ami le vent l’aidant grandement dans son apprentissage, et son influence sur elle développât sa douceur, sa gentillesse et sa beauté.

Mais les ninja et le chakra savent aussi se jouer des émotions et, dans sa quête de perfection, Noriko se mit à étudier les comportements humains. Elle quitta rapidement son apprentissage paisible à l'académie pour devenir genin.

Elle entra dans une équipe de jeunes filles talentueuses qui devinrent facilement ses amies, mais n'eurent jamais l'occasion de devenir son égale. En effet, en plus d'apprendre à devenir une espionne parfaite, une épouse et une amante idéale, elle excellait à l'art du sabre, le faisant gaiement siffler dans le vent. Au troisième semestre de leur entraînement, une mission un peu spéciale leur fut proposée.

Dans un village aux limites des terres du pays du feu vivait un seigneur noble dont la réputation de faste et de volupté s'était tellement propagée que le conseil de Konoha s'était interrogé sur la provenance de toutes ces richesses. Il était du devoir des quatre jeunes femmes de s'introduire dans la ville en question pour approcher le seigneur sous couverture d'une troupe d'artistes venue en ville. Aussi chacune se déguisa en conséquence et elles partirent dans cette province éloignée. Pendant deux mois, elles ne purent obtenir une entrevue à la cour du seigneur, chaque autre troupe réussissant à obtenir un créneau avant elles, mais finalement Kaede, la plus jeune, atteint par ses charmes un des membres éminent de la cour, et la carrière de la petite troupe bondit d'un seul coup alors que la jeune fille entrait dans le lit du dignitaire. Une semaine plus tard, elles étaient la troupe devant divertir de leur talent le seigneur local.

Le soir même, elles parurent, firent leur numéro de danse, de chant et de musique qui fut timidement applaudit, mais pendant toute la durée du spectacle, le seigneur ne put décrocher les yeux de Noriko, qui charmait l'auditoire de ses dons de danse. En fin de soirée, profitant qu'un autre groupe de saltimbanques prit la piste, la chuunin et Kaede s'éclipsèrent dans les pièces privées du seigneur pour trouver des informations. Une servante vint à passer inopinément par là et leur secret fut éventé, deux des membres de la troupe étaient des espionnes. On convoqua les deux jeunes filles restantes, qui supplièrent de laisser la vie sauve à leurs compagnes et que ce n'était qu'une méprise. Quand on amena devant la cour Kaede et la chuunin, celles-ci étaient dans de sales draps. La milice locale avait déjà commencé leur ouvrage pour les faire parler, et on pouvait voir nombre marques de coups et blessures sur leur visage et sur leurs corps dénudés pour les ridiculiser. Devant une telle marque de vilénie, Noriko se leva et implora son excellence de bien vouloir l'auditionner, elle lui dirait tout en échange de la promesse qu'on ne ferait rien à ses camarades. Bien évidemment, ces informations ne pouvaient se dévoiler devant tout le monde, aussi demanda-t-elle un entretien privé.

La jeune kunoichi se retrouva ni une ni deux dans les appartements personnels du seigneur. Elle était à genou, la tête basse, les yeux embués de larmes, une telle position de faiblesse ne fit qu'accentuer le désir déjà puissant du seigneur. Il fit jouer qu'il serait sûrement plus clément s'il se sentait heureux et qu'elle avait tout pour le rendre heureux. Un éclat lubrique brillait dans ses yeux, qui effraya fortement la jeune fille. Elle n'aurait jamais pu imaginer que devenir ninja pouvait la pousser à faire de tels sacrifices, il la dégouttait, mais devenir sa concubine pouvait être une solution pour obtenir les informations.

Noriko chercha à négocier du temps, qu'un gentilhomme doit d'abord faire sa cour à la dame, qu'elle ne pouvait lui céder ainsi, mais alors que son caractère devenait de plus en plus orageux et qu'il allait appeler la garde pour cesser cet entrevue, elle prit sa décision. Il commençait à peine à tourner qu'elle attrapa la broche à l'ouverture de son kimono et la planta directement dans la pomme d'Adams. Il mourut dans un gargouillis incompréhensible de sang et d'air mélangé mais l'alerte était donnée. La meurtrière courut vers le panneau de papier de riz le plus proche qu'elle traversa avec facilité et s'enfuit du château, totalement paniquée.

De retour à Konoha, elle fut punie pour avoir fait échouer la mission et avoir abandonné son équipe. Mais plus encore, une fois ses fonctions relevées, elle se retrouva sans aucune activité, juste emprise à ses doutes et à ses remords, les morts lui rappelant chaque jour de leur voix chevrotante l'acte qu'elle avait commis. Et le murmure du vent lui rapportait leur parole de vengeance. L'échec avait un goût amer, mais sa désertion était encore plus atroce par l'abandon de ses compagnes.

Quand les autorités de la ville jugèrent qu'elle avait suffisamment purgé sa peine et qu'elle restait néanmoins un atout, ils la placèrent dans une nouvelle équipe qui la reçu avec difficulté. Aussi au bout de quelques temps, quand Noriko obtint avec facilité son grade de chûnin, elle demanda à partir en tant qu'espionne dans un autre village, ce qu'elle considérait comme étant le rôle le plus noble qu'elle aurait pu tenir et un acte de rédemption, elle partit donc à la limite nord de Hi no Kuni. C'est alors que Noriko tomba dans son propre piège et devint le sujet principal de son étude. En un mot, elle tomba amoureuse, et le vent souffla à nouveau tout doucement à ses oreilles.

Il s'appelait Seppun Katsura et c'était le capitaine de la garde. Il n'était pas particulièrement fortuné, ni même très beau. Mais c'était quelqu'un de droit et de généreux, qui tranchait radicalement avec les hordes de soupirants lancés à ses trousses. Qui plus est, Katsura était également ninja, ce qui le lia d'emblée d'amitié avec elle. Cette harmonie acheva de séduire la jeune fille. Ensemble, les deux tourtereaux passèrent un automne inoubliable. Ils émirent le projet de fonder une nouvelle terre, loin des guerres et des luttes de pouvoir, pour y enseigner leur maîtrise du chakra et la paix. Une école, et peut-être une famille.

L'hiver débuta et Katsura revint à Konoha Gakkure no Sato pour demander la main de Noriko à son père. Pour son grand bonheur, celui-ci accepta et annonça que les fiançailles seraient promulguées au printemps prochain.

Ce printemps n'arriva jamais. Peu de temps après, le père de Noriko reçut la visite d’un vieil ami de son propre père, accompagné de son petit-fils. Le vieil homme se nommait Shinjo Sotatsu et était un riche commerçant reliant Konoha à Suna. Il avait réussit à marier sa fille à un puissant ninja du clan Akimichi, si bien que son petit-fils portait le nom de Akimichi Shuichi. Shuichi traînait une réputation sulfureuse et sans surprise, ce dernier s’éprit instantanément de la jeune femme. Dès son départ, il demandât à son grand-père d’arranger des fiançailles. Par un remarquable coup du sort, Shuichi parvint à obtenir les faveurs du père de Noriko et à annuler les fiançailles entre Seppun Katsura et Asahina Noriko. C’est ainsi que le destin de Noriko basculât d’humble kunoichi à celui d’épouse d’un jeune membre d'un des puissants clans de Konoha, à la notoriété plus que douteuse.

Accablée par ce mariage, le destin vint ajouter une larme de plus dans les yeux de la belle. Devant un tel outrage, et en pouvant supporter une telle honte, Seppun Katsura se retira de la vie publique et entra dans les ordres, devenant un moine itinérant en pleurant la perte de son amour dans toutes les terres où les pas vinrent à le porter. Quant à Noriko, elle ne put même pas dire une dernière fois adieu à son amour, ces moines ne sont généralement pas autorisés dans les premiers temps de leur formation à accepter visite féminine. Aussi, elle replia son aigreur et sa rancœur au fin fond de son être pour afficher un visage calme à chaque instant, malgré les tourments cachés au fond de son être.

Noriko ne s'est jamais vraiment remise de son chagrin. Fort heureusement, elle n'était pas contrainte à jouer les épouses recluses puisque son mari tenait à ce qu'elle l'accompagne dans ses missions. Au moins pouvait-elle découvrir le monde et oublier ainsi sa peine en se focalisant sur celle des autres. Voyager lui donnait en quelque sorte le moyen d'exister. Et puis, il restait toujours son talent pour l'utilisation du chakra.

De passage sur les terres du pays de l'Eau, ils se sont retrouvés dans la province de Engo pour assister à la grande foire qui s'y tenait juste après les moissons d'été. C'était un événement qui prenait de l'ampleur et sous le couvert de l'identité de deux vagabonds venus découvrir ce symbole de prospérité, ils participèrent à la foire. Le daimyo de Kusahara Su, la ville qui accueillait la foire, leur a fait parvenir la demande de lui faire l'honneur d'une visite. Il était évident que leur identité avait été éventée. Malgré cela, il fallait en être sûr et c'était une opportunité unique pour obtenir plus d'informations qu'en un mois de recherche sous couvert. Shuichi s'y rendit et un mois plus tard, il n'en était toujours pas revenu.

Peu après, Noriko reçut une missive de Konoha lui annonçant que leur mission était terminée et qu'ils devaient revenir au village. C'est donc ainsi qu'elle repartit sans son époux. A son retour en ville, elle se présenta à sa famille et fit son deuil. Puis une missive lui fut envoyée, une nouvelle mission demandait ses compétences.
Asahina Noriko de Konohagakure no Sato

Une brise souffle
La ville dort, paisible
Le ciel se dévoile
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Ryugi Ida
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Re: Asahina Noriko

Message par Ryugi Ida »

*cligne de grands yeux devant la petite dame devant elle, après un instant seul un mot sort de sa bouche* magnifique ....



voila en gros ce que je pense de tout ça, je résiste mais hésite à lire l'histoire que je préfère garder pour les surprise rp et pas lancer des trucs sans savoir mais vraiment, la description, le caractère, le nindo tout est tout bonnement superbe. Vue l'age et l'acceptation tu devrais être chûnin alors je te salue nouvelle prof en espérant vraiment te croiser rapidement au village ^^
Ryugi Ida Konoha no Sato
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Shimone Ayanami
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Re: Asahina Noriko

Message par Shimone Ayanami »

Bienvenu à Konoha très chère. Dites bonjour à votre futur prof/nouvelle modo :D.
Je suis Shimone Ayanami, junin en CDI de Konoha

Au fait, je voudrais m’excuser par avance d’un problème anatomique un peu handicapant : j’entends très bien de l’oreille droite et très très bien de l’oreille gauche… Le premier qui bavarde, je l’aligne. [Dixit un prof]
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Misashi Katzumoto
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Re: Asahina Noriko

Message par Misashi Katzumoto »

bonjour à votre futur prof/nouvelle modo :D.

Moi je fais ce qu'on me demande xD

P.S pour Shimone : Je vais me débrouiller pour poster aujourd'hui parce qu'après ça sera un long silence radio
Misashi Kaztumoto, Genin "j'oublie de plus en plus de choses" de Konoha

"Today I got lost on the road of life"
-Hatake Kakashi

Konoha, le pays des marmottes psychopathes a tendance schizophrenes
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